Auto Plus - Le numéro 1936 du 10 octobre 2025

Ne parlez plus de low cost ! Dacia monte en gamme et cherche à opérer un changement d'image. Toujours malin et moins cher que la concurrence, mais plus cool et plus désirable qu'avant. Le design compte désormais beaucoup, alors qu'il passait au second plan du temps des premières Logan. Une stratégie flagrante depuis la sortie de la Sandero 3, du récent Duster, très looké, puis de son grand frère, le Bigster. Ce dernier peut d'ailleurs dépasser les 30 000 €… Des ambitions croissantes qui doivent permettre à Dacia de gagner des parts de marché. Les chiffres semblent montrer que cette stratégie paye : les Sandero et Duster sont désormais des habitués du top 10 des ventes en France. Au point qu'en 2024, Dacia affichait les deuxièmes meilleures ventes aux particuliers dans l'Hexagone, loin devant Peugeot, et à quelques encablures seulement de… Renault ! Avec l'élargissement de sa gamme, il y a fort à parier que le roumain conserve ce rang en 2025. A la recherche de l'achat malin Sur le papier, plus grand-chose ne sépare le haut de la gamme de Dacia des modèles les plus accessibles de Renault.

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Auto Plus n°1936 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Plus encore que l'achat d'une auto pour un particulier, l'acquisition d'une voiture de société n'a rien de simple. Quel type de motorisation choisir ? Avec quelle fiscalité ? Essayons d'y voir un peu plus clair… - Les taxes sur les véhicules de société se répartissent en deux catégories. D'abord, la taxe annuelle sur les émissions de CO2, avec un barème progressif qui démarre dès 10 g/km (à raison d'un euro par gramme), puis va crescendo (2 €/g à partir de 51 g/km, 3 € à partir de 59 g, 4 € à partir de 91 g…). Tous les modèles sont concernés, sauf les électriques. Quant au seul modèle E85 du marché (le Ford Kuga FHEV E85), il bénéficie d'un abattement de 40 % sur ses émissions de CO2. - Vient ensuite la taxe annuelle sur les polluants atmosphériques (ou TVS “Air”). Elle est calculée en fonction du niveau de pollution émis par les véhicules, de leur type de motorisation (essence ou gazole) et de leur année de mise en circulation. Elle est de 0 €/an pour un modèle électrique, de 100 €/an pour un essence (électrifié ou non) et de… 500 €/an pour un diesel. - Enfin, les véhicules de société sont soumis au malus écologique et au malus au poids . Rappelons que le premier débute dès 113 g/km (50 €) et culmine à 70 000 €

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Auto Plus n°1936 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Assemblée à Flins, dans les Yvelines, la précédente Micra, lancée en 2017, était alors basée sur la Renault Clio 4. Une excellente origine, qui ne lui a malheureusement pas permis d'embrasser la carrière espérée. Au point d'être mise au rancart dès l'été 2023, sans remplaçante. Après deux années blanches, Nissan ressuscite finalement sa citadine fétiche, toujours assemblée en France, mais cette fois au cœur de l'usine Renault de Douai. Le berceau d'une certaine… R5-Tech ! Il ne s'agit bien sûr pas d'un hasard, puisque l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, comme tous les grands groupes automobiles, mutualise ses plates-formes. Celle autour de laquelle est bâtie la “Cinq”, baptisée AmpR Small , profite ainsi à la nouvelle Micra, qui fait donc un virage à 180° en abandonnant

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Auto Plus n°1936 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

L'actuel DS 7 Nouveau départ pour DS. Après plusieurs années de calme plat, la marque premium française relance la machine avec deux nouveautés attendues dans les show-rooms en ce début d'automne : sa grande cross-berline N°8 et une DS 4 remise au goût du jour (et rebaptisée N°4), prochainement à l'essai dans nos pages. Tous les regards se tournent désormais vers le premier trimestre 2026, date prévue pour la révélation de la seconde génération du DS 7. Un rendez-vous important pour DS, qui doit enfin convaincre après plusieurs lancements décevants, et relancer sa dynamique commerciale avec ce SUV qui demeure le pilier de ses ventes. En Bref Repartir d'une feuille blanche Pour cet opus, DS recommence presque de zéro. Premier changement de taille : son nom deviendra “N°7”,

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Auto Plus n°1936 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Longtemps chouchou des Français, jusqu'à représenter près de huit ventes de voitures neuves sur dix, le diesel ne cesse de perdre du terrain depuis une décennie, avec moins de 5 % des immatriculations depuis le début de l'année 2025. Si le constat semble sans appel en ce qui concerne le neuf, il est totalement différent en occasion… Attirés par des perspectives d'économies et de fiabilité, 40 % des automobilistes qui ont acquis une voiture d'occasion cette année ont choisi un dCi, un HDi ou encore un TDI. Un engouement qui incite certains vendeurs à se montrer un peu trop gourmands lorsqu'ils établissent leur prix de vente. Heureusement, d'autres restent raisonnables, ce qui renforce l'attrait de cette motorisation au moment du choix face à des essence, GPL et hybrides dont les cotes peinent à redescendre. Outre les vérifications habituelles en matière d'entretien, acheter un diesel récent nécessite de se poser des questions quant à l'usage qui a été fait de la voiture convoitée. En effet, un exemplaire avec peu de kilomètres n'est pas toujours un bon choix, car il a probablement enchaîné les petits parcours et/ou roulé majoritairement en ville. Des terrains qui mettent souvent à mal les systèmes de dépollution. Mieux vaut alors s'orienter vers une auto qui a davantage roulé, mais qui a surtout écumé les voies rapides durant de longs trajets. Cette Clio

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Auto Plus n°1936 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

D'ici peu, le bras armé “privé” de la Sécurité routière aura étendu son emprise sur la (quasi) totalité des départements : une fois déployées en Haute-Savoie (le 15 octobre) et en Lozère (le 7 novembre), les voitures radars privatisés seront actives sur toutes les routes françaises (sauf celles d'Ile-de-France et de Corse). Dans le même temps, le rythme d'installation des radars autonomes s'accélère, tandis que l'arrivée des radars urbains se profile. Bref, il faut s'attendre à des lendemains qui flashent toujours plus… Et ce, même si les radars ne parviennent plus à infléchir une courbe de la mortalité routière qui stagne depuis dix ans. Pourtant, ça n'est pas faute de

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Auto Plus n°1936 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.