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Réponses Photo - Le numéro 383 du 10 septembre 2025

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La Une de Réponses Photo n°383 du 10/09/2025

Au sommaire de ce numéro

Réponses Photo 383 Fiction nocturne par Sabine Agostini

Fiction nocturne par Sabine Agostini

Ayant appris de façon autodidacte l’art de la postproduction, cette photographe franco-libanaise invente des mondes nocturnes inspirés de la peinture comme du cinéma. “J’aime la nuit pour son ambiguïté et son ambivalence, dit-elle. Elle est porteuse de mystères, de trouble, elle féconde notre imaginaire et pervertit la réalité. ” Sabine détaille pour RP l’intention et la technique derrière cette image d’une vieille Mercedes. “J’ai effacé le jour pour laisser place à une nuit fabriquée, presque irréelle. La manipulation des

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Réponses Photo 383 Les analyses critiques de la rédaction

Les analyses critiques de la rédaction

“Au Festival Art Rock, la fatigue se fait sentir. Je suis prêt à ranger mon boîtier et à rentrer me coucher. Et puis Johnny et son cheval surgissent. Une apparition étrange, hors du temps, hors contexte. Comme un vieux rêve d'Amérique.” D'accord Julien Bolle Cet instantané surréaliste appartient selon moi au registre du “fantastique social” : dans l'œil du photographe, le banal peut se transformer en un rêve bizarre où les signes du quotidien se mêlent pour créer de nouvelles histoires. Ici, la tête de Johnny Hallyday et celle du cheval, fortuitement alignées, semblent avoir été interverties dans une illusion d'optique angoissante. Seul bémol, si le traitement kitsch des couleurs sied bien au sujet, le contre-jour aurait pu être corrigé pour un meilleur impact. Pas d'accord Thibaut Godet La scène a vraiment de quoi interpeller et je comprends très bien pourquoi le photographe a déclenché à ce moment-là. Mais si le sujet est bien là, il me manque un peu plus d'intention pour faire passer cette image au niveau supérieur.

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Réponses Photo 383 Comment le numérique a rebattu les cartes dans l'industrie photo

Comment le numérique a rebattu les cartes dans l'industrie photo

Dès ses débuts, le numérique a enthousiasmé. Mais l'idée de capturer une image sans recourir à un support argentique a naturellement effrayé les fabricants d'émulsions. Ainsi, bien qu'à l'origine des premiers appareils numériques avec sa gamme DCS, Kodak a craint de cannibaliser ses profitables ventes de pellicules et s'est même investi, à l'aube des années 2000, dans les systèmes argentiques APS avec ses EasyLoad. Fabricant de capteurs avec sa filiale Kodak Image Sensor Solutions - revendue en 2011 à l'américain Plati-num Equity, qui la rebaptise Truesense Imaging, avant de passer dans le giron d'ON Semiconductor en 2014 -, le géant américain s'est cantonné à un rôle d'intégrateur en basant ses systèmes autour de boîtiers Nikon puis Canon et Sigma auxquels il apportait le capteur, l'électronique et le stockage. Quant à ses compacts, ils n'ont pas su rivaliser avec ceux des géants japonais et la marque s'est écroulée. Aujourd'hui, les compacts et bridges Kodak sont produits sous licence par des entreprises asiatiques. Fujifilm tire son épingle du

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Réponses Photo 383 Pour le meilleur et pour le pire

Pour le meilleur et pour le pire

En 1975, le prototype d'appareil photo numérique de Steven Sas-son marque une étape décisive de l'histoire de la photographie. Il va pourtant se passer encore vingt à vingt-cinq ans avant que les coups de boutoir de la révolution numérique ne viennent progressivement bouleverser la pratique des photographes. Ce n'est en effet qu'au début des années 1990 que l'imagerie numérique commence à s'émanciper des laboratoires de recherche et des applications industrielles et médicales. L'idée d'un appareil photo numérique n'a toujours pas quitté la table à dessin des ingénieurs, mais les prix des micro-ordinateurs et de leurs périphériques chutent en même temps que leurs performances augmentent. C'est l'ère du multimédia, et le CD-Rom est le support de stockage dominant dans les milieux de la création numérique. Les logiciels de traitement d'image

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Réponses Photo 383 Futuroscope

Futuroscope

Des paysages tour à tour lunaires et martiens, mais où la vie semble avoir trouvé refuge. Ou est-ce plutôt la planète Terre, une fois la parenthèse Homo sapiens refermée ? Les visiteurs de l'excellent festival Les Mesnographies qui se tenait en juin dans les Yvelines ont pu faire l'expérience immersive de cet univers dystopique exposé en très grand format. Quand on interroge Guilhem sur le sens de ses images, il renvoie à une remarque entendue lors du vernissage : “Une personne a formulé de manière assez juste une réflexion que j'avais un peu en tête. J'ai appelé cette série

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Réponses Photo 383 Petit boîtier au grand cœur

Petit boîtier au grand cœur

Muni du XF 23 mm f/2,8 R WR annoncé en même temps que lui (450 € seul et 1 800 € en kit avec le X-E5) et dont le test est publié dans ce numéro, le X-E5 ressemble à s'y méprendre à un X100VI (1 800 €) sur lequel il se-rait possible de changer l'objectif. Les deux boîtiers présentent des dimensions pratiquement identiques et proposent une ergonomie très proche, inspirée de celle des appareils télémétriques au viseur déporté sur le côté. Ils se distinguent sur ce point des X-H2 (2 250 €), X-T5 (2 000 €) et X-T50 (1 500 €), dont ils reprennent en revanche le couple capteur-processeur. À la différence du X100VI, le X-E5 ne dispose cependant que d'un viseur électronique dont la définition n'a malheureusement pas été accrue depuis son prédécesseur : elle est de 2,36 Mpts -soit autant que sur les X-S20 (1 400 €)

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