La transmission automatique en ville, où l'on ne cesse de s'arrêter et de redémarrer, paraît être un ingrédient indispensable au confort de conduite, surtout pour des modèles aussi spécialisés que des citadines. L'idée est d'ailleurs née très tôt, dans les années 50, lorsque des équipementiers, comme Ferlec sur la Renault 4CV, ont installé des embrayages automatiques sur les plus petites autos du marché. Depuis, les tentatives ont été nombreuses et pas toujours fructueuses : les Fiat Selecta étaient incapables de monter certaines côtes, ou, plus récemment, les redoutables transmissions robotisées “ETG” de certaines Peugeot et Citroën n'ont pas laissé un très bon souvenir. L'arrivée en masse de l'hybridation semble apporter enfin une réponse à l'un des problèmes majeurs posés par ce type de boîte sur ces autos premier prix : le manque de couple de leurs petits moteurs thermiques à bas régime. Désormais assistés par des machines électriques, ils disposent en plus de nouvelles transmissions sophistiquées, comme la fameuse e-DCT à triple embrayage dont la toute récente Fiat Grande Panda hérite dans sa version 110 ch à hybridation légère de 48 V. Suzuki, en revanche, continue de préférer les solutions simples et éprouvées,
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