Diapason - Le numéro 744 du 25 avril 2025

Elève de Salvatore Accardo (qui a tant fait pour la défense de Paganini), François Sochard est depuis 2006 premier violon solo de l'Orchestre de chambre de Lausanne. Il entend, pour son premier album, relier les Caprices op. 1 à la tradition du violon italien issue de Locatelli ou de Vivaldi.

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Compositeur et organiste néerlandais actif à Leyde au tournant de 1600, Cornelis Schuyt jette, par ses madrigaux et pièces instrumentales, un pont entre la tradition musicale des Pays-Bas et l'influence italienne. Le Weser-Renaissance de Manfred Cordes se focalise sur les deux derniers recueils du musicien, publiés en 1611. Aux Madrigali

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Formé à Leipzig, en partie avec Reinecke, très populaire dans sa Norvège natale de son vivant, Sinding laisse une œuvre assez profuse sur laquelle son adhésion au parti nazi (dans un état de grande faiblesse : il devait mourir trois jours plus tard) aura suffi à jeter l'opprobre. Ses trois

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Moins mélancolique que le Concerto pour violoncelle, d'un abord plus immédiat que celui pour alto, le Concerto pour violon (1936-1939, révisé en 1943) opère une alliance inimitable entre virtuosité et sensualité. Ainsi l'œuvre conjugue-t-elle l'influence de son dédicataire Jascha Heifetz avec la lumière chaude de la côte amalfitaine où séjournait

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Ce sont des « silhouettes » parfois inconnues que Sophie Junker entend dévoiler à travers un panorama de la musique vénitienne au temps de Vivaldi. Des extraits de l'Ambleto de Francesco Gasparini voisinent entre autres avec le tendre « Zeffiretti che sussurrate » de l'opéra Ercole sul termodonte de Vivaldi.

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Un siècle de concertos pour piano italien, voilà ce que propose Roberto Prosseda. Luigi Dallapiccola en est la figure majeure. Son Piccolo concerto, dédié en 1941 à la petite fille d'une amie parisienne, déploie six mouvements brefs, où affleurent échos du Stravinsky néoclassique ( Girotondo ) et clins d'œil ravéliens

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