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Nous Deux - Le numéro 4077 du 18 août 2025

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La Une de Nous Deux n°4077 du 18/08/2025

Au sommaire de ce numéro

Nous Deux 4077 « Le Café des amis » Non, je n'ai rien oublié

« Le Café des amis » Non, je n'ai rien oublié



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Nous Deux 4077 Le cheval et l'enfant

Le cheval et l'enfant



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Nous Deux 4077 L'atelier des petits chefs

L'atelier des petits chefs

1 pomme - 2 nectarines - 4 c. à soupe de sirop d'agave - ½ citron Garnitures : Perles de sucre (chocolat blanc, chocolat noir, multicolores), noix de coco râpée, graines de sésame doré, graines de pavot, etc. Piques en bois (brochettes de taille moyenne) 1. Pèle les fruits et ouvre-les en deux. Enlève le cœur de la pomme (là où sont cachés les pépins). Retire les noyaux des nectarines. 2. Coupe les fruits en quartiers. 3. Mélange le jus du demi-citron avec le sirop

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Nous Deux 4077 Un impossible amour

Un impossible amour

Tous les jours de toutes les semaines de tous les mois de l'année, j'erre dans les ruelles de la ville. Chaque heure, chaque instant de mon existence, ressemble à celui de la veille, avec ses petits soucis, ses mêmes inquiétudes, ses mêmes traumatismes, sans joie et pleins d'ennuis. Rien à faire de constructif pour occuper mes journées. Juste marcher la tête basse, traîner dans les voies encombrées de voitures, se recroqueviller dans un coin pour un somme d'une heure ou deux, recevoir parfois un bout de pain offert par les plus généreux, ou un coup de pied par les autres. Je ne gêne pourtant personne, j'essaie de me faire le plus discret possible, je tente de me faire oublier, de n'être qu'une ombre qui passe puis disparaît aussitôt. Malgré cela on m'agresse, on m'évite, on me fuit. Je suis à la rue, vous l'avez deviné. Et comme pour tous mes semblables ma première angoisse quotidienne est de dénicher de la nourriture. Je ne suis guère exigeant : un bout de pain, des restes de charcuterie, une friandise parfois. Le dimanche, je passe dans le quartier de l'église. Il paraît que les gens s'y montrent plus attentionnés et plus généreux. C'est d'ailleurs là qu'une vieille dame m'a pris en amitié - en pitié devrais-je dire. Dès qu'elle m'aperçoit, elle m'appelle ou me fait un simple signe de la main pour me faire comprendre de m'approcher. Un jour je l'ai suivie jusqu'à son domicile. Elle m'a offert un peu de son repas. Depuis, je la revois souvent. Surtout quand j'ai faim, je le reconnais. Bien sûr, ce sont ses restes qu'elle me donne, elle ne cuisine pas spécialement pour moi, mais elle me les propose avec son cœur, ce qui réchauffe le mien. Malgré mon maintien, preuve de ma bonne éducation, je me jette sur la gamelle et en avale le contenu tel un mort de faim. La vieille dame me regarde avec tendresse et compassion. Malgré ma saleté, il lui arrive même parfois de m'embrasser. Une bise sur le front qui me procure tant de plaisir. - N'hésite pas à revenir,

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Nous Deux 4077 Le démon de la jalousie

Le démon de la jalousie

Bénédicte, extasiée, contemplait une bague dans la vitrine de la bijouterie proche de chez elle. Combien pouvait valoir un bijou pareil, où l'or et les saphirs se mêlaient artistiquement ? Les prix n'étaient jamais affichés. - Ne rêve pas trop, Béné ! plaisanta Valentin, son mari, qui l'accompagnait. Je n'aurai jamais les moyens de t'offrir un truc pareil ! Alors que la jeune femme posait à nouveau son regard sur le bijou, une jolie vendeuse blonde se pencha vers la vitrine depuis l'intérieur de la boutique, pour y installer délicatement un nouveau joyau. Elle leur adressa un courtois signe de la tête, auquel Valentin répondit par un petit sourire. - Je te trouve gonflé de faire le joli cœur auprès de la vendeuse en ma présence ! dit vivement Bénédicte dont l'attention se mettait en alerte rouge dès qu'une femme passait à leur portée. - Le joli cœur ! Comme tu y vas ! Et il soupira légèrement, résigné. - Tu n'as pas oublié que nous dînons ce soir chez Pierre et Alexandra ? dit-il pour éviter le sempiternel sujet qui fâchait. Évidemment que non, elle pensait même depuis trois jours à la tenue qu'elle allait porter. Mais elle savait qu'elle finirait une fois de plus par sortir son éternelle petite robe noire, celle qui, disait-elle, la boudinait le moins. Deux heures plus tard, le couple pénétrait dans l'appartement de leurs amis. Il va encore y avoir quelque chose de nouveau, pensa amèrement Bénédicte, un bibelot ou des rideaux flambant neufs. Elle avisa tout de suite sur la console de l'entrée une petite statuette qu'elle n'avait en effet jamais remarquée, et la désigna du menton à son mari, qui se contenta de prendre un air évasif en tendant les bras à la maîtresse de maison qui s'avançait à leur rencontre. Les deux femmes se dirigèrent vers le canapé du salon, tandis que Pierre entraînait Valentin vers son bureau. Bénédicte jeta un bref coup d'œil envieux à l'impeccable silhouette de son amie tandis que celle-ci s'asseyait gracieusement. Trois grossesses, le stress

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Nous Deux 4077 Un si dur combat

Un si dur combat

Mon mari, Hervé, et moi avons le bonheur d'avoir deux petits-enfants, Maïa et Andréa. Et nous avons la chance d'être de jeunes grands-parents. Tout comme moi, qui ai mis au monde Éva, alors que j'avais tout juste 20 ans, ma fille a eu son aîné au même âge. Hervé et moi aurions préféré qu'elle attende un peu, mais elle était tombée folle amoureuse de Paolo, un bel Italien ténébreux installé en France depuis dix ans et qui parlait avec un accent irrésistible, du moins pour Éva. Paolo et Éva s'étaient rencontrés dans sa casse automobile. Elle était venue chercher un pare-chocs arrière d'occasion pour sa voiture, le sien ayant été abîmé par un conducteur maladroit dans un parking ; conducteur parti sans demander son reste. Problème : si Éva avait trouvé son bonheur pour un prix mini, elle n'avait aucune notion de mécanique pour effectuer le changement. Alors que, avec son plus beau sourire, elle avait demandé à un des employés s'il accepterait de le faire contre un billet. Paolo, qui avait déjà remarqué la jolie rousse aux yeux bleus et s'apprêtait à aller déjeuner au resto du coin où il avait ses habitudes, était sorti de son bureau. Devant ses employés goguenards, il s'était avancé en mode séduction et avait lancé : - Pas de problème. Si vous avez un peu de temps devant vous, un de mes employés peut s'en charger gracieusement tout de suite. Il y en a pour une à deux heures… Juste le temps de déjeuner en ma compagnie si… - OK ! avait répondu Éva sans hésiter, très flattée par ce beau garçon à l'accent envoûtant qui la contemplait comme si elle était la plus belle femme du monde. En les regardant partir, l'un des employés de Paolo avait murmuré : - J'en connais un qui vient de craquer pour la jolie rousse. Dès notre première rencontre, quelque chose en ce jeune homme m'avait interpellée, un je-ne-sais-quoi planqué sous son regard de velours. - Arrête de jouer ta mère protectrice,

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