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Nous Deux - Le numéro 4084 du 6 octobre 2025

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La Une de Nous Deux n°4084 du 06/10/2025

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Nous Deux 4084 Ne jamais renoncer

Ne jamais renoncer



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Nous Deux 4084 Panne d'inspiration

Panne d'inspiration



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Nous Deux 4084 Vive les pâtes !

Vive les pâtes !

- 500 g de lard fumé - 4 beaux avocats mûrs à point - 1 citron vert (jus) - 1 botte de basilic - 2 piments rouges - 250 g de manchego - 500 g de rigatonis - 6 c. à soupe d’huile d’olive - Sel et poivre du moulin 1. Taillez le lard en petits lardons et ôtez-en la couenne. Ouvrez, dénoyautez et pelez les avocats, coupez-les en cubes et citronnez-les avec le jus du citron vert. Émincez les piments et épépinez-les. Effeuillez le basilic. Râpez le manchego. 2. Plongez les pâtes dans une marmite d'eau bouillante salée en suivant le temps de cuisson recommandé sur le paquet pour un résultat al dente. 3. Faites griller les lardons dans une sauteuse avec 2 cuillerées à soupe d'huile. Ajoutez les piments à la fin et faites revenir le tout encore 2 minutes. 4. Égouttez les pâtes

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Nous Deux 4084 Au gré des marées

Au gré des marées

Je m'étais enfin résolue à mettre mon appartement sur une plateforme de locations. - L'été, tu trouveras facilement à le louer. Et ça peut renflouer un peu ton compte en banque, m'avait dit Sonia, ma voisine. J'avais promis à ma mère, qu'après son opération, je serais à ses côtés, le temps pour elle de se remettre complètement. Mon CDD s'était terminé quelques semaines auparavant et je n'avais encore reçu aucune proposition. J'étais libre de partir quelques jours en Normandie et de laisser les clés de mon appartement à des étrangers. La réputation de Bénodet fit son effet. Quelqu'un réserva mon appartement pour le mois d'août. Je mis hors de portée mes affaires personnelles, fis le ménage en grand et expliquai à mon locataire que les clés se trouveraient chez ma gardienne. J'avais dû partir la veille. Après son intervention, ma mère était rentrée chez elle, mais elle ne pouvait pas encore se lever. Pour cela, il lui faudrait patienter quelque temps. J'avais emporté mon matériel de peinture car je comptais bien me remettre à l'aquarelle. J'avais laissé de côté cette activité quand je m'étais mise en couple avec Vincent. Celui-ci jetait un œil narquois sur mes aquarelles naïves. Peu de temps après notre installation à Bénodet, il m'avait lancé un ultimatum. - Il te faut trouver un travail sérieux. Je ne peux pas assurer seul le loyer de cet appartement. Je t'ai toujours dit que mon souhait était de reprendre des études… J'avais alors rangé ma boîte de peinture, mes pinceaux et m'étais inscrite dans une agence d'intérim. J'avais accepté un poste de magasinière qui occupait mes journées du matin au soir et qui avait permis à Vincent de reprendre ses études d'architecte. Huit mois plus tard, celui-ci me quittait pour aller vivre à Paris. Il me laissait l'appartement. Les premiers temps furent difficiles. Sonia m'aida beaucoup. Elle me força à sortir, à voir du monde. J'avais l'impression d'être une marionnette qui n'avait aucune emprise sur son destin. Malgré tout, le temps joua

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Nous Deux 4084 La dernière étoile

La dernière étoile

Comme chaque jour, Marjolaine s'était couchée juste après le premier film de la soirée. Elle avait emporté dans sa chambre une tasse de cette nouvelle tisane contre les insomnies que lui avait recommandée le pharmacien. Un mélange agréablement odorant de plusieurs plantes réputées aider à l'endormissement, comme la mélisse et la menthe poivrée. Elle s'était installée dans son lit, la tasse posée sur sa table de chevet et un bon roman entre les mains, un polar plutôt terrifiant avec un abominable tueur en série de jeunes femmes qui donnait bien du fil à retordre à cette pauvre policière, mère divorcée qui élevait seule ses trois enfants. Comme toujours quand elle attaquait une nouvelle lecture, Marjolaine s'était vite attachée à l'héroïne et regrettait déjà de devoir la quitter bientôt, puisque la capitaine Ludivine Beaufort semblait cette fois tenir une piste sérieuse. - Aymeric Masson ? s'exclama-t-elle en tournant la page. Je n'aurais pas parié sur ce type. Mince alors, je le trouvais tellement gentil et serviable, il cachait bien son jeu ! Trop poli pour être honnête, j'aurais dû m'en douter. Tu vas prendre perpète, mon bonhomme, bien fait pour toi ! C'est horrible ce que tu as fait à toutes ces pauvres filles. Lorsque Marjolaine lisait un roman, elle le vivait intensément. C'était un peu comme si elle faisait partie de l'histoire. Les descriptions des meurtres lui avaient glacé le sang à plusieurs reprises et souvent elle s'était relevée pour vérifier que toutes ses fenêtres et sa porte d'entrée étaient bien fermées. Vivre seule dans une maison qui craquait de façon sinistre des planchers à la charpente, et cela, toutes les nuits, lui donnait des angoisses. Mais elle l'aimait, cette vieille baraque. C'était son bien, elle en avait hérité d'une tante paternelle qu'elle n'avait vue que deux ou trois fois dans sa vie et qui l'avait miraculeusement couchée sur son testament. Une femme qui s'était retrouvée veuve après seulement six mois de mariage, n'avait jamais refait sa vie et n'avait, de ce fait, pas eu d'enfant. Pas étonnant, c'était une grenouille de bénitier qui ne devait pas être très rigolote au lit. Jeanne, elle s'appelait. Jeanne Lebrun, de son nom d'épouse.

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Nous Deux 4084 Les fantômes de la frontière

Les fantômes de la frontière

Les visites guidées de Karel Sittler, dans la forêt de Sumava, remportaient toujours beaucoup de succès. À deux heures de voiture de Prague, cette forêt était immense et on pouvait y randonner à pied, à vélo, en voiture, traverser des marécages sur des passerelles de bois pour approcher au plus près du monde aquatique, et le soir percevoir parfois dans le lointain les hurlements des loups… Quelques-uns s'adjoignaient les commentaires d'un guide pour approfondir la visite et Karel faisait partie des étudiants recrutés en renfort pour l'été. Son master à l'université de Prague portait justement sur la biodiversité et son terrain d'élection était la forêt de Sumava ; comme elle jouxtait la frontière avec l'Allemagne, la guerre froide qui y avait gelé toute activité pendant plus de quarante ans dans les années 1950 à 1990 l'avait miraculeusement préservée. De véritables forêts primaires y étaient conservées comme certaines espèces menacées ; on y comptait encore des lynx, des tétras-lyres, des loutres, des loups… Ce n'était pas l'histoire de l'époque du rideau de fer qui y attirait Karel, même si, à la demande de certains randonneurs, il les emmenait parfois du côté des villages abandonnés aux abords de la frontière, ce qui lui attirait des questions sans fin de la part des touristes plus jeunes, avides d'apprendre une histoire inconnue pour eux, et des commentaires embarrassés de la part des plus vieux qui avaient involontairement occulté cette histoire. Même lui avait du mal avec ce passé encombrant alors qu'il était fasciné par le fait que ce gel d'activités avait favorisé la permanence d'un biotope exceptionnel. C'est là-dessus qu'il insistait en conduisant ceux des randonneurs qui voulaient en savoir plus sur la forêt, sur les sapins tricentenaires de la forêt de Boubin, les bordures d'iris de Sibérie, les prairies de gentianes de Hongrie, les innombrables mousses au pied des hêtres et des épicéas… Il consacrait toutes ses vacances à ces visites et à ses propres observations le long des nombreux sentiers ouverts à travers la forêt. Il logeait le plus souvent

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