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Nous Deux - Le numéro 4074 du 28 juillet 2025

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La Une de Nous Deux n°4074 du 28/07/2025

Au sommaire de ce numéro

Nous Deux 4074 « Le Café des amis » À deux, c'est mieux

« Le Café des amis » À deux, c'est mieux



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Nous Deux 4074 Rompre et renaître

Rompre et renaître



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Nous Deux 4074 La chair à saucisse, on l'adore !

La chair à saucisse, on l'adore !

250 g de chair à saucisse - 1 oignon - Quelques brins de thym - 2 jaunes d’œufs - 1 c. à soupe de crème fraîche - 1 pâte feuilletée rectangulaire - 4 c. à soupe de pesto vert - 1 poignée de graines de sésame - Sel et poivre Pour le dip : - 150 g de tomates cerise - 1 c. à soupe de sirop d’érable - Huile d’olive. 1. Épluchez et émincez l'oignon. Lavez, séchez et effeuillez le thym. Dans un saladier, mélangez la chair à saucisse, l'oignon, le thym et la crème fraîche. Salez et poivrez. 2. Préchauffez le four à 210 °C. Déroulez la pâte feuilletée, piquez-la à la fourchette. Divisez-la en quatre parts. Sur chaque portion, étalez une couche de pesto vert en laissant 1 cm de bord. Ajoutez la farce sur la moitié de chaque feuille, toujours en laissant un peu

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Nous Deux 4074 Un séduisant patron

Un séduisant patron

La voix de Vincent, qui venait d'apparaître brusquement sur le pas de la porte, fit sursauter Amélie. - Je vous ai fait peur ? - Oui, docteur. Je ne vous avais pas entendu arriver. - Pardonnez-moi. Bonjour. - Bonjour, docteur. - Je suppose que mon premier patient est déjà dans la salle d'attente ? - Oui, docteur. - Vous m'apportez son dossier, puis vous le faites entrer, s'il vous plaît. - Son dossier est déjà sur votre bureau ainsi que les radios qu'il m'a remises en arrivant. - Très bien, merci. Il disparut comme il était apparu. Comme un chat sauvage, pensa Amélie, un chat qui surgit sans prévenir et s'éclipse de même façon. Elle hocha la tête tout en serrant poings et dents. Il était en retard, soit. Cela aurait pu justifier le ton avec lequel il s'était adressé à elle, mais il en était ainsi quotidiennement. Embauchée trois mois auparavant, elle pensait sérieusement à poser sa démission. Elle ne concevait pas ce genre de rapport entre médecin et secrétaire médicale. Elle aurait aimé un peu plus de considération. Mais il n'ouvrait la bouche que pour lui donner des ordres. Jamais un compliment, une attention qui lui aurait fait penser qu'il appréciait sa collaboration, son travail. Non. Rien de ce genre. Il s'était pourtant montré plutôt sympathique durant son entretien d'embauche. Bienveillant même. Elle avait parlé de son ancienne place chez l'un de ses confrères, brutalement décédé dans un accident de voiture. Il avait compati, comprenant, avait-il dit, la tristesse qu'elle avait dû ressentir après dix ans passés auprès de ce médecin. Comme ses références étaient excellentes, il lui avait déclaré ne plus avoir besoin de recevoir d'autres candidates pour le poste. Elle avait très vite enregistré les desiderata de son nouveau patron et celui-ci, les premiers jours, lui avait fait part de sa satisfaction. Mais quelques semaines plus tard, le ton avait changé. Elle venait d'ôter le papier du fauteuil médical sur lequel s'était

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Nous Deux 4074 Une chance, ailleurs

Une chance, ailleurs

J'ai pris la décision de mettre fin à mes études de médecine par un après-midi d'été. Ce jour-là, les rayons obliques du soleil quadrillaient mon bureau d'ombres et de lumières. Je peinais à me concentrer sur la tâche : les piles de cours et de livres alignées devant moi me décourageaient totalement. Mon regard ne cessait de s'égarer partout ailleurs. Sur cette carte postale de mon oncle envoyée depuis la Norvège que j'avais punaisée au mur. Sur cette photo de la capitale autrichienne glissée entre deux pages d'anatomie, ou sur ce globe terrestre qui me servait de lampe de bureau et que mon père m'avait offert lorsque j'avais 12 ans. Dehors, l'été s'était installé depuis longtemps et, malgré l'approche de la rentrée, la petite rue du Panier où je vivais avec mes parents avait encore des airs de vacances. Je ne sais pas si c'était la température très élevée ou la clarté cinglante, mais tout invitait à l'évasion. J'étais une fille de Marseille, du soleil, mais cela faisait cinq ans que ma peau était pâle, presque transparente. Je ne sortais plus, je n'avais jamais le temps de voir mes amis. Je ne faisais que travailler. J'avais renoncé à tout parce que j'étais obsédée par mes études de médecine. J'ai posé mon stylo et j'ai observé la marque d'encre un peu violette sur mon index. Qu'est-ce que je faisais enfermée entre ces quatre murs ? Je n'avais que 22 ans et ce dont j'avais toujours rêvé, c'était de découvrir le monde. Plus jeune, avant que la fièvre des études me prenne, je m'étais imaginée effectuant un long périple à travers l'Europe, traversant l'Autriche, la Slovénie, l'Italie, la Croatie et la Bosnie. Soudain, dans ma tête, tout est devenu clair : je devais partir ! J'ai saisi mon portable et j'ai consulté mon compte en banque. J'avais à peine de quoi m'offrir deux nuits d'hôtel et un billet d'avion. Mais mon regard est tombé à nouveau sur la carte postale de mon oncle et je me suis rappelé qu'il m'avait proposé plusieurs fois de lui rendre visite. Cela me permettrait de découvrir la Scandinavie et je

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Nous Deux 4074 Du bout des doigts

Du bout des doigts

Ariane se sentait bien. En tout cas apaisée, comme on peut l'être après avoir affronté une tempête. Et si les verts pâturages qu'elle distinguait entre ses yeux mi-clos n'étaient pas exactement ceux du Paradis, les hommes et les femmes en blanc qui les traversaient parfois, au rythme indolent de leurs protégés du moment, pouvaient, avec un minimum de conviction, passer pour des anges. Ce ne pouvait pourtant pas être le Paradis. Parce que Mathias n'était pas là, et Mathias, obligatoirement, devait avoir sa place au Paradis, si petite soit-elle, peut-être même improvisée dans la précipitation. Mais qui s'occupait de lui, maintenant, là-haut ? Fût-ce un ange de douceur, c'était de toute manière un usurpateur pour Ariane. Elle seule avait le droit de veiller sur son sommeil. Même sur son sommeil éternel. Ici-bas, c'était pourtant d'elle que l'on s'occupait. Lucia était son ange gardien et veillait sur son bien-être depuis son admission dans l'établissement en tant que « résidente volontaire ». En fait elle n'avait qu'à signer une décharge, refaire sa valise et elle pouvait être dehors, pas plus difficile que ça. Du moins en théorie. En pratique c'était un effort bien au-dessus de ses forces. Pourquoi aurait-elle replongé dans la vie quand la vie n'avait eu aucune pitié pour elle ? Plusieurs fois, la vie avait tenté une intrusion dans son nouveau cocon : Benoît était venu deux fois lui rendre visite, la mine à la fois grave et compatissante, de celle que l'on se peint sur le visage pour affronter un grand malade. Or Ariane ne se sentait pas malade. En fait, elle ne s'était pas sentie aussi bien depuis bien longtemps. Depuis… - Ariane ! Faites attention aux coups de soleil, votre peau n'est pas encore habituée… Lucia était près d'elle et inspectait l'état de son épiderme comme un cuisinier le liant de sa sauce. La brune infirmière à la peau mate ne connaissait pas ce genre de problèmes : le soleil l'aimait, comme tout le monde ici. - Vous n'êtes pas censée vous préoccuper de mon bronzage, la titilla la

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