Me réabonner

Discothèque Diapason 3 : Beethoven

0-406256

Coffret 11 CD : Plus de 12h d’écoute ! Edition limitée ! Une double intégrale des symphonies : - 9 choisies par les critiques, - 9 par les plus grands chefs : Nikolaus Harnoncourt, Simon Rattle, Yannick Nézet-Seguin, John Eliot Gardiner, Daniel Harding, Pablo Heras Casado, David Zinman, Paavo Järvi, Jérémie Rhorer.

 

Chaque pièce est si spéciale chez Chopin, si différente de la suivante et de la précédente, que je n’apprécie pas les mêmes pianistes d’un opus à l’autre. » Nikolai Lugansky, enrôlé dans l’équipe (mi-critiques mi-pianistes) qui sélectionnait les enregistrements du Volume II de cette Discothèque idéale , résumait sans le ­savoir son principe. La remarque ne vaut pas moins pour les symphonies de Beethoven, qu’interprètes et éditeur ont pris l’habitude d’enregistrer par intégrales dès les années 1930. Méthode étrange dans ces partitions où le compositeur invente neuf fois le genre symphonique, remodèle sans cesse son temps, sa forme, reconstruit l’orchestre. Les ­cinéphiles découvraient en 1971 Orange mécanique et en 1975 Barry Lindon : le fossé entre les deux films de Stanley Kubrick n’est pas plus mince que celui qui sépare la Symphonie n° 5 et la « Pastorale », pourtant créées lors du même concert.

Beethoven se prête mal aux compromis

Reprenons donc le principe des comparaisons (à l’aveugle ou pas), mêlons les experts de Diapason, deux musicologues de tout premier plan et les interprètes majeurs de Beethoven aujourd’hui : John Eliot Gardiner, Daniel Harding, Nikolaus Harnoncourt, Pablo Heras-Casado, Paavo Järvi, Yannick Nézet-Seguin, Simon Rattle, Jérémie Rhorer et David Zinman. Mais changeons la règle du jeu : chaque symphonie apparaîtra dans deux choix (exception pour la première et la dernière qui apparaissent trois fois), pour le plaisir stimulant des confrontations mais aussi pour mesurer l’éventail des possibles. Les réalisations les plus convaincantes sont parfois – et même souvent dans ce coffret – diamétralement opposées. Beethoven se prête mal aux compromis.

Préférence absolument subjective

La consigne était la même pour tous : une préférence argumentée mais absolument subjective. Ces onze CD sont autant de miroirs, entre les choix des critiques et ceux des chefs, entre les chefs actuels et d’hier, entre notre époque déterminée à renouveler l’écoute de Beethoven et les interprètes qui ne faisaient pas autre chose dans les années 1930, 1940, 1950 ou 1960, mais que la distance du temps nous fait parfois assimiler à des traditions.

La Discothèque de Diapason vol. III, « Beethoven, deux intégrales des symphonies  »11 CD.

Voir le descriptif détaillé
34€ 90

Description

Coffret 11 CD : Plus de 12h d’écoute ! Edition limitée ! Une double intégrale des symphonies : - 9 choisies par les critiques, - 9 par les plus grands chefs : Nikolaus Harnoncourt, Simon Rattle, Yannick Nézet-Seguin, John Eliot Gardiner, Daniel Harding, Pablo Heras Casado, David Zinman, Paavo Järvi, Jérémie Rhorer.

 

Chaque pièce est si spéciale chez Chopin, si différente de la suivante et de la précédente, que je n’apprécie pas les mêmes pianistes d’un opus à l’autre. » Nikolai Lugansky, enrôlé dans l’équipe (mi-critiques mi-pianistes) qui sélectionnait les enregistrements du Volume II de cette Discothèque idéale , résumait sans le ­savoir son principe. La remarque ne vaut pas moins pour les symphonies de Beethoven, qu’interprètes et éditeur ont pris l’habitude d’enregistrer par intégrales dès les années 1930. Méthode étrange dans ces partitions où le compositeur invente neuf fois le genre symphonique, remodèle sans cesse son temps, sa forme, reconstruit l’orchestre. Les ­cinéphiles découvraient en 1971 Orange mécanique et en 1975 Barry Lindon : le fossé entre les deux films de Stanley Kubrick n’est pas plus mince que celui qui sépare la Symphonie n° 5 et la « Pastorale », pourtant créées lors du même concert.

Beethoven se prête mal aux compromis

Reprenons donc le principe des comparaisons (à l’aveugle ou pas), mêlons les experts de Diapason, deux musicologues de tout premier plan et les interprètes majeurs de Beethoven aujourd’hui : John Eliot Gardiner, Daniel Harding, Nikolaus Harnoncourt, Pablo Heras-Casado, Paavo Järvi, Yannick Nézet-Seguin, Simon Rattle, Jérémie Rhorer et David Zinman. Mais changeons la règle du jeu : chaque symphonie apparaîtra dans deux choix (exception pour la première et la dernière qui apparaissent trois fois), pour le plaisir stimulant des confrontations mais aussi pour mesurer l’éventail des possibles. Les réalisations les plus convaincantes sont parfois – et même souvent dans ce coffret – diamétralement opposées. Beethoven se prête mal aux compromis.

Préférence absolument subjective

La consigne était la même pour tous : une préférence argumentée mais absolument subjective. Ces onze CD sont autant de miroirs, entre les choix des critiques et ceux des chefs, entre les chefs actuels et d’hier, entre notre époque déterminée à renouveler l’écoute de Beethoven et les interprètes qui ne faisaient pas autre chose dans les années 1930, 1940, 1950 ou 1960, mais que la distance du temps nous fait parfois assimiler à des traditions.

La Discothèque de Diapason vol. III, « Beethoven, deux intégrales des symphonies  »11 CD.

Vous aimerez aussi :

Satisfait<br>ou remboursé

Satisfait
ou remboursé

Service client à votre écoute

Service client à votre écoute

Moins cher qu'en kiosque

Moins cher qu'en kiosque