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Nous Deux - Le numéro 4082 du 22 septembre 2025

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La Une de Nous Deux n°4082 du 22/09/2025

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Nous Deux 4082 Le choix du cœur

Le choix du cœur



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Nous Deux 4082 L'enseignante

L'enseignante



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Nous Deux 4082 Le champignon de Paris, le roi des bons petits plats !

Le champignon de Paris, le roi des bons petits plats !

- 300 g de champignons de Paris bien blancs - 1 pomme (type granny-smith) - 2 cébettes - Quelques pluches de cerfeuil ou de persil plat - 3 c. à soupe d'huile d'olive fruitée - 2 c. à soupe de jus de citron - Fleur de sel - Poivre du moulin 1. Nettoyez les champignons avec un linge humide ou une brosse douce, séchez-les. Ôtez les pieds si besoin. 2. Tranchez les champignons le plus finement possible à l'aide d'un couteau bien aiguisé. Coupez la pomme en tranches fines avec la peau. Émincez les cébettes. 3. Disposez en rosace les tranches de champignons et de pomme dans 4 assiettes. Parsemez de cébettes et des pluches d'herbes. 4. Arrosez avec le jus de citron et l'huile d'olive. Salez avec la fleur de

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Nous Deux 4082 L'enfant des disparus

L'enfant des disparus

Le concert avait été un succès. C'était la première fois que le groupe de Tomas Valdès se produisait dans une vraie salle de concert. Parisiens et Argentins avaient abondamment applaudi le programme, du tango classique aux compositions d'Astor Piazzolla. Miguel avait présenté Rafaël à Tomas Valdès. Rafaël avait emporté sa trompette dans ses bagages en quittant Buenos Aires. Un saut dans l'inconnu pour le garçon qui n'avait jamais quitté l'Argentine mais rêvait de la fuir : c'est ce qu'il avait confié à Miguel dès qu'ils s'étaient liés d'amitié. Ce qui avait justement eu lieu lors d'un concert dans un café de Buenos Aires où Rafaël jouait de la trompette, plutôt que de potasser ses cours de l'université. Pour ne plus entendre les reproches de son père, il avait fini par s'inscrire en fac de droit. Raul Figueras aurait voulu qu'il suive la même voie que son fils aîné devenu officier. Il comptait sur l'armée pour cadrer ce rebelle. Il y avait aussi l'exemple glorieux de l'oncle Enrique, héros de la guerre des Malouines tombé sous les balles ennemies. À défaut, il espérait que le droit le mènerait à la magistrature. Mais Rafaël se moquait bien de l'oncle héros et de la magistrature. Ses études avaient été chaotiques, ses fugues répétées et maintenant, il fréquentait un tout autre milieu que celui de ses parents, restés très attachés à des valeurs conservatrices qu'il ne partageait pas. Dès le collège, il s'était lié avec des camarades qui lui avaient ouvert les yeux sur le côté sombre de l'histoire de l'Argentine, sur les années de dictature, peut-être par esprit de contradiction vis-à-vis de sa famille qui approuvait l'ancien régime parce qu'il avait délivré le pays du communisme. La rencontre avec Miguel avait été décisive. La famille de son ami avait payé cher son opposition à la dictature, elle comptait des morts, des disparus et des exilés en Europe. Rafaël, fort de ces témoignages discordants, avait bien essayé à la maison d'évoquer ce sujet sensible mais la réaction de son

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Nous Deux 4082 Un cupidon à quatre pattes

Un cupidon à quatre pattes

Le pense que beaucoup de gens ont un rituel le matin, toujours le même ; moi je commence par m'étirer, assis dans mon lit comme les chats. C'est très bon, que dis-je c'est extra pour toutes les articulations. Ensuite je pose mon pied droit à terre (pas le gauche, il provoque la mauvaise humeur !) en prenant garde de ne pas écraser Lulu qui dort toujours sur la descente de lit. Lulu, c'est mon labrador de couleur sable, mon fidèle compagnon depuis quatre ans déjà. Bien sûr dès que je me lève il émet un léger aboiement et je l'entends s'asseoir d'un bond puis je sens sa patte sur ma jambe. - Salut mon gros, dis-je en caressant sa tête. C'est peut-être idiot de saluer son chien tous les jours mais moi j'adore cette idiotie. J'aime sa façon de tout comprendre. Après avoir léché ma main, il m'emboîte le pas jusqu'aux toilettes pour rester devant la porte comme un vrai chien de garde. Ensuite nous rejoignons la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Lulu n'aura ses croquettes que lorsque j'aurai terminé mon repas, autorité oblige, il faut lui montrer qui est le maître ! Il patientera jusqu'à ce que je sois sous la douche. En général il me faut plus d'une heure pour être fin prêt et « beau comme un camion », comme dirait mon frère en plaisantant. Une dernière petite vérification du cadran de ma montre, à l'aide de mes doigts, m'indique qu'il me reste environ dix minutes avant de quitter l'appartement pour rejoindre mon cabinet de kinésithérapeute. Mon premier client est à 10 heures. Lulu est déjà dans l'entrée et je sais qu'il serre son harnais dans la gueule en attendant que je l'attache. Et voilà c'est l'heure, j'attrape mon porte-documents près du bahut puis la canne blanche télescopique que j'ai négligemment jetée la veille dans le porte-parapluies. Je m'apprête à sortir de mon petit cocon et le rôle de Lulu devient

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Nous Deux 4082 Chouchou

Chouchou

Louis claqua la langue après avoir avalé lentement une gorgée de vin. - Fameux, ton Condrieu ! dit-il à Swan qui lui faisait face. Clémentine, l'épouse de ce dernier, ironisa : - Il faut dire que mon cher et tendre est plus doué en effet pour choisir les vins que pour vendre ses tableaux. - Il me semblait pourtant qu'un galeriste de Nancy s'était montré intéressé, dit Lisa, la femme de Louis, en jetant un regard apitoyé sur le pauvre Swan qui avait légèrement rougi sous l'acerbe remarque. Les deux jeunes couples avaient emménagé en même temps dans ce lotissement chic de la banlieue nancéienne. Ils avaient vite sympathisé et, depuis, se fréquentaient assidûment. - Vaguement, oui, reprit Clémentine sans laisser à son mari le temps de répondre. Mais Monsieur fait la fine bouche et en attendant, c'est moi qui fais bouillir la marmite et paie, entre autres, les caisses de Condrieu ! La jeune femme remit en place une mèche de son impeccable brushing et resservit d'autorité les convives du plat chinois qu'elle avait acheté chez le meilleur traiteur de la ville en rentrant de son travail. Elle expliqua pour la énième fois que, n'est-ce pas, elle n'avait pas le temps de cuisiner et qu'elle était lasse de rentrer, fatiguée et affamée, et de trouver Swan qui, ayant oublié l'heure dans son atelier, n'avait rien préparé. - Moi qui voudrais tellement un enfant, en plus ! gémit-elle. Mais où trouverais-je le temps de m'en occuper ? Swan jeta un regard noir à sa femme. Où avait-elle la tête ? Elle savait bien qu'elle n'attendait que le moment opportun pour commencer une grossesse, alors que Lisa et Louis peinaient depuis longtemps à avoir un enfant. - Pardon, Lisa, dit précipitamment Clémentine, j'oubliais que de votre côté… - Ce n'est pas grave, répondit tristement Lisa. Nous avons l'habitude d'entendre parler de notre « problème », avec nos parents respectifs qui nous harcèlent à ce sujet. Swan, après le dîner, me montrerais-tu ta dernière œuvre ? ajouta-t-elle pour détourner

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