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Nous Deux - Le numéro 4088 du 3 novembre 2025

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La Une de Nous Deux n°4088 du 03/11/2025

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Nous Deux 4088 Un chien pas comme les autres

Un chien pas comme les autres



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Nous Deux 4088 La petite entremetteuse

La petite entremetteuse



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Nous Deux 4088 Un petit déj' gourmand et équilibré

Un petit déj' gourmand et équilibré

Pour les bagels fermiers : - 1 blanc de poulet - ½ tomate - ½ échalote ciselée - ½ gousse d’ail - ½ oignon rouge - Quelques feuilles de laitue - 15 brins de ciboulette - 10 g de beurre - 120 g de faisselle - 2 bagels au fromage Curry - Sel et poivre Pour les bagels végétariens : - ½ betterave cuite - 1 avocat - 2 c. à soupe de jus de citron - 4 œufs - 120 g de fromage frais - 20 g de beurre - 2 bagels aux graines - 100 g de pois chiche cuits - 1 c. à soupe d’huile - 20 g

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Nous Deux 4088 L'atelier de musique

L'atelier de musique

Chaque année, à la rentrée, je me creuse le cerveau pour trouver une activité à proposer à mes CE1… Non pas l'enseignement que je leur dispense patiemment tous les jours, mais quelque chose de plus ludique, qui leur donne envie de venir à l'école ! Comme beaucoup d'enseignantes, je me plains que le niveau baisse… J'ai fini par arrêter les ateliers d'écriture, un peu dépitée par le manque d'investissement de mes élèves alors qu'un écrivain de renom venait parler dans leur classe. Je me suis tournée vers la musique, et cette année, j'avais très envie d'essayer un nouvel intervenant dont m'avait parlé ma collègue Annabelle. Il avait, paraît-il, fait des miracles avec les CM2. - Je t'assure, Marie, c'est tout à fait ce qu'il te faut ! En plus, il utilise des instruments africains… Tu vas adorer ! Mes collègues savent que je suis née au Sénégal, et que j'en ai gardé un goût pour la musique de ce pays, entre autres choses. C'est vrai que j'imaginais bien les rythmes des percussions réveiller un peu la torpeur qui s'installait déjà en ce mois de novembre, comme si au moment où on allumait le chauffage dans les établissements scolaires, on signait aussi l'endormissement des élèves jusqu'au printemps ! Je ne pouvais pas me plaindre, certains enseignants étaient épuisés par des classes turbulentes, j'en avais moi-même fait l'expérience en ville, mais dans mon village d'Alsace il me semblait que les enfants étaient chaque année plus calmes, pour ne pas dire mous. J'échangeai donc quelques mails avec ce Thomas, que j'imaginais arriver en sarouel, avec des dreadlocks, sans que je puisse vraiment expliquer pourquoi. Pourtant, j'ai des amis musiciens, et aucun ne correspond à cette caricature… Mais j'ai aussi rencontré beaucoup de Français qui se targuent d'aimer la musique africaine et qui se croient obligés de se déguiser ! Par ailleurs, je précisai à Thomas que mes élèves n'avaient qu'une connaissance très lointaine de l'Afrique : en ville, j'avais eu affaire à des enfants arrivés de nombreux pays du monde, mais ici, entre les vignes, les

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Nous Deux 4088 Atalante et la Toison d'or

Atalante et la Toison d'or

Habillée d'une courte tunique de lin qui la laissait libre de ses mouvements, Atalante attrapa son arc. Elle avait tressé ses longs cheveux d'un brun sombre et chaussé ses sandales en cuir quelques heures plus tôt, avant de partir à la chasse. La jeune fille s'accroupit et posa un genou sur l'herbe tendre. Le vent de l'Arcadie, écrin sauvage de la Grèce, se propageait en murmures dans les feuilles des chênes et lui rapportait l'odeur du gibier. Elle tendit une main vers son carquois, attrapa une flèche et l'encocha avec lenteur à son arc. Les yeux rivés sur une petite clairière traversée de rayons de lumière, elle attendait que la biche s'aventure dans l'espace découvert pour y brouter l'herbe tendre et verte. L'animal apparut. Ses grands yeux noirs observaient les alentours avec vigilance et ses jambes graciles se tenaient prêtes à décamper au moindre mouvement. Atalante visa la biche, attentive aux subtiles variations de la brise, l'œil suivant ses mouvements, puis décocha sa flèche qui fusa dans l'air. D'un bond gracieux, la biche disparut dans l'ombre, échappant de peu à la mort. Atalante avait tiré une seconde trop tard. Elle sortit de sa cachette et, presque soulagée d'avoir manqué l'animal, marcha dans la clairière en s'étirant. Elle aurait aimé rester contempler le char d'Hélios qui se couchait derrière la crête des montagnes, mais l'heure était venue de rentrer au palais. Elle devait quitter sa tunique pour une robe de princesse convenant mieux à son statut et à son sexe. Son père, le roi Iasos, organisait encore un banquet afin d'attirer les prétendants fortunés dans son palais. Cela faisait des mois qu'Atalante les repoussait poliment et son père s'impatientait. En effet, leur famille sombrait chaque jour un peu plus dans la ruine. Mais Atalante tenait à sa liberté. Dès que son sort serait scellé à celui d'un homme, ses longues chasses solitaires en forêt ne deviendraient plus qu'un lointain souvenir. Mais elle savait que seul un mariage pouvait sauver sa

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Nous Deux 4088 Par-delà l'Atlantique

Par-delà l'Atlantique

Harold releva la capuche de son blouson et continua à avancer sous la pluie fine et glacée de novembre que de fortes bourrasques rabattaient sur son visage. De chaque côté de la petite route qui semblait ne pas avoir de fin, des champs à perte de vue ; derrière lui, le petit bourg normand où il avait pris une chambre à l'auberge. Il ralentit, persuadé à présent qu'il s'était perdu, qu'il avait mal compris les renseignements donnés par l'hôtelier. Depuis le temps qu'il marchait ! Il faillit rebrousser chemin quand il aperçut une vieille femme qui venait en sens inverse sur la route, serrant fort son parapluie. Quand il arriva à sa hauteur, elle leva vers lui un regard curieux. - Pardon, madame, je cherche le cimetière, mais je crains de m'être égaré, dit-il avec son accent. - Non, répondit la femme d'un ton morne, vous n'êtes plus très loin. Voyez, c'est derrière le mur de pierres, là-bas. Elle pointait son doigt vers un point à quelques centaines de mètres. Sans doute venait-elle, elle aussi, du cimetière. La pluie redoublait tandis que, quelques minutes plus tard, il poussait une antique grille. Puis il s'arrêta, perplexe : comment trouver la tombe qui l'intéressait ? Bah ! Ce cimetière de campagne n'en comportant que quelques dizaines, il finirait bien par la dénicher. Passant lentement devant chaque sépulture où périssaient lentement les chrysanthèmes mauves, jaunes ou blancs, de la Toussaint toute proche, il s'appliquait à déchiffrer le nom gravé dans le marbre ou le granit. Après avoir fait trois fois le tour des lieux, le découragement et la colère commençaient à le gagner et il sentit davantage le froid humide qui s'insinuait sous ses vêtements. Debout au milieu d'une allée, il ne savait plus quoi penser quand une tombe couverte de lierre, abandonnée, attira son regard. Il s'avança et, debout sur la dalle que ne recouvrait aucune fleur ou plaque qui honorait la mémoire du défunt, il écarta les branches de lierre entremêlées qui cachaient la petite stèle à l'aplomb de la dalle. Le nom tant attendu apparut.

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