Depuis 2011, tout propriétaire d'un bien non raccordé au réseau public d'assainissement doit s'assurer, si nécessaire, que son installation respecte la réglementation en vigueur. Cette mise en conformité, enjeu de santé publique, a pour but de combattre les pollutions des sols. Ce processus est supervisé par un service assuré par les communes ou les établissements de coopération intercommunale, le SPANC (Service public d'assainissement non collectif), et les travaux affairant représentent un gros investissement, qu'il convient d'anticiper dès l'acquisition. L'état du système existant fait d'ailleurs l'objet d'un diagnostic obligatoire à fournir par le vendeur au moment de la négociation - il ne peut pas y avoir de mauvaise surprise. Travaux de réhabilitation et choix techniques, le parcours est complexe, mais des solutions existent pour optimiser les coûts tout en respectant les exigences environnementales. De la fosse septique traditionnelle aux systèmes de traitement innovants, en passant par les aides financières disponibles, comprendre les enjeux de l'assainissement individuel est indispensable. DES RÈGLES STRICTES DEPUIS 2011
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