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Réponses Photo - Le numéro 385 du 7 novembre 2025

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La Une de Réponses Photo n°385 du 07/11/2025

Au sommaire de ce numéro

Réponses Photo 385 FAUT-IL ASSURER SON MATÉRIEL PHOTO ?

FAUT-IL ASSURER SON MATÉRIEL PHOTO ?

Je ne sais pas vous, mais j'en ai entendu un paquet, des expériences de photographes qui se trouvaient au dépourvu après que leur matériel photo a été volé dans un train ou démoli à la suite d'une chute ou d'un accident. Si, dans le cadre d'un vol, le réflexe est maintenant d'aller sur des sites de revente tels que Leboncoin pour voir si l'on ne retrouve pas son précieux, une autre mesure, préventive, est finalement peu abordée dans le milieu : l'assurance. Sans pour autant renoncer à la vigilance, celle-ci peut être une solution pour ne pas perdre trop de billes en cas d'accident. Mais comment est-on couvert ? Jusqu'où assurer son matériel ? Et est-ce que cela vaut le coup ? Bonne question, d'autant plus que la plupart des photographes que nous avons interrogés pour ce dossier préféraient ne pas assurer leur matériel. Pour répondre, nous nous sommes tournés du côté de Niort, capitale française des assurances, et plus spécifiquement la Maif, avec qui nous avons fait un long point sur ce que contiennent ses polices d'assurance. Et pour elle, tout commence par une recommandation : “Il ne faut pas hésiter à se renseigner, à comparer, à bien définir quel est son besoin ” , explique Nathalie Guibet-Roy,

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Réponses Photo 385 Une attention au quotidien

Une attention au quotidien

La poussière est l'ennemi numéro un de notre précieux matériel, suivie de près par l'humidité, les traces de doigts ainsi que tous les facteurs capables d'engendrer des chocs physiques, parfois esthétiques ou endommageant son bon fonctionnement. Un objectif sale, c'est la qualité des images qui sera altérée ; un capteur encrassé, ce seront des heures passées en postproduction à éradiquer ces satanées puces toujours mal placées. Il convient donc de protéger et d'entretenir l'ensemble de son matériel photo au quotidien. Item sans titre Item sans titre À la maison Un entretien léger et régulier demeure un plus pour la bonne santé des appareils photo comme des objectifs. Mais un nettoyage en profondeur de tout le matériel est quelquefois nécessaire pour préserver à la fois sa qualité esthétique et son potentiel de fonctionnement à court et long terme. Fréquence et type de nettoyage dépendront ainsi des conditions de prise de vue (milieu poussiéreux, humide… ). Le nettoyage s'effectuera dans une pièce à l'abri de la poussière et des courants d'air. Une poire soufflante, un stylo type LensPen, une bombe à air sec, de petits pinceaux, du papier de nettoyage optique, des lingettes en microfibre (évitez les tissus pelucheux) et des kits de nettoyage adaptés à la dimension

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Réponses Photo 385 ACHETER UN REFLEX A-T-IL ENCORE UN SENS EN 2025 ?

ACHETER UN REFLEX A-T-IL ENCORE UN SENS EN 2025 ?

Il fallait les chercher, au Salon de la photo qui s'est tenu en octobre dernier à Paris. Face à l'hybride triomphant et au retour surprise du compact, les reflex avaient tout bonnement disparu des stands des fabricants photo. Rien chez Canon, rien chez Nikon. Pas de stand Pentax, firme qui doit son nom au pentaprisme de la visée reflex. En réalité, les quelques appareils de la gamme Pentax étaient bien présents, mais relégués à l'arrière du stand de la société mère Ricoh, plus occupée à promouvoir son récent compact GR IV que les boîtiers à miroir de la marque historique. Une bascule lente mais inéluctable Une disparition logique, si l'on considère que les reflex ont longtemps représenté un anachronisme hérité de l'argentique, et dont le remplacement par les hybrides à viseur électronique était programmé depuis le début du siècle, même si Canon et Nikon n'ont vraiment sauté le pas qu'en 2018. Le reflex mono-objectif (SLR en anglais pour Single Lens Reflex) correspond à l'âge d'or de la photographie 24×36 de la seconde moitié du XXe siècle, avec son miroir mobile qui renvoie l'image formée par l'objectif vers le viseur et le système autofocus, puis se relève pour exposer le film (ou le capteur numérique) quand on appuie sur le déclencheur, avec son bruit caractéristique. Rappelons tout de même que ce principe avait été mis au point dès 1861 par l'Anglais Thomas Sutton ! Anachronique, donc. Fujifilm, Olympus, Panasonic ou Sony avaienttracé la voie depuis une quinzaine d'années, puis Canon et Nikon, spécialistes du reflex, ont opéré la bascule vers l'hybride en lançant leurs gammes Canon EOS R et Nikon Z, après de premières tentatives peu concluantes (les séries Canon EOS M et Nikon V). Les progrès des viseurs électroniques, et surtout des systèmes de mise au point autofocus et d'obturation électronique embarqués sur les capteurs,

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Réponses Photo 385 Un choix exhaustif à tous les tarifs

Un choix exhaustif à tous les tarifs

Réparti entre la Suisse et la Corée du Sud, ce fabricant développe avant tout des objectifs, des filtres et des accessoires pour le cinéma, mais il propose aussi des optiques photo. S'il s'agit de focales fixes à mise au point manuelle, elles se distinguent par leur design résolument moderne et leur conception soignée. Leur poids témoigne de leurs formules optiques ambitieuses et de leur construction métallique tout-temps. En gamme cinéma comme en photo, le tarif dépend du niveau de finition souhaité (Fire-fly, Dragonfly ou Blackstone). D'abord lancée pour les reflex il y a une dizaine d'années, cette

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Réponses Photo 385 Trois générations

Trois générations

Si j'avais l'outrecuidance de pouvoir renommer ce film, je pense que j'aurais immédiatement donné le nom de L'Appel de la forêt … Et ce n'est pas juste pour rendre hommage à Jack London, qui tient une belle place dans mon panthéon des auteurs de romans. C'est surtout que je dois vous avouer qu'après la projection presse à laquelle j'ai assisté mi-octobre, je n'ai eu aucune envie de rentrer à la rédaction, mais plutôt de m'absenter quelques jours dans les bois, écouter chouettes, troglodytes et observer le ballet des écureuils (ce que je n'ai malheureusement pas fait…). C'est pour moi toute la réussite de ce nouveau film de Vincent Munier, qui sort le 17 décembre au cinéma. Après La Panthère des neiges, le célèbre photographe animalier nous immerge

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Réponses Photo 385 LUMIÈRE SUR…NIKOS ALIAGAS

LUMIÈRE SUR…NIKOS ALIAGAS

La photographie est tout d'abord liée à un sentiment de peur et de perte pour vous, celle de vos parents. Racontez-nous les débuts de votre “conscience” photographique. En photographie, j'ai d'abord saisi la notion de temps avant de comprendre l'histoire du cadre et la magie de la photographie. Je suis né et j'ai grandi en France, et je suis de double culture. Je retournais en Grèce dans mon village d'origine tous les étés. Un jour, en retrouvant une boîte à chaussures, je suis tombé sur des photos d'une autre époque, en noir et blanc. J'ai compris ce jour-là que les jeunes gens sur le cliché étaient mes parents, qu'ils avaient été jeunes et qu'ils ne l'étaient plus… J'étais petit, j'avais 6-7 ans. L'album de famille a été un révélateur et un point de départ en quelque sorte. J'ai récupéré une photo de mon père prise en novembre 1963, quand il avait 24 ans (mon père est arrivé en France en novembre 1964). Dessus, on pouvait voir le nom du petit studio photo de quartier à Athènes. J'ai fait des recherches sur Internet, le studio n'existait plus, mais j'ai retrouvé le nom du photographe. Il immortalisait les acteurs et actrices du cinéma grec de l'époque. À partir d'une simple image, une date précise, une rue… je suis parvenu à tisser le fil d'une journée dans la vie de mon père. J'ai fait tout un travail de mémoire sans vraiment savoir pourquoi. J'ai compris ensuite que c'était par peur de l'implacable temps qui passe et de notre finitude. Pour moi, la photographie a d'abord été liée à un sentiment d'urgence

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