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Nous Deux - Le numéro 4085 du 13 octobre 2025

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La Une de Nous Deux n°4085 du 13/10/2025

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Nous Deux 4085 La puce à l'oreille

La puce à l'oreille



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Nous Deux 4085 Le mot Amour

Le mot Amour



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Nous Deux 4085 Bouger quand on travaille à la maison, c'est possible !

Bouger quand on travaille à la maison, c'est possible !

Au bureau, même sans s'en rendre compte, on s'active : monter les escaliers, aller jusqu'à la machine à café, se déplacer pour aller parler à un collègue… Mais quand le salon devient le bureau, que les réunions se font assis devant un écran et que la cuisine est à deux pas, notre corps bouge beaucoup moins. Le problème ? Ce mode de vie pèse sur la santé. Le corps humain est conçu pour bouger : rester assis trop longtemps ralentit la circulation sanguine, affaiblit les muscles et provoque des tensions dans le dos, la nuque, les épaules. Le manque de mouvement peut perturber l'humeur, la concentration, la qualité du sommeil et même l'appétit. À tel point que les experts parlent

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Nous Deux 4085 La chambre secrète

La chambre secrète

L'obscurité était totale. Quoi de plus normal quand on évolue à cent cinquante mètres sous terre ? En tête de la file indienne, l'ethnologue français Robert Lamarcq progressait à pas prudents, des pas qui avaient tendance à s'allonger au fur et à mesure de l'avancée du groupe. Après avoir franchi un obstacle délicat au début de leur exploration, le petit groupe se montrait de plus en plus confiant. Les trois hommes et les deux femmes qui le constituaient avaient en effet été contraints de ramper sur le sol humide pour se glisser dans une sorte de tube naturel dont les trois quarts étaient obstrués par des éboulis. Une journée entière avait été nécessaire pour avoir raison de ce point marqué en rouge sur leur carte souterraine. Maintenant chacun retrouvait confiance en l'avenir proche. Derrière Lamarcq, Susan Wilkinson, jeune Américaine d'une trentaine d'années, marquait le trajet de divers signes cabalistiques afin d'aider les membres de l'équipe qui la suivaient et de laisser des indications indispensables pour le retour, au cas où la galerie se transformerait en labyrinthe. Égyptologue de formation, Susan avait longtemps travaillé dans la vallée des Rois avant de venir sur le site maya de Chichen Itza, au cœur de la péninsule du Yucatan. Elle était célibataire et fière de le rester malgré sa séduction qui ne devait rien à un quelconque artifice de beauté. Amalia Sanchez, en revanche, était maman d'une fillette de 4 ans qui l'attendait avec le papa dans leur maison d'Acapulco. Elle évoluait à domicile : elle était née à Mexico. Elle était une spécialiste de la pyramide de Kukulcan devenue aujourd'hui un centre touristique très fréquenté. C'est d'ailleurs sous cette pyramide que Robert Lamarcq avait découvert l'entrée de la galerie où ces nouvelles fouilles de grande ampleur avaient été entreprises. Les deux hommes complétant la formation se nommaient Helmut Freibourg, scientifique allemand possédant des connaissances médicales, et Tom Simpson, un Irlandais disciple de Lamarcq,

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Nous Deux 4085 Trop beau pour elle

Trop beau pour elle

Pour Léa, les choses commencèrent à changer le jour où elle oublia sa carte bleue à la maison. Quand Joël passa en coup de vent à son bureau pour la lui apporter, elle se rendit compte qu'il n'était plus l'homme qu'elle avait épousé. S'il avait été cet homme-là, jamais dans les minutes qui suivirent ses collègues féminines ne se seraient déplacées une par une ou en petits groupes pour lui en faire compliment, souvent avec un clin d'œil appuyé signifiant qu'elles comprenaient mieux pourquoi la jeune femme ne s'attardait guère après le travail et préférait regagner le foyer sans demander son reste. Même Jean-Alain, de la comptabilité, qui ne faisait pas mystère de ses préférences, avait tenu à ajouter son mot : - Si j'en avais un comme ça, crois-moi que je l'enfermerais dans un coffre pour moi tout seul sans le faire apparaître sur les relevés de compte… Le changement d'attitude de ses collègues envers elle l'amusait en même temps qu'il l'effrayait un peu. Auparavant, Léa passait pour la bonne camarade, mais sans plus. Ce n'était en tout cas pas à elle que l'on serait venu confier ses aventures sentimentales et encore moins les prouesses qui pouvaient en découler. Pas qu'elle passât pour une demeurée, au contraire : elle était compétente et reconnue pour son excellent travail de secrétaire de rédaction. Mais elle paraissait bien loin de toutes ces contingences du cœur et du corps. Ce n'était pas son monde à elle et, si on la savait vaguement mariée, ce ne pouvait être qu'avec quelqu'un qui faisait la paire, un petit bonhomme insignifiant, sûrement très gentil, mais avec qui on ne devait pas s'éclater tous les jours. Elle n'en voulait à personne, car si les gens la voyaient ainsi c'est qu'elle ne cherchait pas à offrir une autre image d'elle. Sa famille et ses véritables amis le lui avaient bien assez reproché. Avec ses cheveux sur le front, balayant ses lunettes de myope, et ses tenues toujours un peu trop larges pour camoufler ses formes, elle savait qu'elle ne serait jamais arrêtée dans la rue par le recruteur

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Nous Deux 4085 Seconde vie

Seconde vie

J'aurais dû dormir une heure ou deux, comme Clara, ma sœur, me l'a recommandé juste avant que je décide de n'en faire qu'à ma tête et que je prenne le volant, le cerveau embrumé. Et c'est peu de le dire. Ce n'est pas juste de la brume, mais un brouillard à couper au couteau. Un brouillard qui pue le whisky à plein nez, tout comme ma chemise sur laquelle j'en ai renversé hier soir. Je ne devais pas être très frais pour ne pas trouver ma bouche. Loïc, mon beau-frère, a rigolé. Moi aussi, mais pas Clara. Elle m'a regardé avec son œil noir des mauvais jours et je crois bien qu'elle a donné une tape sur la main de son mari pour lui couper l'envie de se bidonner. Quand ma mère n'était pas là, c'était Clara qui la remplaçait. Ça a toujours été comme ça, même quand j'étais tout petit. Elle a toujours tenu son rôle de grande sœur à la perfection, avec un peu trop de zèle à mon goût lorsqu'elle m'enfermait dans ma chambre pour que je n'aille pas « faire le con avec mes potes débiles ». Mais quand j'y réfléchis, je sais qu'elle n'avait pas le choix et qu'elle aurait sans doute préféré traîner avec ses copines au café, autour du flipper ou du baby-foot, ou aller au cinéma le samedi soir avec un petit copain. Faire tous ces trucs que faisaient les autres filles de son âge. Je n'ai pas été facile, comme frère. Je me demande comment elle a pu me supporter. Quelquefois je la charrie, je lui dis qu'elle est une sainte, alors Loïc y va d'une plaisanterie graveleuse pour me certifier qu'elle n'en est pas une. Il est gentil, mon beau-frère, mais Clara méritait mieux que lui. Elle aurait dû rencontrer un homme qui aurait pris soin d'elle, mais voilà, elle a épousé le premier venu, comme si elle n'avait pas le choix, parce qu'il y avait urgence pour elle. Je me sens coupable, même si elle me dit souvent qu'elle aime son mari et qu'elle ne regrette rien. Elle ment, c'est sûr. Elle se ment. Quand on la voit comme ça, on la dirait vraiment heureuse. Un mari, deux enfants, une petite maison avec un jardin, des amis… Moi, je sais qu'il y en a eu un

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