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Nous Deux - Le numéro 4092 du 1 décembre 2025

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La Une de Nous Deux n°4092 du 01/12/2025

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Nous Deux 4092 La maison du lac

La maison du lac



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Nous Deux 4092 Un fragile héritage

Un fragile héritage



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Nous Deux 4092 La courge sous toutes ses formes

La courge sous toutes ses formes

1 potimarron - 1 oignon - 2 gousses d'ail - 20 cl de lait de coco - 75 cl de bouillon de légumes - Huile d'olive - 4 c. à soupe de graines de courge - Sel et poivre 1. Lavez le potimarron, videz-le puis découpez-le en morceaux. Pelez les oignons et l'ail, émincez-les. 2. Dans une cocotte, chauffez un filet d'huile et faites revenir les oignons et l'ail pendant 1 minute avant d'ajouter les morceaux de potimarron. Ajoutez le b ouillon de légumes, portez à ébullition puis baissez le feu et faites cuire à couvert pendant 30 minutes. 3. Dans une poêle sans matière grasse, orréfiez les graines de courge pendant 3 à 4 minutes. Débarrassez et réservez. 4. Ajoutez la moitié du lait de coco puis mixez la crème de potimarron à l'aide d'un mixeur plongeant. Rectifiez l'assaisonnement. 5. Servez dans des bols avec un filet de

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Nous Deux 4092 Nuit de tempête

Nuit de tempête

La radio l'a annoncé, la télé aussi : le vent va souffler cette nuit, au point qu'il y aura danger à rester dehors. Je ne m'y risquerai pas ! Je ne suis pas un homme imprudent. À peine le jour tombe-t-il que la mer proche gronde déjà tout bas. J'entends ses vagues frapper contre les rochers, à la pointe. Ma maison est tout près du rivage, si près que les embruns viennent éclabousser ses portes-fenêtres dès qu'il y a de la tempête. J'ai intérêt à boucler les volets. Je m'y mets précipitamment. Et je ne peux m'empêcher de penser : « Si Christine était là… » J'ai perdu ma femme il y a deux ans. Elle me manque. Normal. Nous avons vécu ensemble pendant trente ans, si fusionnels que nous n'avons pas voulu d'enfant. Le cœur serré, je me rappelle combien elle aimait la bourrasque. Elle courait vers le rivage pour voir de tout près se déchaîner les éléments et, moi, je l'empêchais d'aller plus loin. Enlacés, nous titubions sous les rafales en rentrant à la maison. - Christine… Je l'appelle à mi-voix en faisant claquer les volets. Est-il normal, à 60 ans, d'éprouver encore un tel chagrin ? Oui, sans doute. Il n'y a pas d'âge pour l'amour brisé et les regrets. Pour la solitude, non plus. Malgré mon métier de médecin hospitalier auquel je tenais beaucoup, je me suis résolu à devancer l'âge de la retraite dès la disparition de Christine. Je n'avais plus envie de rien. Sauf de rester seul dans notre maison, où son parfum flottait encore. Hélas, ses effluves s'amenuisent chaque jour davantage… Ça y est ! Me voilà barricadé ! Dans le salon, il fait noir. Je veux allumer une lampe. Un bref grésillement : le courant est coupé. Je vais à la cuisine chercher une bougie. Sa flamme sautillante éclaire à peine. Assez pour moirer d'ombres les photos de Christine, posées un peu partout. Je m'affale sur le canapé. Et, le regard fixé sur les yeux clairs de ma femme, je crois l'entendre me murmurer « Arnaud, je t'aime

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Nous Deux 4092 Un ami d'enfance

Un ami d'enfance

Alice a enfilé une jupe neuve et un pull-over très doux, de couleur bleue, qui met en valeur ses yeux clairs. Elle veut plaire à son public. Elle se souvient de sa joie enfantine quand elle a signé son premier ouvrage. C'était dans une maison de la presse, il n'y avait pas grand monde, quelques curieux qui s'étaient aventurés jusqu'à la table où elle se tenait derrière une pile de romans qui ne diminuait pas. Qu'importe ! Elle en a gardé un très bon souvenir. Aujourd'hui, dans la librairie, on se marche sur les pieds. Dehors, Paris grelotte et là-bas aux Essarts, dans le nord de l'Ardèche où vit son père, le vent fait chanter les tuiles. Son père viendra-t-il ? « À quel nom dois-je faire la dédicace ? » répète-t-elle inlassablement et le stylo court sur la page de titre. La pile de livres diminue à vue d'œil. Les heures passent et elle se sent fatiguée. L'excitation des débuts est retombée. À présent un sourire machinal se plaque sur son visage, elle a l'impression d'être en représentation. Le libraire lui annonce qu'il va bientôt fermer. Elle soupire de soulagement. Plus que quelques lecteurs ! Une fois de plus, la question, posée de façon machinale. Mais la voix qui a répondu « Bonjour, Alice ! » avec un fort accent campagnard, Alice la connaît bien ! Elle a un tressaillement de bonheur. - Gaspard ! Toi, ici ! Cette apparition inattendue lui fait tellement plaisir ! Elle le regarde. Il porte un pantalon de velours et un blouson assorti, des chaussures confortables. Une écharpe marron entoure son cou. Sa chevelure bouclée est toujours aussi indisciplinée. Son regard plein de tendresse, posé sur Alice, tempère la rudesse virile de ses traits. Elle se lève et contourne la table pour l'embrasser. Il la serre un instant contre lui et fait claquer trois bisous sur ses joues. - Je suis trop contente ! Toi, à Paris ! Mais mon père n'est pas avec toi ? dit-elle

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Nous Deux 4092 Erreur sur la personne

Erreur sur la personne

Léonard s'engouffra dans la porte du commissariat. Enfin, s'engouffra du mieux que le lui permettait son déplorable état ce matin-là. Ses collègues allaient encore lui dire qu'il avait une sale gueule. C'était tout simplement une gueule de bois. Ses souvenirs de la soirée de la veille flottaient dans un épais brouillard. Certains revenaient, laissant une impression de joie, de plénitude. Sans pour autant se rappeler ce qui s'était exactement passé, il avait comme des papillons dans le ventre qui luttaient avec une lancinante nausée. Tiens ! Il ne se souvenait pas (décidément, il allait vraiment falloir qu'il freine sur la bouteille) qu'il y avait une réunion de toute l'équipe prévue ce matin. Lui qui pensait passer plus ou moins incognito et se rendre directement à la machine à café, histoire de se réveiller un peu, c'était raté. Il lui fallait rejoindre immédiatement ses collègues qui, debout, appuyés sur leurs bureaux, écoutaient dans un silence recueilli, en hochant de temps à autre la tête, le grand chef. Bigre ! Pour qu'il sorte de son bureau-forteresse, celui-là, il devait y avoir péril en la demeure. Pourtant, les inspecteurs pouvaient se féliciter d'avoir mis enfin la main, quelques jours auparavant, sur un gros trafiquant qui les narguait depuis des semaines. À cause de lui, ils avaient subi une pression constante de la part du commissaire. Et, apparemment, c'était reparti pour un tour. - Encore en retard, Fingal, bien sûr ! ironisa le patron à l'entrée de Léonard, qui avait pourtant tenté de se faire tout petit. Je ne recommence pas tout mon topo pour vous, vos collègues vous expliqueront en route. Même pas le temps d'un café, donc, songea Léonard, en emboîtant le pas à ses camarades, qui déjà enfilaient leurs blousons et prenaient leur arme de service dans leur tiroir. - Ben dis donc ! Tu en tiens encore une bonne ! claironna l'inspecteur Marchand. Tu ne peux pas réserver tes beuveries à tes veilles de congés ? - Je t'assure, celle-là, elle n'était pas au programme ! Un concours de circonstances… Oui, mais lesquelles, au juste ? se

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