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Les Veillées des Chaumières - Le numéro 3659 du 15 octobre 2025

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La Une de Les Veillées des Chaumières n°3659 du 15/10/2025

Au sommaire de ce numéro

Les Veillées des Chaumières 3659 La vallée de la Dordogne

La vallée de la Dordogne

Pour descendre le fleuve, il fallait que les eaux soient “marchandes” et cela n'arrivait que trente jours par an, en moyenne. Tandis que notre gabare vogue sur la Dordogne, chapeau de feutre sur la tête et chemise de cotonnade au vent, Ugo revit lors de chaque croisière l'épopée des gabariers : « “Marchandes”, c'est-à-dire que le tirant d'eau soit suffisant pour les gabares. Depuis Argentat-sur-Dordogne, ces bateaux à fond plat rejoignaient le Médoc, lestés principalement de merrains destinés à la fabrication de tonneaux. Il fallait compter cinq jours de descente, en espérant ne pas chavirer sur les malplats. Une fois à destination, impossible de remonter le courant dont on dit qu'il avait la fougue d'un cheval au galop ; alors les gabariers regagnaient leur village à pied, en trois semaines. » Si les gabariers ont atteint leur apogée au XIXe siècle,

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Les Veillées des Chaumières 3659 C'est ainsi que les enfants vivaient

C'est ainsi que les enfants vivaient

Cette exposition est le résultat d'une enquête. Sans « a priori », sans point de vue prédéfini : ses organisateurs ont cherché dans les musées et leurs réserves comment les enfants apparaissent dans les peintures et sculptures de 1790 à 1850. « Dans cette période de l'histoire de l'art, cette thématique est assez peu connue, constate Côme Fabre, l'un des commissaires scientifiques, conservateur au département des peintures du musée du Louvre. Tandis que les représentations des enfants au siècle des Lumières et sous la IIIe République, à l'époque de Jules Ferry, ont été bien étudiées, entre les deux, il n'y avait aucune publication, ni exposition. Or, il s'agit d'une période de transition importante, autant du point de vue sociologique que de celui de l'histoire de l'art, avec une myriade de styles personnels. » Aux peintures et sculptures, des photographies de cette époque ont été ajoutées. Certaines

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Les Veillées des Chaumières 3659 Et la lumière fut…

Et la lumière fut…

De douces lumières éclairant les visages… Après Artemisia Gentileschi, le musée Jacquemart-André poursuit son exploration des maîtres influencés par la révolution du caravagisme en mettant à l'honneur Georges de La Tour (1593-1652). Le parcours de l'exposition explore ses sujets de prédilection : les scènes de genre, les figures de saints pénitents et les effets de lumière. Des tableaux de ses contemporains dialoguent avec son œuvre et montrent la circulation des influences entre les artistes. L'exposition replace sa vie et son œuvre dans le contexte plus large du caravagisme européen, notamment celui des peintres caravagesques français, lorrains (à l'époque la Lorraine n'est pas française, c'est un duché indépendant) et hollandais. Dans ses scènes nocturnes, souvent éclairées d'une bougie, Georges de La Tour adopte, comme eux, les effets de clairs-obscurs du Caravage. Mais Pierre Curie, conservateur général du patrimoine, l'un des deux commissaires de l'exposition, explique

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Les Veillées des Chaumières 3659 Un paradis vert en Val de Loire

Un paradis vert en Val de Loire

Au début des années 1970, Brigitte et Bernard de La Rochefoucauld, séduits par un immense terrain dans la forêt d'Orléans, l'achètent et y font construire leur maison familiale. Puis ils commencent à débroussailler, petit à petit, cette ancienne friche agricole densément couverte de grands pins et de ronces. C'est la naissance de l'arboretum-conservatoire. Le chantier étant colossal, c'est au bout de plusieurs années que nos jardiniers passionnés découvrent un chêne de 200 ans caché sous la végétation indigène. Il va devenir

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Les Veillées des Chaumières 3659 À Cheverny, c'est « Tintin dans les châteaux de la Loire

À Cheverny, c'est « Tintin dans les châteaux de la Loire

Dans les années 1930, sous les coups de crayon d'Hergé, Tintin bourlingue au pays des Soviets, au Congo ou en Amérique. Durant l'entre-deux-guerres, le dessinateur belge décide d'introduire, dans sa bande dessinée, un château qui servirait d'élément de décor récurrent. Le fameux château de Moulinsart, dont héritera le capitaine Haddock. Hergé se met en quête d'un modèle pour esquisser la silhouette de ce repaire de pierres. A-t-il eu vent de la brochure publicitaire de Cheverny qui, en 1922, fut l'un des premiers châteaux privés à s'ouvrir à la visite ? « Hergé est connu pour travailler d'après documents, expliquait Chantal Guillot, responsable

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Les Veillées des Chaumières 3659 Un automne couleur de soleil

Un automne couleur de soleil

Venus des prairies et des coteaux montagneux nord-américains, où il en existe une centaine d'espèces, les solidagos, et leurs variétés qui habitent nos jardins, font partie de la famille des Astéracées. L'un, Solidago virgaurea, le seul européen, habite couramment nos campagnes. S'il est joli lorsqu'il égaie nos bords de chemins, il n'a pas grand intérêt en culture. Parmi les quelques espèces que nous avons adoptées il y a pas mal de décennies, la plus connue est Solidago canadensis.

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