Les Veillées des Chaumières - Le numéro 3652 du 9 juillet 2025

La « soucoupe volante » est posée à l'angle de la 89e rue et de la Cinquième Avenue, face à Central Park. Elle abrite l'une des plus belles collections d'œuvres impressionnistes et postimpressionnistes et nombre de chefs-d'œuvre du début du XXe siècle. Cet écrin à nul autre pareil est né de la rencontre, à la fin des années 1920, entre un industriel millionnaire devenu mécène, Solomon R. Guggenheim, et une peintre allemande, Hilla von Rebay, de 29 ans sa cadette.

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Des talus, haies et autres fossés normands et bretons qu'elle parcourait jadis librement dans les fermes, la chèvre des fossés a gardé son nom. Jusque dans les années 1950, on constatait sa présence dans de nombreuses exploitations. Il est vrai qu'elle fournissait aussi bien le lait que la viande, et elle contribuait en outre à l'entretien naturel des paysages. Pourtant, avec l'arrivée de races plus productives et l'évolution de l'agriculture, elle a peu à peu disparu. Au point que l'espèce semblait s'être quasiment éteinte dans les années 1970. Heureusement,

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Nos pruniers actuels sont issus d'un croisement entre l'épine noire et le myrobolan. L'épine noire, tous les amoureux de la campagne la connaissent, car elle est très répandue dans les fourrés. Qui n'a jamais croqué et recraché une de ces magnifiques prunelles bleues ? Ce petit fruit âcre prend sa saveur après les gelées. C'est à ce moment-là qu'on l'utilise pour en faire de la liqueur. Le myrobolan est une espèce que l'on rencontre en Asie centrale. Il est

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Cette singulière abbaye fondée au VIIe siècle par sainte Fare et rattachée à la Congrégation bénédictine de Mont-Olivet a fait de la vulnérabilité sa raison d'être. Neuf religieuses ayant vécu des situations douloureuses ou rencontré des difficultés dans leur communauté y ont trouvé refuge. Dans une atmosphère de compassion et de miséricorde, elles pansent leurs blessures psychologiques et se ressourcent spirituellement. Mais ces « sœurs fragiles » ne sont pas les seules à occuper cet apaisant cadre historique situé à une dizaine de kilomètres de Coulommiers. Depuis 1980, le monastère accueille, en son sein, l'Ehpad

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Au début de l'année 1973, la chaîne américaine CBS proposait à son public un téléfilm policier de trois heures intitulé L'Affaire Marcus Nelson, adapté d'une véritable enquête d'un journaliste judiciaire, Selwyn Raab. À l'écran, ce dernier avait toutefois changé de métier : il exerçait, pour les besoins du scénario, comme détective dans le sud de New York et enquêtait alors sur un double homicide. Son nom avait lui aussi été modifié : ce policier s'appelait Theo Kojak, un homme d'origine grecque « très sévère d'apparence, mais tendre comme de la guimauve à l'intérieur » selon Abby Mann, le créateur du téléfilm.

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Yvon Nicolazic n'est pas homme à se laisser abuser. Certes, il ne sait ni lire ni écrire, parle seulement breton, mais c'est un paysan habile, qui prospère sur ses terres de Ker Anna, un hameau situé à quelques encablures de Vannes. Un soir d'août 1623, l'homme est témoin d'une vision, celle d'une lumière vive, venue envelopper sa maison. D'autres suivront : une main tenant un flambeau, une pluie d'étoiles s'abattant sur ses champs… Mais le 25 juillet 1624, l'apparition prend une tout autre ampleur. Cette fois, c'est une dame blanche qui se présente

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