Me réabonner

Nous Deux - Le numéro 4087 du 27 octobre 2025

Consultez le sommaire détaillé des articles parus dans ce numéro de Nous Deux.
Feuilletez un extrait de cette parution. Achetez le numéro au format papier ou numérique pour le retrouver sur votre espace client et l’application KiosqueMag.
KiosqueMag, la boutique officielle de Nous Deux propose l’accès le plus complet aux archives de la revue.

Feuilleter un extrait
La Une de Nous Deux n°4087 du 27/10/2025

Au sommaire de ce numéro

Nous Deux 4087 Manipulations

Manipulations



Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Nous Deux n°4087 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Nous Deux 4087 Une belle leçon d'humanité

Une belle leçon d'humanité



Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Nous Deux n°4087 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Nous Deux 4087 La bambouseraie des Cévennes

La bambouseraie des Cévennes

On entre à la bambouseraie comme un explorateur dans une forêt, par une longue allée ponctuée d'arbres dont on ne peut apercevoir la cime, même en écarquillant les yeux. Ce sont des séquoias géants (Sequoia sempervirens), au pied desquels on se sent évidemment tout petit ! L'espérance de vie de ces arbres d'origine américaine peut dépasser 2 000 ans. Ici, les plus hauts mesurent 40 mètres, un record en France, mais impossible d'en juger tant ils sont noyés dans le feuillage dense de bambous chinois (Phyllostachys viridis), dont les cannes de couleur vert pâle s'élèvent à 14 mètres. C'est bien une prairie géante

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Nous Deux n°4087 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Nous Deux 4087 Mon combat pour la vie

Mon combat pour la vie

Ludovic et moi nous étions rencontrés au lycée dix ans auparavant. Nous avions su dès le premier regard que nous étions faits l'un pour l'autre et nous nous étions immédiatement projetés dans une vie à deux avec des enfants. Ludovic en voulait deux, un garçon et une fille, le choix du roi comme on dit familièrement. Moi je me disais que le nombre importait peu du moment que nous étions heureux. À cette époque, aucun membre de nos familles n'imaginait que cet amour d'adolescence se concrétiserait par un mariage. Pourtant, nos études terminées, nos vies professionnelles installées (Ludovic était comptable dans une grande surface et moi coiffeuse), nous avions sauté le pas. J'étais devenu Mme Paris et j'arborai fièrement mon alliance en or à l'annulaire de ma main gauche. Le désir de maternité n'avait pas tardé à se faire sentir, je savais que j'étais prête et Ludovic en ressentait l'envie depuis plusieurs mois déjà. Symboliquement, un samedi soir, nous avions enfermé dans un tiroir la seule boîte de contraceptifs qu'il me restait. Ludovic m'avait entraînée dans notre chambre. Il avait éparpillé des pétales de roses sur le sol en s'amusant de mon air émerveillé, puis il m'avait enlacée et embrassée tendrement. Doucement il avait commencé à déboutonner mon chemisier tandis que je soulevais son tee-shirt, dévoilant ainsi sa musculature. Nous nous étions allongés sur le lit, ses caresses expertes décuplant mon désir. Sa douceur et ses mots m'enivraient. Soudain nos deux corps fusionnèrent dans un ballet que nous avions du mal à maîtriser. Nous ne parvenions plus à retenir nos cris de plaisir. Nous avions mis dans cet acte tout l'amour que nous éprouvions l'un pour l'autre et nous espérions qu'il allait peut-être nous permettre de donner la vie à ce petit « moi + lui » dont nous rêvions. Ludovic reprenait son souffle à mes côtés. - C'était… oui, c'était merveilleux. Je crois que nous étions vraiment en communion tous les deux… je t'aime tellement, mon ange. -

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Nous Deux n°4087 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Nous Deux 4087 Le chêne aux enfants

Le chêne aux enfants

Suzanne s'approcha à pas de loup de son mari. Depuis une bonne dizaine de minutes, il se tenait devant la fenêtre de la cuisine et ça la mettait en rage. Elle lui donna un coup de torchon sur les fesses. - Aïe ! Qu'est-ce qui te prend ? - Si tu te voyais, avec tes yeux de merlan frit, mon pauvre Paul ! - Mes yeux de merlan frit ? - Il a justement fallu qu'elle s'installe dans la maison voisine, cette… - Je sens qu'elle aussi va avoir droit à un nom de poisson. La grossièreté ne te va pas, ma chérie. Abstiens-toi. Et puis tu sais très bien que si Marilou a emménagé à côté, c'est parce qu'elle a hérité de la maison de sa mère. - Marilou, pfff ! Elle s'appelle Marie-Louise. Paul eut un petit rire moqueur et tenta de prendre Suzanne par la taille. Mais sa femme, agacée, le repoussa. - Ma petite femme ne serait-elle pas un brin jalouse ? Il y a prescription, tu sais. Beaucoup d'eau est passée sous les ponts depuis notre adolescence. Je t'ai dit cent fois qu'il ne s'est jamais rien passé entre Marilou et moi. Tu avais trop d'imagination, tu t'es fait des idées. Je me demande quand elle va venir nous saluer. Promets-moi de te montrer aimable quand elle le fera, nous n'allons pas déjà nous fâcher avec notre nouvelle voisine. Suzanne soupira et alla s'asseoir à la table pour terminer d'éplucher les pommes de terre, rejointe bientôt par son mari qui entreprit de l'y aider. Suzanne se serait bien passée d'une voisine comme celle-ci qui, à un peu plus de 70 ans, portait encore des robes trop près du corps et se maquillait comme un camion volé. Marie-Louise, que tout le monde avait toujours surnommée Marilou, avait, dans son jeune temps, séduit à peu près tous les garçons de ce petit village de la Loire. Pourquoi Paul n'y aurait-il pas eu droit ? - Qui viendra-t-elle chercher quand elle aura besoin d'aide, à ton avis ? Paul fit semblant de réfléchir. - Je me le demande bien ! - Toi, espèce d'idiot ! Ce qu'elle est ridicule avec son gros popotin saucissonné dans sa robe. Je suis sûre qu'elle prend

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Nous Deux n°4087 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Nous Deux 4087 La fontaine aux vœux

La fontaine aux vœux

Fabien était un homme insatisfait. Il avait pourtant un bon job au sein d'une maison de production cinématographique. Bras droit de Valentin, le patron, il avait un confortable salaire, qui lui avait permis de s'offrir un joli duplex dans le 16e arrondissement de Paris. Mais ça ne lui suffisait pas. Il rêvait de devenir patron à la place du patron. Pour deux raisons : la première, bien sûr, pour diriger seul l'entreprise, passer enfin du second poste au premier, et la seconde, pour la femme du patron, Adeline, dont il était amoureux. Cela ne l'empêchait pas d'avoir des aventures de temps à autre, mais les femmes qu'il fréquentait ne réussissaient pas à lui faire oublier le visage d'Adeline. Cependant, aux yeux de la jeune femme, il semblait être transparent. Cette attitude l'humiliait mais ne changeait en rien les sentiments puissants qu'il éprouvait pour elle. Au contraire, cette indifférence attisait son désir et son amour. Victor Hugo dans Ruy Blas avait évoqué « un petit ver de terre amoureux d'une étoile ». C'était exagéré dans son cas, mais il y avait un peu de ça. Lui se voyait plutôt en chenille, et rêvait de devenir papillon afin de charmer la belle indifférente. Adeline avait son âge et était de dix années la cadette de son époux. Valentin n'était pas bel homme, et Fabien pensait qu'elle l'avait épousé par intérêt. Elle devait sûrement tenir à son statut de femme de producteur millionnaire et s'interdisait de regarder autour d'elle. Le producteur avait invité ce dimanche tout son personnel à une fête organisée chez lui. Il célébrait une année fructueuse : les recettes des films qu'il avait produits avaient dépassé toutes ses espérances. L'homme d'affaires recevait rarement. Sa passion, Fabien l'avait bien compris, était d'amasser des sous, pas de les dépenser. Et il imaginait qu'il devait se montrer pingre envers son épouse qui venait chaque soir chercher son magnat de

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Nous Deux n°4087 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus

J'achète ce numéro

Voir toutes les archives de Nous Deux

Tous les numéros de Nous Deux

J'aime Nous Deux ? Je m'abonne

Nos offres d'abonnement à Nous Deux
Satisfait<br>ou remboursé

Satisfait
ou remboursé

Service client à votre écoute

Service client à votre écoute

Moins cher qu'en kiosque

Moins cher qu'en kiosque