Pour prendre la suite de l'austère Carlos Tavares, Stellantis mise désormais sur le flamboyant Antonio Filosa, toujours tiré à quatre épingles, et bien introduit dans l'entourage de Donald Trump comme au Parlement italien. Renault a fait l'inverse : après l'exubérant Luca de Meo, parti mi-juillet dans le monde du luxe, c'est un profil en apparence beaucoup plus lisse qui a été choisi en la personne de François Provost. Si le premier a bâti sa carrière autour du produit, le second vient davantage des sphères politiques et financières. A tel point qu'il s'est empressé de déclarer qu'il était un “car guy”, et pas seulement un homme de chiffres, afin de rassurer les sceptiques. Qu'importe les profils, les deux hommes vont maintenant devoir relever leurs manches pour proposer des voitures en ligne avec les attentes et le pouvoir d'achat des clients… partout dans le monde. ANTONIO FILOSA Les défis en commun FRANÇOIS PROVOST Qui
Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Auto Plus n°1932 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.
Voir plus