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Nous Deux - Le numéro 4073 du 21 juillet 2025

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La Une de Nous Deux n°4073 du 21/07/2025

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Nous Deux 4073 « Le Café des amis » Retour de flamme

« Le Café des amis » Retour de flamme



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Nous Deux 4073 La place du cœur

La place du cœur



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Nous Deux 4073 Sardy, des jardins à voir et à rêver

Sardy, des jardins à voir et à rêver

Une petite route monte en lacets vers un promontoire rocheux dominant la vallée de la Dordogne : une situation convoitée dès la guerre de Cent Ans pour repérer de loin l'ennemi… Une fortification y est construite directement sur le rocher, comme en témoigne une ancienne tour de défense. Alors, avant de commencer la visite de ces jardins, découvrons-en l'histoire avec leurs actuels propriétaires, Ninon et Frédéric Imbs. Un heureux hasard En 1956, les parents de Frédéric recherchent une propriété en Provence pour créer un jardin et, au retour d'un voyage infructueux, ils tombent sous le charme de cette bâtisse pourtant en ruine,

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Nous Deux 4073 Un voyage mouvementé

Un voyage mouvementé

Christophe en avait assez de conduire. - Hé, les filles, vous ne voulez vraiment pas me relayer ? Betty, son épouse, fit celle qui n'avait pas entendu. Cécile, sa sœur, fit la moue. Elle estimait qu'elle avait suffisamment conduit ce jour-là. Elle voulait prendre le temps d'admirer le paysage. Betty, pour sa part, détestait prendre le volant et profitait à son aise des images pittoresques qui défilaient. C'était elle, d'ailleurs, qui leur signalait une curiosité, un détail, un site, voire de rustiques bergers, à prendre en photo. Christophe avait connu Betty lors de ses études dans le cadre d'Eras-mus, le programme étudiant de mobilité européenne. Il l'avait épousée malgré le mécontentement certain de leurs parents respectifs. Ces derniers imaginaient toutes sortes de problèmes à venir dans cette union, placée alors sous le signe du Brexit. Mais tout allait bien et le souhait le plus cher des deux familles était d'avoir bientôt un bébé à chérir. Ce n'était pas le cas pour le moment, le couple voulait profiter à fond de la vie avant de pouponner. Betty avait eu l'idée de passer les vacances dans les Highlands, les hautes terres d'Écosse. Après quelques jours à Londres dans la famille de la jeune femme, il avait pris un ferry et loué une voiture tout-terrain pour parcourir la contrée. Ils avaient trois grandes semaines devant eux. Ces vacances avaient été minutieusement préparées. Betty avait insisté pour que Cécile se joigne à eux. Elle savait combien ce voyage tentait la jeune femme, qui souhaitait se remettre d'une déception sentimentale. - Quelle fabuleuse aventure ! s'exclama Betty. Hors des sentiers battus et des agences de voyages… Je suis contente que tu aies accepté de nous accompagner, ma Cécile. - Je craignais de vous déranger, les amoureux ! - Que tu es sotte ! Au contraire, c'est plus agréable, on s'entend si bien, en plus, tous les trois. On ne s'est pas encore ennuyé une seconde. Tu ne diras pas le

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Nous Deux 4073 Une aide providentielle

Une aide providentielle

Il n'est pas bon ni très prudent d'avouer trop vite son amour. Pourtant, dès que j'ai aperçu Coralie au sein d'un groupe d'étudiants devant la fac, je suis tombé sous son charme. Je m'en souviens. C'était hier… Ce sont d'abord ses yeux d'un bleu profond qui m'ont troublé. Un bleu doux et bienveillant dans lequel j'aurais immédiatement souhaité plonger. Autour d'eux, ce n'étaient qu'ombres vaporeuses qui se sont progressivement dissipées, laissant apparaître des pommettes hautes, des lèvres charnues et sensuelles sur lesquelles ma bouche avait déjà envie de se poser. Encadrant ce visage aux lignes pures, de longs cheveux châtains tombaient en boucle sur ses épaules tandis qu'une frange dissimulait le bombé de son front. J'étais envoûté. Quand l'apparition s'est agitée, le charme ne s'est pas rompu. Le groupe s'est dissipé, les étudiants se sont séparés après un baiser amical ou une poignée de main. Coralie s'est retrouvée seule face à moi, de l'autre côté de la rue. Je devais paraître stupide, ainsi planté, béat, incapable du moindre mouvement. La jeune inconnue ne m'avait même pas remarqué ! Alors j'ai traversé. Sans regarder à gauche ni à droite bien sûr, ce qui a contraint un automobiliste à freiner sec. Le crissement des pneus a fait se retourner la fille, d'autant plus que le chauffeur ne s'est pas privé de m'insulter avec des mots choisis ! J'étais dans ma bulle et je ne l'entendais pas. En revanche, les yeux de Coralie ont atterri sur moi, d'abord effrayés par le bruit, puis amusés par mon attitude. Elle allait se détourner, alors je l'ai interpellée : - C'est votre faute tout ça ! Comprenant que je m'adressais à elle, elle s'est immobilisée. - Eh oui ! Si vous n'étiez pas aussi jolie, j'aurais regardé où je mettais les pieds. Au lieu de ça, je ne voyais plus que vous ! Vous avez failli avoir ma mort sur la conscience. - Ça m'aurait fait beaucoup de peine, a-t-elle ironisé. - Alors venez boire un café avec moi pour m'aider à me remettre

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Nous Deux 4073 Fantômes viennois

Fantômes viennois

L'invitation était arrivée la veille sur sa messagerie et Ingrid hésitait encore à y répondre. Et puis répondre quoi ? Qu'elle n'avait plus jamais remis les pieds en Autriche et qu'elle n'allait pas changer d'avis à son âge ? Ce n'était pas gentil pour Lotta, son amie violoniste dont elle avait encouragé la carrière et qui ne manquait jamais de l'inviter à ses concerts dans le monde entier. Cette fois-ci, il s'agissait d'un concert mozartien au Musikverein de Vienne et c'était un privilège d'y être invitée par l'une des solistes de l'orchestre. La violoniste insistait : « Un événement exceptionnel, disait le message, avec la participation de grands musiciens qui viendront appuyer le travail de mes élèves. En souvenir du temps où tu m'as soutenue au début de ma carrière, j'espère vivement que tu viendras nous applaudir. » Lotta avait ouvert à Vienne une classe de violon dont on chantait les louanges dans le milieu musical. Ce serait un grand moment pour elle, ce concert. Ingrid devait-elle revoir sa ville natale ? Vienne avait dû bien changer depuis que la petite fille l'avait quittée avec ses parents en 1970. Ingrid venait alors d'avoir 10 ans et pleurait tandis que le train s'ébranlait dans la gare ; elle n'avait pas compris pourquoi on abandonnait la grande maison du Ring pour aller vivre à Paris. Elle n'avait pas compris ce qui transpirait d'inquiétude, de colère, de révolte, dans les conversations de ses parents, ce qui les poussait à partir, qui leur en voulait. Anton Zeller était un architecte réputé, dont l'activité s'étendait également à Paris et Londres ; il avait donc opté pour Paris et emménagé avec ses beaux-parents Gammert, qui devaient du reste rejoindre un autre de leurs enfants quelques années plus tard aux États-Unis. Ingrid n'avait su la vérité, ou du moins ce que disait la rumeur, que durant son adolescence : on venait alors d'apprendre la mort du docteur Andreas Gammert et de sa femme dans le crash d'un avion au-dessus

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