L'Auto-Journal - Le numéro 1196 du 13 novembre 2025

L'Alpine A390 mesure 4,62 m de long et se contente d'un empattement de 2,71 m, soit une dizaine de centimètres de moins qu'un Scénic E-Tech. La plus familiale des Alpine ne cherche donc pas à battre des records d'habitabilité. Il y a suffisamment d'espace aux jambes à l'arrière et il est même possible de glisser ses pieds sous les sièges avant, alors que son coffre se montre pratique et généreux et pourvu d'un hayon motorisé. Mais, clairement, si vous craquez pour l'A390, ce sera pour autre chose. Avec trois moteurs, un à l'avant (celui de la Mégane E-Tech, à la puissance légèrement réduite) et deux à l'arrière, un sur chacune des roues, l'A390 veut sortir du virage beaucoup plus vite qu'elle n'y est entrée. Et il semblerait qu'elle soit pourvue de ce talent-là. Plutôt que d'opter pour un système à quatre roues directrices (équipement déjà

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter L'Auto-Journal n°1196 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Suzuki, qui occupe la deuxième place du marché des véhicules particuliers au Japon et même la première de la catégorie des kei cars, lancera en 2026 une “mini-voiture” 100 % électrique. Il faut dire que le constructeur, qui possède une gamme d'une petite dizaine de modèles différents (mais aucun électrique jusqu'alors) de 3,4 m au maximum, ne peut pas se permettre de laisser la concurrence explorer seule ce mode de locomotion, particulièrement bien adapté à de pures citadines. Rappelons qu'une kei car sur trois vendue au Japon est une Suzuki. Le concept Vision e-Sky préfigure une petite citadine 100 % électrique 5 portes qui fera son apparition au Japon l'année prochaine. Celle-ci devrait mesurer 3,4 m de long, 1,48 m de large et 1,63 m de haut. Une vraie kei car qui ne dévoile guère d'informations techniques mais

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter L'Auto-Journal n°1196 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Item sans titre Avec son véritable arbre de transmission, le Bigster Mild Hybrid 130 ch 4x4 flirte avec les 140 g/km de CO2, synonyme d'un malus de près de 2 000 € dès le 1er janvier 2026. Inacceptable pour Dacia, qui finalise la mise au point d'un tout nouveau système avec moteur électrique 48 V sur l'essieu arrière. Sans arbre reliant les deux essieux, la transmission intégrale est obtenue en faisant travailler de concert l'ensemble Mild Hybrid Eco-G 140 ch et le tandem moteur électrique/boîte de vitesses à 2 rapports logé sur le train arrière. Alimentée soit par

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter L'Auto-Journal n°1196 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Item sans titre L'Auto-Journal avait révélé la gestation de ce modèle néo-rétro il y a un peu plus de deux ans. Deux ans - Renault parle de 100 semaines -, c'est aussi le temps de développement de cette quatrième génération de Twingo, ce qui relève de l'exploit dans le monde de l'industrie automobile, où la norme est plutôt le double. Et le temps, c'est de l'argent, d'autant que la nouvelle Twingo arrive dans un contexte totalement différent par rapport à celle que l'on appelait affectueusement la “Grenouille” en 1992. Il y a plus de trente ans, les citadines étaient présentes en nombre et constituaient une part non négligeable du marché européen. La nouvelle venue débarque quant à elle à un moment où son segment représente moins de 5 % des ventes en Europe, principalement à cause du manque de propositions. Et puis cette Twingo IV est uniquement électrique, avec un rayon d'action limité

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter L'Auto-Journal n°1196 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Item sans titre Item sans titre Au temps des fiacres et des calèches, le métier de charron nourrissait son homme et entretenait de florissantes dynasties. La présence de ces artisans dans les bourgs était indispensable au développement des transports et de l'automobile balbutiante. Après la Première Guerre mondiale, les constructeurs adoptent progressivement les roues en métal et l'activité fléchit légèrement. Certaines familles en profitent pour changer d'orientation et se transforment le plus souvent en carrosseries industrielles. C'est le cas des établissements Chéreau, désormais spécialistes de la remorque frigorifique, et surtout d'Heuliez, bien connu des amateurs d'automobile, dont

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter L'Auto-Journal n°1196 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Emblématique de Seat dans les années 80, l'Ibiza, lancée en 1984, s'est écoulée à plus de six millions d'exemplaires au fil de ses différentes phases. Cette poule aux œufs d'or hérite, quarante ans plus tard, de la lourde mission de relancer la marque dans un contexte délicat. La nouvelle mouture restylée de la cinquième génération, comme nous le verrons, n'est pas aussi inédite qu'elle le prétend. Mais elle mise sur une image jeune et branchée pour séduire. Sans révolutionner le genre, l'Ibiza affine sensiblement son style. L'avant évolue avec subtilité :

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter L'Auto-Journal n°1196 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.