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Réponses Photo - Le numéro 382 du 4 juillet 2025

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La Une de Réponses Photo n°382 du 04/07/2025

Au sommaire de ce numéro

Réponses Photo 382 Les analyses critiques de la rédaction

Les analyses critiques de la rédaction

“Dans la ville de Trinidad, à Cuba,si loin des quartiers touristiques de La Havane, après avoir marché le long de bien des rues, je tombe sur ces enfants qui me demandent des caramels. Le soleil est bas déjà et m'offre cette lumière et ce jeu d'ombres.” Une belle scène de rue Cet instantané intrigue par sa lumière picturale et sa composition sur différents plans, remplie de détails. La partie droite est un portrait classique que vient chahuter la partie gauche. Jeu d'ombres ludique Les silhouettes dessinées par le soleil rasant mêlent les enfants hors cadre aux deux fillettes, dans un jeu de cache-cache avec la lumière aux accents surréalistes. Mise au point décalée Il semble que la

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Réponses Photo 382 SEBASTIÃO SALGADO UNE VIE, UNE ÉPOPÉE

SEBASTIÃO SALGADO UNE VIE, UNE ÉPOPÉE

Quand Sebastião Salgado parlait de ses reportages, il utilisait le mot “histoire”. Si l'idée de récit photographique était manifeste, c'est aussi son étymologie qu'il considérait. En grec ancien, (“historía”) veut dire “enquête”. C'est ainsi que le père de l'Histoire, Hérodote (Ve siècle av. J.-C.), avait appelé son ouvrage sur l'origine des guerres médiques. Mais revenons aux histoires-enquêtes du photographe. Sebastião Salga-do travaillait sur des projets de long terme et très organisés. On le constate dans la numérotation de ses archives, soigneusement conservées, qui rassemblent toutes ses planches-contacts et tous ses tirages réalisés pendant plus de quarante ans. Quand il choisissait du film 24×36 ou moyen format, la séquence était “AA - numéro d'histoire -numéro du film - numéro de la vue”. Par exemple, pour l'une des photographies iconiques de la Serra Pelada, nous avons “86-11-143-23”. En prise de

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Réponses Photo 382 L'art du cyanotype

L'art du cyanotype

Le cyanotype tire son nom de la couleur bleue du procédé. Il est inventé en 1842 par l'Anglais John Herschel (1792-1871). La technique repose sur la sensibilité des sels de fer à la lumière, laquelle transforme les sels ferriques en sels ferreux. La solution sensibilisatrice est un mélange

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Réponses Photo 382 L'appel du lointain

L'appel du lointain



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Réponses Photo 382 100 photos et un engagement

100 photos et un engagement

Connaissez-vous le point commun entre Sebastião Salgado, Sabine Weiss, Laurent Bal-lesta, Françoise Huguier et Astérix ? Tous ont eu droit à un album de RSF qui leur a été consacré. Trois fois par an, l'association de défense des journalistes publie cette revue de 146 pages revenant sur le travail d'un grand photographe (mais pas que…). La réputation de ces albums n'est plus à faire, et leur contenu se résume à un mantra, promis par le titre : “100 photos pour la liberté de la presse”, en référence d'abord au portfolio central de chaque numéro, mais aussi à la vocation de cette publication qui joue un rôle crucial au sein de RSF. “En 1992, l'organisation était toute jeune et on cherchait des moyens de financement pour défendre les journalistes, raconte Perrine Daubas, la rédactrice en chef des albums

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Réponses Photo 382 LUMIÈRE SUR… BERNARD PLOSSU

LUMIÈRE SUR… BERNARD PLOSSU

Comment définiriez-vous votre photographie ? Sobre, discrète, pas tape-à-l'œil, pas spectaculaire, plus géométrique qu'elle n'en a l'air. Plus j'avance et plus je me dis que ce n'est pas mon œil qui fait la photo, c'est mon corps tout entier. L'art le plus proche de la photographie, c'est la danse. Dans le film consacré à Cartier-Bresson et qui a été projeté à Pompidou il y a quelques années, on voit bien qu'il danse lorsqu'il photographie. Vous êtes né en 1945 dans le Sud du Viêtnam, parlez-nous de vos parents… Mon père ne parlait que de montagne. C'était un montagnard réputé, un marcheur, un alpiniste, et il pratiquait beaucoup la photographie. Il était tout le temps cité dans les livres de montagne. Il était très ami avec Frison-Roche. Toutes les photos de l'écrivain en montagne ont été prises par mon père. J'ai donc grandi entouré de photographies noir et blanc représentant les montagnes et le Sahara. Ma mère était d'origine italienne, et son père avait créé les Papeteries d'Indochine. À un moment donné de sa vie, il est parti vivre au Mexique. Sûrement est-ce pour cette raison que je suis parti là-bas. J'y avais de la famille : mes grands-parents, mon oncle, ma sœur… beaucoup de monde vivait au Mexique. Ainsi, j'ai été élevé d'un côté avec la famille italienne de ma mère, et de l'autre côté, dans la passion des montagnes avec mon père. “Plossu” vient du mot “pelucher”, qui signifie “se couvrir de peluche”. C'est un mot originaire des montagnes… Quel enfant étiez-vous ? J'ai été profondément marqué par l'Italie. Enfant, je ressemblais

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