Auto Plus - Le numéro 1935 du 3 octobre 2025

Item sans titre Item sans titre Item sans titre Item sans titre Item sans titre Les mesures exclusives du LABO Auto Plus Petit à petit, les hybrides font leur nid… Les statistiques, sur les huit premiers mois de l'année, nous indiquent même qu'elles représentent aujourd'hui 50,9 % des ventes dans l'Hexagone. Une voiture sur deux ! En réalité, il faut extraire de ce total les micro-hybrides (voir nos explications dans l'encadré ci-contre), qui représentent environ 15 % de l'offre. Sachant que les hybrides rechargeables ne totalisent plus que 6,1 % de part de marché (contre 7,8 % en 2024), cela nous fait tout de même près de 30 % du “mix” au crédit des hybrides classiques (ou full hybrid). Il s'agit bien du mode de mobilité favori des automobilistes français, devant le 100 % essence (22,8 %) et le tout électrique (17,7 %). Le diesel ? Autrefois érigé au rang de divinité, il ne représente plus désormais que 5 %. A peine plus que le GPL (3,6 %) ! Avec ou sans prise ? Plus chers que les modèles essence traditionnels, les hybrides classiques - dont le moteur électrique aide le moteur thermique à l'accélération, et peut mouvoir seul la voiture en agglomération et à allure modérée - restent plus abordables que les rechargeables (ou plug-in/PHEV). Ces derniers embarquent en effet une batterie de capacité vingt fois supérieure en moyenne, offrant entre 30 et 80 km d'autonomie électrique. Certaines nouveautés du groupe Volkswagen sont même en mesure de rouler 100 km sans consommer d'essence. Tentant ! A condition de jouer le jeu de la recharge, dès que la batterie est dans le rouge. Car même si ces modèles fonctionnent alors comme des hybrides classiques, le bloc thermique consomme généralement davantage lorsqu'il est sollicité. Logique, puisque, avec sa grosse batterie, un

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Depuis 2018, le C5 Aircross brille par son confort et sa modularité, sur le segment très disputé des SUV compacts. Son remplaçant ose un style plus fort, quitte à susciter des avis aussi tranchés que ses formes ou ses nouveaux feux arrière ! Et pour soigner encore plus ses vertus familiales, il étire son empattement de 6 cm, s'allonge de 15 cm et s'élargit de 5 cm, se positionnant à la lisière de la catégorie supérieure. Il compte aussi sur sa nouvelle plate-forme multi-énergie STLA, étrennée par le Peugeot 3008. Celle-ci permet de proposer une version électrique de 210 ch (déjà testée dans le n° 1923 d'Auto Plus), une hybride de 145 ch et une hybride

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Clio 5 Item sans titre Item sans titre Radicalement différent 100 % nouvelles ! Item sans titre Item sans titre Plus moderne, mais pas plus spacieuse Les changements en détail En progression Et les prix ? - Souvenez-vous, en 2019, lorsqu'est apparue la cinquième génération de la citadine, on lui avait reproché de ne pas se démarquer suffisamment de la précédente. Un “défaut” qui avait toutefois été corrigé en 2023 par un restylage qui lui avait apporté davantage de caractère. Mais pour cette Clio 6, le moins que l'on puisse dire est que Renault a créé une vraie rupture ! A tel point que, si son nom ne figurait pas sur la carrosserie,

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Chez les citadines, les déclinaisons break sont souvent zappées à l'heure du choix, malgré un coffre et des places arrière plus vastes. La 207 SW ne fait pas exception. Et si sa banquette 2/3-1/3 apparaît classique, sa lunette arrière ouvrante est un vrai plus pour les chargements encombrants. Les meilleurs plans sont du côté des versions de fin de carrière, à la dotation enrichie : clim', radar de recul, toit panoramique et Bluetooth sur cette Série 64. Plus fiable que son grand frère de 110/112 ch, le 1.6 HDi 92 assure déjà de bonnes performances, y compris en charge, et reste sobre. Idéal pour les longs trajets, d'autant que le comportement de l'auto n'a pas vieilli. Vu une Série 64 de 2012 avec 162 000 km à 3 990 € La recette de la Clio 4 Estate est aussi simple que séduisante : un coffre agrandi (451 dm3 contre 330), des barres de toit,

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Dacia et Renault font partie des (très) rares constructeurs à inclure dans leurs gammes des moteurs à carburants alternatifs, en l’occurrence le GPL. Chez les deux marques, ces versions sont des championnes de la rentabilité. En mode GPL, elles consomment certes environ 30 % de plus qu’en essence, mais le prix attractif de ce carburant à la pompe (moins de 1 € par litre) permet de réaliser de réelles économies à l'usage. Problème : jusque-là, le seul moteur de ce type était limité à 100

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Le déficit de points reste important, mais il ne semble plus irrémédiable. En l'espace de deux courses, Max Verstappen a réduit son retard d'un tiers sur Oscar Piastri, le leader du championnat, passant de 104 à 69 points. Intercalé entre les deux hommes, Lando Norris, l'autre pilote McLaren, compte 44 points d'avance sur le Néerlandais. Avec sept Grands Prix et trois sprints encore à disputer, tout est mathématiquement possible, et les raisons d'y croire de plus en plus nombreuses. La Red Bull a beaucoup progressé depuis l'introduction d'un nouveau fond plat en Italie. Le résultat en piste fut immédiat : pole position de Verstappen le samedi, puis victoire le dimanche, avec 19 secondes d'avance sur Norris, soit le plus gros écart de la saison entre un vainqueur et le deuxième. Quinze jours plus tard à Bakou,

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