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Réponses Photo - Le numéro 382 du 4 juillet 2025

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La Une de Réponses Photo n°382 du 04/07/2025

Au sommaire de ce numéro

Réponses Photo 382 COMMENT FAIT-ON DU PAPIER PHOTO ?

COMMENT FAIT-ON DU PAPIER PHOTO ?

Lorsque l'on arrive devant l'entrée de l'usine d'Hahnemühle à Dassel, une petite localité du centre de l'Allemagne, le site ressemble davantage à une discrète coopérative agricole qu'à une manufacture papetière. Seul le logo rouge de la firme en forme de coq sur le fronton d'un des bâtiments trahit sa vocation. Nous sommes au centre névralgique de Hahnemühle où sont produits les dizaines de papiers beaux-arts qui servent notamment à l'impression photo. Cela fait quatre cent quarante et un ans que l'entreprise existe, ce qui en fait le plus ancien fabricant de papier beaux-arts d'Allemagne. Historiquement installée à Relliehausen à quelques encablures, Hahnemühle s'implante sur le site actuel dans les années 1940. Spécialisée dans les papiers d'art depuis plusieurs siècles, la manufacture s'ouvre aux papiers pour impression jet d'encre dans les années 1990. Sur place, environ 200 employés sont à la tâche. Dans l'enceinte de l'entreprise, rien d'ostentatoire. Différents édifices organisent la production du papier avec son bâtiment administratif, un centre de stockage pour la matière brute (la pâte à papier), le bâtiment de production et de contrôle de fabrication et le laboratoire pour la R&D et les contrôles qualité. Les recettes, secrets de cuisine C'est toute une chaîne de production qui permet de

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Réponses Photo 382 Solstices

Solstices

Item sans titre Item sans titre Item sans titre Vous êtes à la fois photographe, tireur et compositeur de musique de film, ce qui est pour le moins atypique. Pouvez-vous nous expliquer votre découverte de la photo et votre rapport à cet art ? Mon père a été un passionné de photo toute sa vie. Il y avait une chambre noire dans notre maison. À l'âge de 8 ans, j'ai commencé à apprendre à faire des tirages avec l'aide de mon frère aîné. Je savais faire des tirages avant de manier un appareil photo. Il s'agit bien sûr d'une manière détournée d'aborder la photographie. Ainsi, lorsque j'ai entrepris de prendre des clichés quelques années plus tard, je me suis rendu compte que j'étais capable de prévisualiser le tirage résultant tout en appuyant sur le déclencheur, sans vraiment comprendre

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Réponses Photo 382 Les 5 gagnants

Les 5 gagnants

Il a gagné… Un bon d'achat de 100 € TTC à valoir chezWHITEWALL * et l'exposition de sa photo sur notre stand au Salon de la photo. * À propos de WhiteWall Fondée en 2007 par Alexander Nieswandt, l'entreprise s'est imposée comme le premier laboratoire photo au monde. Avec 180 employés, WhiteWall est présent dans plus de 13 pays. Tous les produits sont fabriqués et expédiés depuis son laboratoire de plus de 7 500 m2 situé à Frechen, près de Cologne. “En arrivant à Cannes pendant le festival, je ne sais pas vraiment à quoi m'attendre. Pas de badge, ni smoking, ni accréditation. Juste 48 heures sur place et un boîtier autour du cou. Alors, j'observe. Très vite, je comprends : il y a ceux invités à la fête, ceux qui essaient de la vivre par procuration, et ceux pour qui la vie continue, simplement. Le chic, l'éphémère, l'extravagant frôlent l'ordinaire et

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Réponses Photo 382 LES PHOTOGRAPHES FACE À LA GRATUITÉ

LES PHOTOGRAPHES FACE À LA GRATUITÉ

Non, ce n 'est pas rémunéré, mais il y aura une super visibilité !”, “Je te permets d'exposer, je ne vais pas en plus tepayer”, “C'est une toute petite retouche, tu ne vas pas nous la facturer !” . Cela vous dit quelque chose ? Pour la quatrième année consécutive, les États généraux de la photographie(1) relancent leur campagne #Unephotocasepaie avec ces punchlines percutantes mais évocatrices. L'objectif ? Sensibiliser le plus grand nombre et rappeler, encore et toujours, l'importance du respect du droit d'auteur. C'est une démarche qui n'est pas sans faire penser à l'initiative du CLAP (Comité de liaison et d'action pour la photographie) lancée lors de l'inauguration des Rencontres d'Arles en 2018. Cinq agences et collectifs de photographes avaient frappé fort en dénonçant la banalisation de la gratuité pratiquée par les lieux d'exposition, avec la campagne #Payeta-photo. Soutenus par une tribune dans la presse et une pétition réunissant plus de 15 000 signatures, ils avaient mis les pieds dans le plat : à sa 49e édition, l'un des plus grands festivals photo au monde, dont le budget dépassait les 7 millions d'euros, n'avait jamais envisagé de rémunérer les photographes exposés ! Cette action, corrélée à une mobilisation de longue date de la part des organisations professionnelles du secteur et à l'arrivée de la première déléguée à la photographie au sein du ministère de la Culture, Marion Hislen, fait plier le festival, et quelques autres suivent le mouvement… parfois à reculons. Certains photographes ayant signé la pétition sont discrètement “recadrés” par des directeurs de festivals, qui leur font comprendre que leur prise de position risque de leur fermer des portes… C'est justement le combat que mène

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Réponses Photo 382 De plus en plus expert

De plus en plus expert

À chaque génération ses petits changements ergonomiques. Ainsi, bien que le Z5II ne rompe pas visuellement avec son prédécesseur, il apporte son lot de nouveautés qui rendent son usage encore plus intuitif et agréable. Le design du boîtier reste sobre, sans audace particulière, mais sa prise en main est excellente, grâce à une poignée un brin plus marquée que sur le modèle précédent, et sa résistance a été accrue : elle est comparable à celle du Z6III (2 400 €). Nous avons utilisé le Z5II avec de petites focales fixes comme de lourds téléobjectifs sans gêne. Laissant aux Z 6, 7, 8 et 9 l'apanage d'un écran secondaire, il hérite en revanche du Z50II (890 €) une touche d'accès direct aux Picture Control - comprenant les différents modes noir et blanc inaugurés sur le Z f (2 080 €) -, dispose d'un raccourci tactile à l'écran et procède à une légère réorganisation des boutons de la face arrière

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Réponses Photo 382 ENTRE DEUX PÔLES

ENTRE DEUX PÔLES

Cet essai photographique sur la vie quotidienne aux pôles était au départ un projet documentaire sur les effets du réchauffement climatique dans les villes situées aux extrêmes. Il est devenu un voyage initiatique et personnel, fait d'accidents, d'expérimentations et de rencontres. Il est devenu une déclaration d'amour à des territoires. Le premier départ Tout débute en novembre 2016. Avec la journaliste indépendante Leïla Miñano, nous décidons sur un coup de tête de nous rendre à Long yearbyen, au Svalbard. Nous n'étions pas parties depuis longtemps, et notre envie de voyage se faisait pressante. Après quelques recherches sur le Web, nous sommes tombées d'accord : pourquoi ne pas aller là où les ours blancs sont plus nombreux que les hommes ? Nous atterrissons le surlendemain sur la petite piste de la ville la plus septentrionale au monde. Il est midi, et la nuit nous enveloppe. Elle s'obstine et ne nous lâchera pas durant les dix jours de notre séjour. C'est ainsi que nous avons découvert le territoire : sans le voir. Douce ironie. Mais l'œil s'adapte. On discerne peu à peu les crêtes des montagnes, taillées dans un ciel noir aux teintes vert émeraude. Sur l'unique route qui traverse Longyearbyen, les silhouettes au pas assuré semblent avoir percé le secret de l'obscurité. Nous sommes comme dans un cocon charbonneux. L'objet de ce premier voyage est de documenter le quotidien des habitants de cette extrémité, là où le réchauffement est le plus rapide et le plus important au monde. Nous sommes habituées à travailler vite, au pas de course. À enchaîner les interviews pour rentabiliser nos voyages, qu'il nous arrive de financer. C'est le cas cette fois-là. Nous avons envoyé des propositions à quelques magazines à notre départ de Paris, depuis l'aéroport, et avons reçu

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