L'Evora s'inspire beaucoup de l'Elise en adoptant une carrosserie en composite reposant sur un châssis collé-riveté en aluminium extrudé. Un choix pertinent étant donné que, sans rien sacrifier au confort (clim et GPS de série), le poids reste sous la barre des 1 500 kg tous pleins faits. Et, chose rare pour un coupé 4 places, le moteur est installé en position transversale centrale arrière, garantissant un parfait équilibre des masses. L'Evora offre ainsi un toucher de route très Lotus, se caractérisant par son grip, son agilité et sa précision de conduite. Un bonheur sans malmener les vertèbres, puisque l'amortissement est finement réglé. Côté mécanique, les premiers millésimes reçoivent un V6 3,5 litres atmosphérique Toyota de 280 ch puissant mais pas très communicatif, couplé à une boîte manuelle à 6 rapports (ou, en option, une boîte automatique IPS à 6 vitesses également). En 2011, l'Evora S à compresseur monte le curseur à 350 ch. Les performances progressent bien, de même que l'agrément de conduite et la fiabilité générale. Car l'Evora s'est bonifiée au fil des ans, en corrigeant ses quelques erreurs de jeunesse. En 2016, l'Evora passe un cap à travers sa variante « Sport 410 », en référence au niveau de puissance de son moteur Toyota retravaillé. Baptisée communément « Evora 400 » (406 ch), celle-ci remplace les deux premières moutures. Cette Evora 400, capable d'atteindre
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