Mes parents attendent trop de moi, et mon récent divorce les a beaucoup déçus, soupire Antoine, 33 ans. Du coup, à Noël, c'est sûr, ils vont encore me dire que je suis immature, et moi, comme d'habitude, je vais me braquer ! » À 48 ans, Natacha est formelle : « Ce repas familial chez ma sœur, qui, une fois de plus va vouloir épater la galerie en mettant les petits plats dans les grands, me déprime d'avance ! » Du côté de Sylvie, 40 ans, ça n'est guère plus réjouissant : « Ma fille de 15 ans joue les rebelles, elle ne veut pas réveillonner en famille. Elle va s'isoler dans sa chambre et tout le monde va mal le prendre. » Pour beaucoup d'entre nous, les retrouvailles familiales sont l'occasion d'un sacré
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