Le Chasseur français : Début juillet dernier, 91 coups ont sonné à l'horloge. Comment les avez-vous fêtés ? Pierre Perret : Tout simplement, ici, à la maison, en Seine-et-Marne. On était une dizaine, entre proches, en famille et avec des amis, dont Gilou *, mon ami accordéoniste qui m'accompagne sur scène depuis cinquante-huit ans. J'ai sorti du congélateur, pour l'occasion, quelques cèpes bouchons et on les a juste fait sauter à la poêle trois minutes et garnis, en fin de course, d'une persillade légèrement aillée. Accompagnés d'un bourgogne vieux, ils nous ont bien régalés. LCF : Vous annoncez, dans votre dernier album Ma vieille carcasse , que « le trou de balle d'une vieille chèvre est moins ridé que [vos] vieilles lèvres ». Vous avez pourtant toujours une peau de bébé, juste un peu ridée ! P. P. : (Sourire. ) Vous auriez besoin d'une paire de lunettes. Je suis un vieux jeune, mais un vieux quand
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