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La Revue Nationale de La Chasse - Le numéro 866 du 15 octobre 2019

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La Une de La Revue Nationale de La Chasse n°866 du 15/10/2019

Au sommaire de ce numéro

La Revue Nationale de La Chasse 866 Chasses insolites du sanglier

Chasses insolites du sanglier

Dans ces chasses insolites, nous vous invitons à découvrir d'autres approches qui appartiennent parfois aux habitudes d'une région ou d'un pays, ou qui répondent à une nouvelle problématique. Très réactif et doté d'une fantastique capacité d'adaptation, le sanglier échappe au danger avec un sens de l'improvisation rare. Il s'est adapté à une pression de chasse renforcée en colonisant de nouveaux espaces (haute montagne, marais, zones péri-urbaines voire urbaines, cultures de plaine et haies dans le bocage… ), ou en modifiant ses comportements sociaux (grégarité et mobilité renforcées, vigilance accrue) qui peuvent nous contraindre à revoir nos stratégies. Et parfois à renouer avec d'anciennes pratiques telles que la traque aux chiens pisteurs et de prise, ces chasses populaires pratiquées avant l'avènement du chien courant, à partir des années 1950/1960 et la mise en place d'équipes étoffées dans les villages. Chasses insolites de la bête noire jadis Le sanglier, roi de l'arène Les jeux du cirque débutaient par la venatio, chasse reconstituée qui opposait deux catégories de gladiateurs, les venatores et les bestairri à différentes bêtes sauvages dont de grands sangliers. Très légèrement vêtu d'une courte tunique, prévue pour ne pas gêner ses mouvements et optimiser son agilité, le venator compensait l'absence de protection par une arme plus longue : non pas un glaive comme le bestiarius qui lui revêtait une armure, mais un épieu ou Venabulum à pointe losangique. La longueur de cette arme lui assurait une sécurité toute relative en lui permettant de tenir les animaux à distance. Il attendait ainsi de pied ferme la charge du sanglier, qui venait s'empaler sur l'épieu. D'autres étaient équipés d'un javelot, ou parfois d'un trident. Le sanglier comptait parmi les gibiers les plus prisés dans l'amphithéâtre, surtout par les venatores gaulois aux yeux desquels il incarnait des vertus de courage et de virilité. La bête noire était même considérée comme le plus dangereux des adversaires, devant le lion, l'ours ou l'aurochs. Et l'affronter revenait à accomplir un exploit digne des héros antiques.“Très réactif, rusé et doté d'une fantastique capacité d'adaptation, le sanglier échappe au danger.”Chasses de la bête noire au XIXe et début XXe Nous citons ces pratiques car le sanglier modifiant ses habitudes, certains chasseurs y reviennent ou tout du moins s'en inspirent. Une majorité de ruraux qui ne pouvaient entretenir une meute découplaient alors de simples gardiens de troupeaux, sortes de mâtins à l'état civil indéterminé. Les adeptes du déduit connu sous le nom de "routaillement" remontaient la

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La Revue Nationale de La Chasse 866 Temps pourri = chasse bénie ?

Temps pourri = chasse bénie ?

La société contemporaine glorifie le ciel bleu, le soleil et semble faire de ces deux éléments la condition sine qua none de notre bonheur, malgré un réchauffement climatique qui tend à nous cuire à l'étouffée. À l'inverse, un temps plus contrasté, pluvieux, venteux, couvert ou froid, se résume souvent en l'expression usuelle et lapidaire "temps de merde", ou maussade si vous préférez. Il suffit simplement de regarder le bulletin météo pour voir le contraste du champ lexical entre un ciel dégagé et un ciel couvert, mais aussi de l'expression heureuse ou triste de la présentatrice selon l'une ou l'autre des prévisions envisagées. De même, dites à vos amis que vous prenez vos vacances estivales dans une destination réputée pour son hygrométrie généreuse (Irlande, Scandinavie… ), vous verrez alors se dessiner sur leur visage un léger rictus de compassion et lirez dans leurs yeux à quel point ils sont navrés pour vous, comme si l'on ne pouvait profiter de la vie que sous un soleil californien. Eh bien, sachez qu'en tant que chasseurs, nous devrions, davantage aimer le ciel gris et la météo instable, à l'instar de Georges Brassens qui réclame dans sa chanson L 'Orage, qu'on lui parle "de la pluie et non pas du beau temps". Car c'est souvent lorsque le temps est "pourri" que se dessinent nos meilleures parties de chasse. Seul en piste Avant de rentrer dans le détail des avantages d'une météo capricieuse, commençons par le commencement. Pour les raisons évoquées ci-dessus,

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La Revue Nationale de La Chasse 866 The Gambia Adventure

The Gambia Adventure

Enfin, nous arrivons à Banjul, capitale de la Gambie ! Ce pays à la forme si particulière est composée d'une petite bande de terre de 15 à 25 km de part et d'autre de son majestueux fleuve. À peine sortie de l'avion, notre contact prend en charge toutes les formalités. Grâce à lui, il ne nous faudra que quelques dizaines de minutes pour être assis dans le pick-up en direction du camp ; une prise en charge qui vous évite tous les tracas administratifs, notamment pour les armes si vous décidez d'utiliser la vôtre. Après 2 h 30, sur une belle route, nous arrivons au campement de Kundong pour le dîner. Jacques Giraudet nous accueille avec son équipe de pisteurs, sans oublier le fidèle barman Charles qui prend soin de nous offrir quelques rafraîchissements. Serrages de mains, embrassades… ,

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La Revue Nationale de La Chasse 866 Les mois du raire chez le daim

Les mois du raire chez le daim

Le daim est souvent qualifié d'invasif alors que paradoxalement il a toujours appartenu à notre bestiaire, avec une parenthèse durant le dernier âge glaciaire. Il est vrai que de nombreuses fédérations de chasseurs ne souhaitent pas forcément voir progresser un ongulé supplémentaire ! Si vous évoquez l'avenir du daim en France, on vous rétorquera souvent que la seule bonne réponse à sa présence est son éradication. Car pas question de laisser proliférer un autre grand gibier, quand les fédérations très souvent ne parviennent déjà plus à financer les dégâts de sangliers. Malgré tout l'intérêt que nous portons à la bête noire, il est clair qu'elle nous prive là d'une belle opportunité de varier les plaisirs avec ce gibier qui mérite cent fois, mille fois d'enrichir notre bestiaire. Surtout sur tous les territoires de type bocager qui ne peuvent accueillir le cerf, mais aussi dans les habitats méditerranéens qui lui conviennent bien. Un peu d'histoire Probablement originaire d'Asie mineure, le daim a disparu d'Europe où il était largement répandu durant le dernier âge glaciaire, qui connut ses pics de basses températures vers - 22 000 ans. Historiquement, il appartient donc à notre bestiaire. Du reste, ses ossements ont été retrouvés dans de nombreuses grottes et des abris sous roche néandertaliens ou de Cro-Magnon. Les Phéniciens auraient vraisemblablement sauvé l'espèce en élevant quelques individus destinés à la pratique des sacrifices. Puis les Romains, qui appréciaient sa venaison, l'ont réintroduit par la suite et ont largement contribué à son

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La Revue Nationale de La Chasse 866 3 Approuvés par la chasse produits testés à la chasse

3 Approuvés par la chasse produits testés à la chasse

>Que ce soit en forêt pour suivre les cantonnements des animaux, en zone périurbaine, en plaine où la rotation des cultures amène les sangliers à modifier leurs déplacements au gré et au fil des saisons, ce mirador mobile sur roues est LA solution. Tracté par une voiture (ou un quad) équipée d'un attelage grâce à son PTAC de 380 kg (pas de carte grise), une seule personne l'installe en moins de 5 minutes, sans le moindre bruit. On déploie la roue d'appui du timon, puis les quatre stabilisateurs latéraux coulissants (qui permettent de mettre le mirador d'équerre même en devers), on retire la barre de verrouillage et il suffit de pousser la caisse vers le haut, une opération relayée par les deux vérins à gaz. Une fois la caisse en position

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La Revue Nationale de La Chasse 866 Capricieuses bécasses du Comminges

Capricieuses bécasses du Comminges

Les collines du Comminges ont beau ne pas être aussi élevées que les montagnes voisines de la chaîne pyrénéennes, leur pente n'en est pas moins raide… C'est ici, dans ce piémont Pyrénéen, région assez peu connue, que nous nous retrouvons, en cette prometteuse journée d'automne, à la recherche de la dame au long bec. Le pays n'est certes pas le mieux servi par les migrations - notamment de par sa position géographique très méridionale et un peu en dehors des principaux couloirs migratoires de l'Atlantique et de la vallée du Rhône - mais il possède un nombre important de bécassiers. Des bécassiers tenaces, puisque le territoire est très physique, et la présence de l'oiselle sans doute plus qu'ailleurs

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