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Nous Deux - Le numéro 4080 du 8 septembre 2025

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La Une de Nous Deux n°4080 du 08/09/2025

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Nous Deux 4080 Une rentrée mouvementée

Une rentrée mouvementée



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Nous Deux 4080 Un roman d'amitié

Un roman d'amitié



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Nous Deux 4080 C'est bon et c'est pas cher !

C'est bon et c'est pas cher !

300 g de brocolis surgelés - 2 oignons - 2 gousses d’ail - 500 g de pois chiches en conserve - 400 g de sauce tomate - 200 g de riz basmati - 80 g de beurre de cacahuète - 2 c. à soupe de paprika doux - Huile d’olive - Sel et poivre 1. Faites cuire les brocolis dans une casserole d'eau bouillante pendant 5 minutes. Égouttez puis réservez. 2. Épluchez et émincez les oignons et l'ail, puis dégermez ce dernier. Faites-les revenir dans une poêle avec un filet d'huile d'olive jusqu'à ce qu'ils soient translucides. 3. Ajoutez les brocolis égouttés, puis mélangez. 4. Faites cuire le riz pendant ce temps dans une grande casserole d'eau bouillante selon les instructions du paquet. 5. Ajoutez dans la poêle les pois chiches égouttés, la sauce tomate et le beurre de cacahuète. Mélangez bien et laissez mijoter une dizaine de minutes (ajoutez un peu d'eau chaude si la sauce réduit trop). Assaisonnez de sel, de

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Nous Deux 4080 L'amour selon Collin

L'amour selon Collin

On me demande souvent de raconter ce voyage surprenant que j'ai fait, il y a quatre ans, de la gare de Saint-Pancras à Londres jusqu'à celle de Trouville-Deauville, en Normandie. Je rentrais d'un séjour professionnel dans la capitale britannique, et j'avais profité de l'occasion pour m'offrir un parapluie typiquement anglais, avec sa toile intérieure rayée de fines lignes bleues et blanches - une élégance à faire pâlir les parapluies français. Je flânais dans le hall de Saint-Pancras en attendant les contrôles, valise à roulettes et parapluie en main, scrutant les rayons de sandwichs cheddar-céleri pour anticiper mon après-midi ferroviaire. Je voyageais seule. Je venais de me séparer de mon mari, un entomologiste de génie, qui avait eu la délicate attention de donner mon prénom à une nouvelle race de cafards. En découvrant l'insecte épinglé au centre d'un cadre, les pattes étirées, légendé d'un sobre « Sabine », j'avais compris que notre relation touchait à sa fin. Bref, je me demandais avec une légère appréhension qui le destin allait placer à mes côtés. D'un naturel optimiste, j'espérais un voisin aimable, à mon goût, idéalement masculin. Je pénétrai dans le hall d'embarquement et j'observai la foule qui se débattait avec le portique de sécurité. Qui, parmi ces passagers, détenait le billet correspondant au siège voisin du mien ? En attendant l'accès au train, je vidai ma petite monnaie dans un distributeur automatique, achetai un magazine people. Dès l'appel sonore, j'empruntai l'escalator qui glissait lentement vers le quai. Je montai dans le compartiment et repérai rapidement mon siège. J'étais la première arrivée. Je m'installai côté fenêtre, conformément à l'indication de mon billet électronique. Dix minutes avant le départ, toujours personne à l'horizon. Allais-je voyager seule ? Je dépliai mon tabloïd, laissant pour plus tard le livre de Julien Gracq que je trimbalais partout. En lisant en écrivant - un titre parfait pour appâter un voisin curieux, auquel j'aurais pu, mine de rien, glisser que j'étais moi-même écrivaine… Le mot

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Nous Deux 4080 L'heure du conte

L'heure du conte

Ferme les yeux et laisse-toi emmener au pays des contes. Le joli pays de tous les possibles où l'indicible devient visible, où le merveilleux s'ouvre à tes yeux. Chaque fois que Delphine prononçait ces mots, les battements de son cœur s'accéléraient un peu tandis qu'elle s'apprêtait à plonger à l'unisson avec ses auditeurs dans le monde imaginaire qu'elle allait leur décrire. Ce monde, elle l'avait créé de toutes pièces, avec ses mots, avec son âme. Au-delà de la joie émanant du partage de ses « petites histoires », c'étaient les sourires et les yeux pétillant d'intérêt et de contentement des pensionnaires des Tiers-Temps qui lui donnaient envie de continuer à écrire et à raconter ses chères « petites histoires ». Delphine était conteuse bénévole depuis six mois, aux Tiers-Temps, un établissement consacré à l'accueil du troisième âge, à Rouen. Elle avait toujours aimé écrire des histoires et se rendait à l'Ehpad les samedis après-midi. Son amie Évelyne, animatrice dans l'établissement, avait eu l'idée de ce partage avec les résidents. - Tu pourras conter tes jolies histoires et faire connaître ta plume, lui avait dit Évelyne. Ces échanges mettront des couleurs dans la vie des pensionnaires et aussi dans la tienne. L'histoire que Delphine s'apprêtait à raconter en ce jour tenait du conte de fées à la sauce viking. Elle partagerait les tribulations d'Inge, une jeune princesse danoise à qui une chamane avait prédit « un grand amour entre ciel et mer ». Delphine tenait son talent de conteuse de sa grand-mère maternelle, Sigfrid. Les contes de Sigfrid avaient bercé l'enfance de Delphine. Ils étaient emplis de fantastique, de féerie et, bien sûr, l'amour en était le fil conducteur. Comme ce « grand amour » qui avait uni Sigfrid et François. Le grand-père de Delphine avait été nommé à l'ambassade de France au Danemark en 1950. Trois ans plus tard, il rentrait en France avec Sigfrid. Sigfrid disait descendre d'une lignée de chamanes vikings et ses contes s'imprégnaient de cette atmosphère magique du Valhalla, le paradis de

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Nous Deux 4080 L'amour en secret

L'amour en secret

Ce matin, Luther Pardieu est venu acheter des clous à mon père. Luther est le fils du charpentier de notre petit village de Septmonts, près de Soissons. Il est aussi l'un des meilleurs clients de mon père, Clovis Couderc, dont la réputation s'étend bien au-delà de chez nous. Chez les Couderc, les hommes sont cloutiers de père en fils depuis Anselme Couderc, en 1650. À 14 ans, mon père a fabriqué son premier clou, il le garde dans une petite boîte sur la cheminée comme un trésor. J'aime bien le regarder travailler, penché sur son enclume. Après la mort de ma mère, Apolline, et de mon petit frère le jour de sa naissance, je suis devenue la seule femme du foyer. Je n'avais que 10 ans, c'était en mai 1901. Certaines nuits, les cris de ma mère m'arrachent encore à mon sommeil, les hurlements de mon père aussi, comme les effroyables râles d'un animal blessé par un chasseur. Seigneur, qu'il est douloureux de perdre une mère et pour un époux, la moitié de son cœur. Il paraît que l'on peut mourir de chagrin et j'ai bien cru que cela allait arriver à mon père. Je ne l'avais jamais vu pleurer avant cette aube funeste, et voilà qu'il ne pouvait plus s'arrêter, qu'il ne mangeait plus, ne parlait plus, ne trouvait le sommeil qu'au bout de ses forces. Huit ans plus tard, le temps est venu apaiser la douleur, mais elle est toujours là, sourde et sournoise. J'aimerais bien qu'il connaisse à nouveau l'amour, mais selon lui, aucune femme ne peut rivaliser avec la si douce et belle blonde Apolline. Moi, je suis brune comme lui, je n'ai rien pris de ma mère. S'il rencontrait une femme, peut-être qu'il s'ôterait de la tête cette idée de me marier à Pierre d'Orgeval, le neveu du curé. Je me moque bien qu'il ait des terres, je ne l'aime pas. Je veux un mariage d'amour. En parlant d'amour… Ce matin, Luther montait un cheval tout blanc. Il ressemblait à un prince avec ses cheveux noirs qui flottaient sur ses épaules et sa chemise blanche gonflée par un vent léger. Il était tellement beau… Les Pardieu sont protestants. Moi, je suis catholique. Est-ce que Dieu se préoccupe de cela ? Le père Jacques d'Orgeval prétend que oui et mon

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