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Science & Vie Photo - Le numéro 2 du 11 juillet 2019

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La Une de Science & Vie Photo n°2 du 11/07/2019

Au sommaire de ce numéro

Science & Vie Photo 2 L'ARCTIQUE NOIR SUR BLANC

L'ARCTIQUE NOIR SUR BLANC

Certains sujets photographiques se prêtent certainement plus que d'autres à un travail en noir et blanc. Il est vrai qu'avec sa faible présence de couleur, l'Arctique est un terrain propice à la réalisation de photographies monochromes. En se basant uniquement sur les valeurs de gris, le photographe s'aperçoit vite que les possibilités de prises de vues sont très diversifiées. Ainsi, par exemple, certaines images très contrastées seront construites avec un nuancier très restreint tandis que d'autres utiliseront une grande diversité de tons. Avant de commencer à réaliser des images en noir et blanc, je règle mon reflex en mode monochrome, de sorte que les clichés soient directement visibles comme tels sur l'écran arrière de l'appareil. Il est même possible avec les appareils hybrides deviser en noir et blanc et devoir directement le rendu des images à venir avant que celles-ci ne soient faites ! Une aide très précieuse pour le choix de cadrage et d'exposition des images. Par ailleurs, les appareils actuels offrent de nombreux réglages pour les contrastes, l'accentuation et divers effets filtre qui vont apporter autant de diversité de rendu aux images monochromes. Concernant l'enregistrement des fichiers, je travaille 100 % du temps en Raw. D'un part parce que c'est le format qui enregistre le plus d'informations et

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Science & Vie Photo 2 EXPLORER LES ETOILES

EXPLORER LES ETOILES

L'observation et la photographie de l'Univers ont longtemps été réservées aux astronomes dotés d'un matériel puissant et complexe, pour une double raison facile à comprendre : d'une part le ciel nocturne est, au minimum, un million de fois moins lumineux qu'un paysage diurne, d'autre part, le ciel... bouge ! La sensibilité à ce mouvement apparent du ciel - puisqu'en réalité c'est la Terre qui tourne sur elle-même en 24 heures -est bien sûr fonction de la résolution de l'optique utilisée pour la photo, donc de sa focale et aussi de la taille des pixels du capteur du boîtier. Elle dépend aussi, et enfin, de la région du ciel visée : la rotation apparente céleste est plus importante à l'équateur qu'aux pôles, mais pour fixer les idées, vous pouvez vous baser sur la vieille, mais imparfaite, “ règle des 500 ”, qui vous permettra de calibrer votre temps de pose maximal pour chacune de vos optiques, nous y reviendrons plus loin.L’APPAREIL ENREGISTRERA DES MILLIONS D’ÉTOILES Le ciel d'été est unique : c'est en effet en juillet et août que la Terre, dans sa course annuelle autour du Soleil, “ tourne le dos ” à celui-ci et fait face, la nuit, au cœur de notre galaxie, la Voie lactée… C'est donc en été que cette immense écharpe lumineuse qui ceint le ciel d'un horizon à l'autre, est le mieux visible. Pour comprendre, prenons un peu de recul : le Soleil est l'une des 160 milliards d'étoiles de la Galaxie, avec un G majuscule. Celle-ci est un disque, renflé en son centre, peuplé d'étoiles, donc, mais aussi de vastes nuées de gaz et de poussière interstellaire, les nébuleuses. Le Soleil est situé à l'intérieur de ce disque, à environ 27 000 années-lumière du centre. En contemplant le ciel, en été, vous voyez donc notre galaxie de profil, et avec un peu de recul. Ce disque stellaire vu par la tranche, c'est la Voie lactée… Celle-ci est absolument invisible en ville, ou dans les quartiers périurbains. Son éclat est bien trop faible, elle est éclipsée par la pollution lumineuse. Pour la contempler, il faut donc profiter des vacances, et aller à la campagne, à la montagne, en s'écartant le plus possible des agglomérations et

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Science & Vie Photo 2 102 mégapixels de polyvalence

102 mégapixels de polyvalence

Pour la première fois la barre des 100 MPa été franchie sur un appareil hybride. Fujifilm qui vient de sortir son GFX 100, le troisième moyen format de sa gamme GFX, se paye même le luxe de laisser deux millions de pixels en rab. Au cas où il nous en manquerait… Annoncé à la Photokina de 2018, le GFX 100 s'était laissé attendre, car hormis les caractéristiques de son gros capteur au format 43,8x32,9 mm, aucun élément n'avait fuité. Ce n'est qu'au mois de mai que Fujifilm a dévoilé son monstre. Le défi pour Fujifilm était déjà de prime abord de différencier son appareil des deux autres boîtiers de la gamme GFX, tous deux équipés de capteurs 50 MP. Mis à part la définition, il fallait faire mieux pour justifier un écart de 4000 € avec le GFX 50S. C'est chose faite puisque le dernier moyen format de Fujifilm embarque une motorisation boostée et semble dépasser son cousin sur tous les points, et pas seulement en taille. La différence se sent dès que l'œil plonge en immersion dans les 5,76 millions de points. Une définition égalée seulement par les Lumix S1 et S1R de Panasonic. Des finitions bien pensées Ses mensurations peuvent surprendre au premier abord, avec son aspect de brique de 15x16 cm emballée dans du magnésium, mais c'est pour mieux surprendre ensuite à la prise en main. Car si des excroissances particulièrement surprenantes font apparition à l'arrière du boîtier, c'est à

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Science & Vie Photo 2 LES ANALYSES CRITIQUES DE LA RÉDACTION

LES ANALYSES CRITIQUES DE LA RÉDACTION

Cette image a été prise dans la Vallée blanche de Chamonix. J'ai appliqué un traitement noir et blanc volontairement minimaliste, en estompant les crevasses à l'exception des plus profondes, dans le but d'accentuer le côté minéral et la sensation de grand froid. Cette photo titrée Sortir d'un songe fait partie d'une série prise en Crète dans la région de Hersónissos. J'ai utilisé une exposition longue pour apporter une certaine sérénité au paysage. Attention à l'alignement des plans La marge de mouvement était peut-être limitée, mais un point de vue plus haut ou plus bas aurait permis d'éloigner ou au contraire de rapprocher la ligne d'horizon du ponton pour mieux détacher ce dernier ainsi que le personnage. Sinon, une position plus basse sur l'échelle aurait été meilleure. Pose longue L'effet vaporeux de l'eau et le floutage du personnage sont dus à la pose de 5 secondes, permise par l'emploi d'un filtre ND400 qui coupe presque toute la lumière. L'appareil étant sur trépied, le ponton et les rochers restent, eux, très nets.

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Science & Vie Photo 2 CONCOURS PERMANENT LES 5 GAGNANTS

CONCOURS PERMANENT LES 5 GAGNANTS

J'ai sous-exposé afin que les noirs soient profonds et, comme je le fais souvent lorsque le rouge est très présent, afin d'éviter un rendu orangé.POURQUOI NOUS L'AVONS CHOISIE Les musées -ici celui d'Orsay - sont souvent des lieux de prise de vue privilégiés. Ayant repéré que les visiteurs s'obscurcissaient soudain en passant dans cette zone, Hervé s'est mis en embuscade, attendant le bon client. L'exposition est maîtrisée, et l'éclairage

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Science & Vie Photo 2 PAYSAGES DE NUIT

PAYSAGES DE NUIT

Ce sont des souvenirs précieux : une fin de soirée à la campagne, avec les premières chauves-souris voletant en tous sens et l'appel invisible des hulottes ou des chevêches. La fantomatique silhouette de chênes se découpant sur le planétarium nocturne, ou bien encore, ailleurs, la formidable barrière des montagnes au loin, lors d'un froid bivouac en altitude, sous un ciel crépitant d'étoiles. Nos APN permettent aujourd'hui de photographier facilement ces mystérieux et fascinants paysages nocturnes. Il suffit d'un pied photo, d'un objectif grand ouvert, et de quelques réglages. Mais si, d'un point de vue technique, une telle image est très facile à produire, la réaliser effectivement est une autre paire de manches… En effet, la contrainte la plus forte, pour l'imagerie astronomique, c'est la pollution lumineuse… Celle-ci, provoquée par l'éclairage public, est particulièrement critique au-dessus de l'horizon, c'est-à-dire justement à l'interface du ciel étoilé et du paysage terrestre que vous voulez photographier ! Pourquoi ? Pour une raison évidente, et une autre qui l'est moins. D'abord, bien sûr, la pollution lumineuse est émise sur Terre, en

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