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Nous Deux - Le numéro 4090 du 17 novembre 2025

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La Une de Nous Deux n°4090 du 17/11/2025

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Nous Deux 4090 L'art de cultiver le bonheur

L'art de cultiver le bonheur



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Nous Deux 4090 Que le meilleur gagne

Que le meilleur gagne



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Nous Deux 4090 La surprise au cœur coulant

La surprise au cœur coulant

- 3 œufs - 40 g de beurre demi-sel (+ pour les moules) - 100 g de chocolat noir pâtissier + 4 carreaux - 70 g de sucre de canne - 10 g d’huile de noisette grillée Bio Planète - 1 c. à soupe bombée de farine de blé T65 - 1 c. à soupe bombée de poudre de noisette 1. Faites fondre le chocolat dans une casserole au bain-marie, puis ajoutez le beurre coupé en morceaux et l'huile de noisette grillée. 2. Battez les œufs avec le sucre dans un saladier, incorporez la farine et la poudre de noisette, puis le chocolat fondu. 3. Beurrez 4 moules à muffin. Versez-y la préparation aux

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Nous Deux 4090 Pour bonne conduite

Pour bonne conduite

En se levant ce matin-là, Fanny s'était cogné le petit orteil contre le pied du lit. Elle était si mal réveillée, pour avoir passé une nuit partagée entre des cauchemars inracontables et des insomnies interminables, qu'elle avait mis plusieurs secondes avant de se rendre compte, d'abord, que cela faisait atrocement mal, puis de hurler une litanie de jurons, les yeux brouillés de larmes de colère. C'était avant de se doucher à l'eau tiède, parce que le ballon d'eau chaude avait l'une de ses sautes d'humeur. Comme elle avait oublié d'acheter du café moulu, elle avait dû se contenter d'un thé infusé d'un sachet sans âge trouvé au fond du placard derrière le sucre. En descendant le vieil escalier de l'immeuble après avoir fermé la porte à double tour, la sonnerie de son vieux téléphone d'appartement l'avait obligée à remonter quatre à quatre les marches, à retrouver ses clés dans le sac et à se précipiter vers le combiné pour entendre une voix féminine sans âme lui débiter : - Bonjour. Cindy Dubois, des meubles Déco-Center… Fanny avait pris sur elle pour ne pas lui assener des horreurs, mais l'avait vite fait bien fait réexpédiée à ses cadeaux-promotions du week-end. Et tout cela, ce n'était que le début de la journée, avant qu'elle n'ait, à 13 h 53 exactement, à la clinique Sénieux, la confirmation que, oui madame, pardon, mademoiselle, elle était bel et bien enceinte. Elle avait acheté le test quelques jours auparavant, et le soir même son visage avait pris des teintes complémentaires à celles du bâtonnet qui venait de lui apprendre, sans délicatesse aucune, que son mini-appartement avait d'ores et déjà un minuscule sous-locataire potentiel. D'où ses nuits, plus qu'agitées, hantées par l'interrogation et le doute. Était-elle prête à mettre au monde un nouvel être humain ? Comme allait-elle annoncer la nouvelle à Landry ? Il était encore moins prêt qu'elle, ça, c'était sûr. Il lui avait pourtant laissé toute la responsabilité de la contraception, parce que, après tout, ce sont des « affaires de femmes ». Elle avait failli à

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Nous Deux 4090 Un surprenant cadeau

Un surprenant cadeau

Depuis que la faucheuse est venue m'arracher Louis, mon compagnon depuis quarante ans, il y a un peu plus de deux ans, je vis seule. Il ne me viendrait pas à l'esprit de le remplacer, de recommencer quelque chose avec un autre homme, malgré l'insistance de ma fille. J'ai vendu notre maison devenue trop grande pour moi et je me suis installée dans un petit appartement confortable en centre-ville. En signant l'acte de vente, une once de remords m'avait effleurée. Si j'étais partie en premier, Louis n'aurait jamais vendu. Il était trop attaché à cette maison. J'avais un peu craint que Solveig ne me reproche cette décision, mais tout comme moi, ma fille a le regard fixé sur l'avenir. Pour l'instant j'ai toujours bon pied bon œil mais en prenant de l'âge j'aurai besoin d'être plus proche des commerces et autres commodités. Et surtout, nul n'étant à l'abri, en cas de pépin, ayant à présent de charmants et jeunes voisins dans le petit immeuble où j'ai emménagé, ce sera mieux qu'isolée dans ma maison. Aujourd'hui ma fille m'a appelée pour m'annoncer qu'elle avait un merveilleux cadeau pour moi. Je me suis dit qu'elle m'avait trouvé le beau pull beige un peu cher dont je lui avais montré une photo. Avec son emploi dans la mode, elle a des réductions intéressantes et a dû l'obtenir à bon prix. Je me suis réjouie à l'avance, mais quand elle a ajouté qu'il fallait que je m'attende à un grand bouleversement dans mon existence, j'ai compris qu'il ne s'agissait pas d'un pull et un vague sentiment d'angoisse s'est insinué en moi. Qu'est-ce qui serait propre à bouleverser mon existence ? J'ai passé l'après-midi à tenter de trouver la teneur de ce foutu merveilleux cadeau. Je n'en voyais qu'un seul, impossible : remonter le cours du temps pour retrouver les sourires et les bras de mon cher Louis. À force de penser à lui, tout en écoutant le Requiem de Gilles qu'il m'avait fait découvrir lors de l'une de nos premières soirées ensemble, j'ai remonté le fil de mon existence jusqu'à ma rencontre avec

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Nous Deux 4090 Les ailes du Phénix

Les ailes du Phénix

Sainte-Mère-Église - nuit du 5 au 6 juin 1944. Mathilde n'arrivait pas à dormir, elle avait chaud. Elle s'extirpa de son lit et alla ouvrir la fenêtre de sa chambre qui se trouvait au-dessus de l'épicerie familiale. Il devait être 5 heures environ et il faisait encore sombre. Elle remarqua des lueurs orangeâtres dans le ciel et une odeur âcre de fumée la prit à la gorge subitement. Des flammes éclairaient le ciel. Encore une attaque des boches. Cette foutue guerre qui durait depuis bientôt cinq ans ne se terminerait donc jamais. Mathilde se prépara aux bruits dantesques qui suivraient immanquablement lorsque la pluie d'obus s'abattrait sur eux. Elle allait refermer la fenêtre pour se mettre à l'abri quand des avions remplirent le ciel et un essaim de parachutistes s'échappa de ces oiseaux de fer. Mathilde se précipita au rez-de-chaussée et, sans plus réfléchir, ouvrit la porte de l'épicerie qui donnait sur la rue principale du village. Elle sortit sur le trottoir et un voile blanc s'abattit sur elle en la recouvrant intégralement. Elle glissa au sol, s'empêtrant dans la grande voile et ce fut le trou noir pendant quelques secondes. Elle entendit une voix marmonner : - Damn it ! Are you OK ? Une puissante voix mâle avec un accent à couper au couteau insista : - Miss ? L'homme les avait débarrassés tous deux de la grande toile qui maintenant traînait au sol comme un voile de mariée. Il tendit une main vigoureuse à la jeune femme pour l'aider à se relever. Elle s'y accrocha car elle en avait bien besoin. Mathilde était enceinte de huit mois. - Miss ? reprit l'homme en regardant Mathilde avec insistance. Il avait remarqué son ventre. Elle fut transpercée par l'éclat noir de ce regard qui contrastait avec la chevelure blonde de l'homme. Il lui apparut comme un archange descendu du ciel. Soudain, une douleur vrilla les entrailles de Mathilde. Sans lâcher la main salvatrice, elle se plia

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