D'une manière générale, la plupart des jardiniers ne pensent aux azalées qu'en pot ou pour tenir compagnie aux rhododendrons. Certes, elles sont de la même famille ; oui, elles poussent en sol acide, mais je les trouve quand même très différentes et suffisamment méritantes pour qu'on s'y intéresse d'un peu plus près. Comme chez beaucoup de plantes, les hybrides à très grosses fleurs dominent le marché, mais elles cachent une diversité d'espèces à mon avis bien plus intéressantes, très élégantes, et dont les floraisons s'échelonnent d'avril à juillet. Il existe deux grands types de végétation. Pour faire simple, on distingue d'une part les caduques, qui perdent leur feuillage en automne (souvent après de magnifiques colorations), et les persistantes, qui gardent leurs (petites) feuilles en hiver (en fait, elles tombent plus tard pendant ou après les grands froids).LES PERSISTANTES, HEUREUSES AU JARDIN COMME EN POTOn les surnomme souvent les “azalées japonaises” car elles sont beaucoup utilisées
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