Item sans titre Tous les amateurs de Formule 1 connaissent la célèbre courbe Ascari du mythique autodrome de Monza, qui accueille le Grand Prix d'Italie. Transformée au fil du temps, elle se présente aujourd'hui comme un enchaînement de trois virages prononcés, jugé complexe par les pilotes pour l'intensité du rythme qu'il impose. Quant à Alberto Ascari, il faisait déjà, de son vivant, figure de demi-dieu. La famille Ascari baignait dans la course automobile : le père, Antonio, très grand pilote des années 1920, se tua le 26 juillet 1925 à Montlhéry durant le Grand Prix de l'Automobile Club de France. L'excellent Pino Allievi, grand spécialiste de la F1 pour la Gazzetta dello Sport, “LE” quotidien italien du sport, écrivait : “ Alberto ressemblait beaucoup à son père. La modestie, la générosité, l'amour de la famille, et la sérénité en toutes circonstances.” D'après Allievi, Alberto “toucha le monde de l'automobile à Monza
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