Les modèles hybrides ont franchi un cap : pour la première fois, ils ont représenté plus de la moitié des immatriculations en France au premier semestre. Ces mécaniques se sont arrogé 50,5 % du marché sur les six premiers mois de 2025, contre 42,8 % en 2024, et seulement 14,8 % en 2020 ! Un chiffre qu'il convient de légèrement nuancer, car ces données incluent aussi les micro-hybrides (à hybridation légère ou mild hybrid). Il n'empêche : en cinq ans, les ventes d'hybrides en tout genre ont été multipliées par 3,5. Un véritable boom, à comparer au marasme que connaissent les autres motorisations. En cinq ans, l'essence est ainsi passée de 46,9 à 23,1 % de part de marché, le diesel descendant, lui, sous la barre des 5 % au premier semestre 2025… contre 77,3 % en 2008, au plus fort de la “diesel mania” ! Rechargeable ou non ? Et les électriques dans tout ça ? Elles plafonnent : 16,8 % des ventes en 2023, 16,9 % en 2024 et 17,6 % au premier semestre 2025. Et ce, en dépit d'une offre qui s'enrichit avec, notamment, des modèles plus abordables. Néanmoins, les automobilistes préfèrent opter pour des hybrides, moins coûteuses à l'achat et plus polyvalentes sur les longs trajets. Outre les micro-hybrides, dont le moteur électrique n'est pas assez puissant pour faire avancer le véhicule sans l'aide du bloc thermique (nous n'abordons pas ces modèles dans ce dossier), le
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