La Revue Nationale de La Chasse - Le numéro 865 du 17 septembre 2019

Prix : environ veste 159 €, pantalon 79 € Certes la gamme 900 marque le haut du pavé dans la gamme Solognac, mais là on aurait tendance à crever le plafond tellement cet ensemble mérite nos éloges ! On commence par la résistance aussi bien du haut que du bas, grâce à l'utilisation d'inserts placés sur les zones les plus exposées des bras, avant-bras, partie basse de la veste, ou encore l'avant de la jambe. Nous avons forcé le passage dans des ronciers écossais, rien n'y fait, pas une seule blessure au niveau des cuisses. Mais ce n'est pas tout ! En général, solidité rime avec lourdeur, or là on dépasse à peine le kilo pour la veste (sans les cartouches dans les cartouchières intégrées aux

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Les origines de la race sont très anciennes et assez variées, selon les régions de Grande Bretagne et d'Irlande où elle a des racines, et qui constituent de véritables creusets de variétés de courants de taille moyenne. Mieux vaut donc éviter de s'égarer sur des lignées très locales de chiens régionaux inconnus hors de leur territoire de prédilection. D'autant que la Fédération internationale de cynophilie (FCI), qui prédomine dans 89 pays, dont la France (mais pas en Angleterre) ne reconnaît qu'un type de harrier depuis 1974. Son standard, actualisé en 1988, est ainsi le seul valable en France. Fort de ses mérites dans la voie du lièvre, dont il tire son nom, puisque le mot anglais “hare” désigne ce gibier, le harrier est découplé outre-Manche par les équipages qui chassent à cheval, alors

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Les miroirs anciens destinés à la chasse aux alouettes sont des objets si jolis qu'on les trouve désormais davantage dans les vitrines des nombreux collectionneurs qu'en extérieur, lors des journées de migration. C'est dommage car en dépit de son âge vénérable la technique de chasse originale qui les emploie, née de l’excellent sens d’observation des anciens et de leur géniale inventivité, reste l’une des plus amusantes et des plus efficientes pour tenter de faire quelques jolis paniers de mauviettes, lors de leur fugace passage automnal ou plus tard en saison sur les "cantonnées".Une vallée de passage C'est à l'est de la Gironde, non loin du Lot-et-Garonne,que Julien nous a conviés à un rendez-vous annuel auquel il ne saurait déroger. En ce début du mois de novembre, la récolte des kiwis

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Voilà un sujet parfaitement taillé pour cette rubrique destinée aux sujets qui « grattent ». En effet, parler de chien, qui plus est, tenter de faire l'introspection critique de nos conduites à son égard obéit à des ressorts psychologiques du même ordre que celui qui toucherait des parents auprès desquels on tenterait de remettre en cause le bien-fondé de l'éducation ou de l'attitude à l'égard de leurs enfants. Notre rapport personnel au chien est, pareillement, un sujet passionnel, sensible et sur lequel nous ne sommes pas toujours aptes à entendre les critiques sans les prendre pour des attaques personnelles. Et pourtant, cet exercice doit être fait puisqu'en tant que chasseurs, nous avons massivement recours aux services de chiens, et que, si un très grand nombre d'entre nous avons une excellente attitude vis-à-vis d'eux cela n'empêche pas d'observer sur le terrain des choses parfaitement condamnables et indignes du traitement

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Le chipeau est en général plus craintif que le colvert. S'il accompagne d'autres canards, il s'en tient plutôt à l'écart une fois posé car il n'est pas très sociable. Actif de jour comme de nuit, son cancanement est plus rauque, plus bas que celui du colvert. Une répartition très étendue Holarctique, le canard chipeau vit dans l'hémisphère Nord, dans les régions tempérées occidentales de l'Amérique du Nord et de l'Eurasie. Sa répartition y est discontinue, fragmentée dans l'ouest paléarctique avec de gros effectifs importants en Europe de l'Est. L'évolution des effectifs Population

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À l'arrière de l'utilitaire, garé à l'orée de la forêt, Diane s'impatiente. Cette beagle de 11 ans a beau s'approcher de la retraite, son entrain pour fouler les enceintes du massif forestier de Moulins-Engilbert, dans la Nièvre est intact. Il faut dire que le traqueur qui la conduit est lui aussi un modèle de motivation. Du haut de ses 84 ans, André (dit "Dédé") a vu bien des sangliers jaillir des ronciers, et bien des hardes se défiler dans les sous-bois nivernais. Pour lui, la retraite rime avec la chasse : il y passe plus de la moitié de ses semaines. Et n'allez pas croire que son âge le pousse à se poster au pied d'un chêne : c'est dans la traque qu'il vit sa passion. « Ça doit bien

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