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Science & Vie Photo - Le numéro 4 du 7 novembre 2019

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La Une de Science & Vie Photo n°4 du 07/11/2019

Au sommaire de ce numéro

Science & Vie Photo 4 LES 5 GAGNANTS

LES 5 GAGNANTS

Dans chaque numéro de Science & Vie Photo, nous sélectionnons cinq images gagnantes parmi toutes celles qui nous sont adressées. Leurs auteurs reçoivent chacun un chèque de 100 €. Sujet et technique photographique sont libres ! Voir les modalités de participation page 184 « C'était lors des grandes marées, sur la plage de La Baule. Ces goélands jouaient un véritable ballet aérien, très sonore, jusqu'à ce que l'un d'eux lâche sa prise. J'ai réussi à prendre une série avant que l'étoile de mer ne retombe à l'eau…» POURQUOI NOUS L'AVONS CHOISIE Grâce à sa patiente observation et à sa maîtrise technique, assortie

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Science & Vie Photo 4 De l'électronique à la photo

De l'électronique à la photo

Y a-t-il un domaine de l'électronique dans lequel Sony n'est pas présent ? À travers plus de cent sociétés comme Sony France SAS, Sony Corporation of America, Sony Music Entertainment, Sony Pictures Entertainment, Sony Interactive Entertainment, etc. , le géant japonais touche pratiquement tous les secteurs. Depuis sa création en 1946 sous le nom Tōkyō Tsūshin Kōgyō (TTK) avec vingt salariés, la société n'a cessé de croître jusqu'à employer aujourd'hui plus de 100 000 salariés. C'est en 1958 qu'elle a pris le nom de Sony, du latin sonus qui signifie son et de l'expression anglaise en vogue au Japon “Sunny boy” qui désigne une jeune personne à l'esprit libre et novateur. Elle fabrique alors des transistors et des se-miconducteurs et va naturellement se tourner vers l'industrie audiovisuelle avec la commercialisation de récepteurs radio avant d'inventer la cassette vidéo couleur en 1971, le magnétoscope Betamax en 1979,

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Science & Vie Photo 4 FUJIFILM performe dans le X

FUJIFILM performe dans le X

L'histoire de Fujifilm est intimement liée à celle de la photographie en général. La compagnie existe depuis 1934 en tant que fabricant de films et de papiers photographiques et alors que le numérique a totalement bouleversé ce secteur d'activité, la société japonaise est une des seules à en poursuivre la production. Mais la photographie n'est qu'une infime partie des productions de l'entreprise, qui se répartissent en trois grands secteurs d'activité. Le plus important, 43% du chiffre d'affaires environ, est détenu par le secteur médical avec la fabrication d'instruments de radiologie et d'endoscopie et de produits pharmaceutiques. Pratiquement équivalent, 41% du chiffre d'affaires, le secteur des fournitures d'impression et de bureau est exploité par Fuji Xerox. Le secteur de l'imagerie ne représente alors que 16% du chiffre d'affaires global de l'entreprise et se divise lui même

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Science & Vie Photo 4 Le réveil du Z

Le réveil du Z

Du passé il est toujours compliqué de faire table rase, surtout lorsqu'en cent ans on est passé de la Nippon Kōgaku Kōgyō, née de la fusion de trois opticiens tokyoïtes sous l'égide du ministère de la Défense, à Nikon, incontournable pilier de la photographie. Toutes industries confondues, rares sont les entreprises ayant acquis ce statut de quasi-légende, profondément ancrée dans l'imaginaire populaire. Mais être au cœur de l'image et de la photographie ne va pas sans inconvénients. Les dix années écoulées n'ont pas été particulièrement tendres avec Nikon. Pourtant, l'histoire avait bien démarré puisqu'il faut se rappeler qu'en 2008, le D90 a été le premier reflex capable de filmer. Une audace primesautière presque surprenante pour un constructeur plus connu pour ses positions conservatrices, quoique rassurantes (à moins que ce ne

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Science & Vie Photo 4 Le nouveau géant

Le nouveau géant

Mais que vient faire le plus gros fabriquant de cuiseurs de riz dans le monde de la photographie ? Nous sommes en 2001 et Panasonic, dont la maison mère s'appelle encore Mat-sushita, est alors surtout connu en Europe pour son petit électroménager, ses téléviseurs plasma et son matériel audio haut de gamme. Les premiers appareils photographiques numériques existent depuis une bonne décennie déjà et ce marché promis à un bel avenir attise l'appétit des électroniciens japonais, alors leaders mondiaux. Les géants Panasonic et Sony sont sur les rangs. Mais contrairement à Sony, déjà présent avec ses Mavica et déjà partenaire de Carl Zeiss, Panasonic doit créer une marque de toutes pièces (ce sera Lumix) et justifier sa légitimité. Le marché de la photographie est alors tenu par un petit nombre de marques historiques (Canon, Nikon, feu Minolta, Olympus,

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Toutes les clés pour bien s'équiper

1 Comprendre la distinction entre hybride et reflex Plusieurs traits distinguent les deux familles de boîtiers à objectifs interchangeables, avec à la clé des avantages et des inconvénients. Par définition, un reflex possède un système de visée utilisant miroirs et prismes, seul procédé à permettre un aperçu direct de l'image formée par l'objectif. Les hybrides abandonnent ce système, le capteur est en permanence mis à contribution pour assurer la visée. Il transmet une image vidéo soit vers l'écran, soit vers un viseur de type électronique (EVF, pour Electronic Viewfinder). La visée reflex est appréciée pour son rendu très naturel, mais la visée électronique offre beaucoup d'avantages un plus fort grossissement et une couverture totale du champ, une luminosité accrue en faible lumière, un aperçu direct du rendu en fonction des réglages adoptés, la surimpression d'information à la demande (histogramme, zones de netteté...), ou encore l'absence de “blackout” (masquage) pendant la prise de vue... Mais, malgré les énormes progrès effectués ces dernières années, les EVF trahissent encore souvent leur nature numérique par une manque de fluidité et une trame visible. De même, leur dynamique limitée peut compromettre la lisibilité sur les sujets très contrastés, notamment en contre-jour. Mais l'avantage recherché des hybrides est avant tout la compacité : en s'affranchissant de visée optique, on gagne de la place, surtout en épaisseur, car l'objectif peut se rapprocher du capteur (tirage optique plus court). Les boîtiers hybrides sont comparativement (à taille de capteur égale) plus compacts et légers que leurs équivalents reflex, même si cette règle est moins évidente pour les objectifs qui leur sont assortis. La différence de visée entraîne d'autres effets. Là où les reflex doivent adopter des outils de mesure (autofocus, exposition, balance des blancs) différents selon que l'on cadre avec le viseur (des capteurs secondaires sont alors mis en œuvre), ou bien avec l'écran (et là c'est le capteur principal qui assure ces fonctions), les hybrides reposent sur des systèmes uniques assurés par le capteur principal. C'est surtout au niveau de l'autofocus que l'utilisateur verra la différence. La dichotomie des reflex les rend plus compliqués, avec deux systèmes AF distincts, chacun ayant sa propre logique et ses propres performances. Et ce n'est plus vraiment un avantage, car les autofocus intégrés aux capteurs CMOS principaux

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