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Nous Deux - Le numéro 4093 du 8 décembre 2025

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La Une de Nous Deux n°4093 du 08/12/2025

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Nous Deux 4093 Bienvenue dans l'adolescence !

Bienvenue dans l'adolescence !



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Nous Deux 4093 La force en soi

La force en soi



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Nous Deux 4093 Les fruits secs, petits trésors de fête

Les fruits secs, petits trésors de fête

750 g de châtaignes - 1,5 l de lait d’amande - 6 c. à soupe de purée d’amandes - 3 c. à soupe de crème fraîche - sel, poivre 1. Incisez les châtaignes et passez-les 1 min au micro-onde pour enlever la peau plus facilement. 2. Faites bouillir le lait d'amande et plongez-y les châtaignes épluchées. Baissez le feu et faites cuire à feu doux pendant 45 min à couvert. 3. Ajoutez encore un peu de lait d’amande si besoin en cours de cuisson (ou un peu d’eau) pour ramollir les châtaignes. 4. Égouttez les châtaignes en réservant le jus de cuisson. Écrasez-les à la fourchette. 5. Incorporez la purée d'amandes, ajoutez si besoin un peu de lait d'amande de cuisson pour que la purée soit souple. Incorporez la crème, mélangez et assaisonnez à votre convenance avant de servir. 2 œufs - 80 g de farine - ½ sachet

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Nous Deux 4093 Un appel désespéré

Un appel désespéré

L'appel surprit Vincent alors qu'il allait rentrer chez lui avec l'envie de rejoindre au plus vite sa petite amie. Par habitude, il décrocha tout en supposant une urgence des pompiers ou des gendarmes. Il en avait l'habitude. En général, c'était quand il avait fini officiellement sa journée que les imprévus surgissaient. Il haussa les épaules. - Allô ! Vincent Lambert… , annonça-t-il d'une voix lasse, en se dirigeant vers son auto. Silence à l'autre bout du fil. Les quelques instants flottants furent soudain coupés par une respiration sifflante. - Qui est-ce ? demanda Vincent d'un ton vif. La voix, qui lui semblait provenir de très loin, émit quelques mots hésitants : - Vous… Vous avez… reçu… ma lettre ? Il fallut un moment à Vincent pour reconstituer la phrase et comprendre le message. Des lettres, il en recevait des dizaines par jour ainsi que d'innombrables mails qu'il lui fallait lire pour des raisons professionnelles. Il avait mis au point une méthode pour ne pas s'encombrer l'esprit. Les courriers qu'il ne jugeait pas utiles allaient directement au panier. Les mails, quand il ne s'agissait ni de pub ni de spam, prenaient le même chemin s'ils ne présentaient pas un intérêt pour le journaliste. Vincent s'immobilisa net devant la portière de son véhicule. En un éclair, il visualisa la lettre que mentionnait son interlocuteur. Elle était arrivée au courrier du matin, parmi celles s'entassant dans la boîte aux lettres de son bureau. Il l'avait décachetée tout en prenant son café. Aussitôt, il avait remarqué les lettres capitales tracées à l'encre noire d'une façon malhabile. Les mêmes qui ornaient l'enveloppe adressée à « Monsieur Vincent Lambert ». La lettre n'avait pas atterri dans la corbeille à papiers. Vincent l'avait étalée sur son bureau en prenant la précaution de ne pas y porter trop d'empreintes. Elle avait tout l'air de l'une de ces lettres anonymes que le journaliste recevait périodiquement. Les occasions ne manquaient pas aux auteurs de

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Nous Deux 4093 Pris au piège

Pris au piège

Une pluie soudaine s'abattit, accompagnée de violentes bourrasques qui dépouillèrent bien vite les platanes du boulevard des dernières feuilles mortes qui s'y accrochaient encore. L'hiver était bel et bien là, songea Elsa en remontant frileusement le col de son manteau. Elle héla un taxi, qui ne s'arrêta pas. Courir jusqu'à la prochaine station de métro ? Elle serait trempée d'ici là. Et bien sûr, elle n'avait pas pensé à prendre un parapluie malgré le ciel qui menaçait déjà quand elle était sortie de chez elle, pour aller elle ne savait trop où. Elle n'avait pas envie de cinéma, encore moins de rendre visite à une de ses amies. Alors, comme souvent, elle avait échoué au parc Monceau dont elle avait fait plusieurs fois le tour et elle allait regagner son bel appartement, devenu trop grand depuis le départ de sa fille et dont le silence des vastes pièces lui pesait. Et puis, Jean, son mari, rentrerait, tard sans doute. Et elle lui demanderait une fois de plus la raison de son retard. Elle ne la devinait pourtant que trop. En attendant, il lui fallait s'abriter d'autant plus que le froid s'insinuait à travers ses vêtements. Un petit bar non loin de là, Le Royal, où elle était allée une ou deux fois tuer son ennui, alluma son enseigne, semblant lui faire signe. Après tout, un verre ferait passer le temps, qui semblait s'étirer indéfiniment ces derniers temps. Choisissant une petite table non loin du comptoir, elle commanda un martini et poussa un vague soupir de bien-être. Il faisait chaud, la banquette de moleskine était confortable et Elsa s'amusa à regarder à travers la vitrine les gens se hâter sous la pluie, vers on ne savait quel but. Leur famille ? Des amis ? Un spectacle ? Ils semblaient avoir une vie, en tout cas, alors qu'elle se disait depuis trop longtemps qu'elle marchait à côté de la sienne. Une très jeune femme s'apprêtait à entrer dans le bar quand elle sortit vivement son portable de sa poche et entama sur le trottoir une conversation apparemment animée, ponctuée

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Nous Deux 4093 Le triomphe de la vie

Le triomphe de la vie

Lorsque la porte de la chambre d'hôtel se referma doucement, Abigaïl, qui avait feint d'être endormie, ouvrit les yeux et se retourna sur le dos. Pendant longtemps, dans la pénombre, elle fixa le plafond sur lequel se dessinaient les ombres des branches des arbres qui, à l'extérieur, étaient malmenées par une tempête naissante qui prendrait de l'ampleur bientôt. Le jour se lèverait dans une heure et elle n'avait pas dormi. La dernière fois qu'elle avait véritablement dormi durant une nuit entière, c'était longtemps auparavant, dans les bras de l'homme qu'elle aimait alors plus que tout. Loïc. Cette nuit, c'était encore le diable qui avait remporté la bataille. Celui qu'elle avait au corps et qui se plaisait à sonder sa mémoire pour en arracher ses plus doux souvenirs. Et pendant qu'il lui faisait l'amour, il lui arrivait d'oublier pourquoi cette sensation de ne plus appartenir au monde des vivants la tenaillait à ce point. Mais ça ne durait jamais plus que quelques heures, jusqu'au petit matin. Suivant le visage que prenait le diable, il arrivait qu'elle le chasse avant même qu'il se soit rhabillé. La pluie se mit à battre la vitre de la fenêtre et le vent redoubla de puissance. Ici, en bord de mer, à Trouville, il était prévu qu'il atteigne et même dépasse peut-être les 130 kilomètres par heure. La veille, au journal télévisé, le présentateur avait exhorté les gens à ne sortir qu'en cas d'urgence et à sécuriser tout ce qui pouvait s'envoler. L'homme qui venait de quitter la chambre à pas feutrés serait vite oublié. Il ne resterait rien de lui, même pas son prénom. Mais il avait été correct, contrairement à d'autres. Il avait même été tendre, attentionné, il avait su lui donner du plaisir. Elle avait fait sa connaissance sur un site de rencontres où elle changeait régulièrement de pseudonyme. Il s'annonçait célibataire, à la recherche de l'âme sœur, mais c'était ce qu'ils prétendaient tous. Ce n'était pas important pour Abigaïl, il pouvait très bien être marié et père de famille, elle s'en fichait. Ça ne l'intéressait pas de le savoir. Sous son statut, en

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