Diapason - Le numéro 678 du 27 mars 2019

Le touriste en visite à Prague n'a aucune raison de parcourir les quatre-vingts kilomètres qui le séparent de Lounovice, bourgade voisine du mont Blanik. Ici reposent les fantômes des chevaliers qui défendront les contrées hussites en cas d'attaque - une scène mythologique décrite par Smetana dans le dernier volet de

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Se livrant dans nos colonnes, il y a un peu plus d'un an, à l'exercice des Disques de ma vie1, Juan Diego Florez nous avait fascinés en évoquant le chemin l'ayant conduit de la scène pop de Lima aux grands théâtres lyriques du monde. Né dans une famille de musiciens

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Brahms, qui avait peiné pendant vingt et un ans sur sa première symphonie, jusqu'en 1876, met seulement quatre mois pour accoucher, en 1877, de la deuxième. Il y travaille en un seul élan créatif, au bord du Wörthersee en Carinthie, puis du côté de Baden-Baden. Le reste de l'année le

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Il est l'un des violonistes au monde les plus admirés pour la rigueur, l'intransigeance, la profondeur et l'engagement farouche de son approche musicale, ennemie de toute facilité et de toute joliesse. Depuis quelques saisons, un vent nouveau paraît cependant souffler sur les doigts et… dans les poils de Christian Tetzlaff.

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A sa création, au Teatro Novissimo de Venise en 1641, La Finta Pazza remporta un extraordinaire triomphe : on acclama le livret de Strozzi, au dramatisme trépidant, la musique de Sacrati, au lyrisme inédit, mais aussi l'interprétation mémorable d'Anna Renzi (la première diva de l'Histoire) et les décors stupéfiants conçus

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