Qu'est-ce que le livre a révélé à vous-même ? Écrire m'a, d'une certaine façon, libéré d'un devoir de mémoire qui m'obsédait, et délivré de mes deuils, fantômes, dossiers, archives… Je dédie le livre à mon fils, Tado, qui a 18 ans et porte le prénom du père de mon arrière-grand-mère, le prince Tado, pour lui dire : “ Range-le dans ta bibliothèque, tu n'es pas obligé d'y revenir, de le trimballer toute ta vie. ” C'est une manière de le débarrasser de certains atavismes, de lui en expliquer d'autres, de lui raconter l'origine de certaines choses, notamment nos racines. Que vous a transmis votre arrière-grand-mère, la princesse Mélita Cholokashvili ? Le sens de l'humour et de l'honneur. J'ai eu la chance de la connaître jusqu'à mes 14 ans. On jouait au gin [rami, NDLR] ensemble, elle était très bonne aux cartes.
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