Me réabonner

Sport Auto - Le numéro 764 du 29 août 2025

Consultez le sommaire détaillé des articles parus dans ce numéro de Sport Auto.
Feuilletez un extrait de cette parution. Achetez le numéro au format papier ou numérique pour le retrouver sur votre espace client et l’application KiosqueMag.
KiosqueMag, la boutique officielle de Sport Auto propose l’accès le plus complet aux archives de la revue.

Feuilleter un extrait
La Une de Sport Auto n°764 du 29/08/2025

Au sommaire de ce numéro

Sport Auto 764 V12 ET VIEUX PAPIERS

V12 ET VIEUX PAPIERS

S'il ne tenait qu'à moi, je la jugerais parfaite, cette 400 GT. Sa ligne extraordinaire, sa couleur discrète, ses roues fil, son habitacle en cuir tabac, tout semble encore parfait. En plus, au fil des kilomètres, elle s'avère des plus agréables. Attentive au confort, elle comble de petites attentions, même si le siège, sans être affaissé, n'a pas appris à répondre aux derniers critères de l'ergonomie. Ce volant de bois, qu'il faut manier fermement faute d'assistance mais dont le diamètre s'adapte exactement à l'effort, cette boîte un peu lente mais toujours précise, la batterie de cadrans à l'ancienne dont on comprend les indications du coin de l'œil, le cerveau apprenant à repérer la position normale de l'aiguille, sans passer par le truchement d'un chiffre sans âme. Et en plus, elle a de la conversation. Quand on incline le pied droit à la poursuite des plus belles plages du compte-tours, elle pousse son rugissement heureux

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Sport Auto n°764 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Sport Auto 764 FORMULE 1 Dans les coulisses des grands prix

FORMULE 1 Dans les coulisses des grands prix

GP de Belgique CIRCUIT DE SPA-FRANCORCHAMPS 25-27 JUILLET 2025 LUNDI 14 JUILLET Télés américaines Elles veulent de la F1 ! Les patrons des grandes entreprises américaines des médias, de la tech et de la finance sont réunis à Sun Valley, dans l'Idaho, pour un cycle de conférences. A cette occasion, le patron de Liberty Media, Derek Chang, a pu rencontrer celui d'Apple, Tim Cook, Bob Iger de Disney, ou Jimmy Pitaro d'ESPN, pour discuter des droits télé de la F1 aux Etats-Unis. Actuellement, ESPN paie quelque 90 millions de dollars par an, mais Apple s'est dit disposé à mettre plus de 150 millions sur la table, histoire de surfer sur le succès incroyable de son film (570 millions de dollars de recettes début août !). Si l'accord est signé, les grands prix seront alors retransmis sur la plateforme Apple TV+, forte d'environ 45 millions d'abonnés, soit à peu près le double de la base d'abonnés d'ESPN. La grande question est de savoir si l'appli F1 TV de Liberty Media participera à la négociation. Car les revenus qu'elle génère aux Etats-Unis sont bien plus importants qu'on ne l'imagine. Il faudrait donc pour arriver à un accord que l'offre d'Apple soit supérieure aux 130 millions de dollars cumulés que représentent ESPN et F1 TV. JEUDI 24 JUILLET La Ferrari mieux suspendue Une partie arrière retravaillée La Scuderia a choisi le Grand Prix de Belgique pour mettre à l'épreuve de la piste une nouvelle suspension arrière, ainsi qu'un aileron postérieur modifié, en dépit d'un timing serré. Ces différents éléments, après validation des bureaux d'études, ont été brièvement testés sur le circuit du Mugello, propriété de Ferrari, à l'occasion d'un Avec ce développement, Ferrari vise à calmer le comportement du train arrière de la SF-25 tout en obtenant une meilleure exploitation des pneumatiques. Les freins ont également été revisités. 1 - Sainz toujours sous le choc Il rumine sa mise à l'écart 01 Carlos Sainz Jr. n'a jamais été le pilote le plus joyeux du peloton. Mais plus que jamais, l'Espagnol semble broyer du noir. En ces temps de questionnement concernant le futur de Max Verstappen et sur l'identité de son prochain coéquipier s'il reste chez Red Bull, Sainz continue de s'interroger sur le fait que l'équipe Red Bull ne l'ait pas recruté pour faire à nouveau équipe avec le Néerlandais, qu'il avait déjà côtoyé lors de leurs débuts respectifs chez Toro Rosso. Mais il y a pire. Sainz n'a toujours pas accepté le non-renouvellement surprise de son contrat Ferrari, en 2024. Sainz a révélé qu'il ne s'y attendait vraiment pas. Bataille à coups de millions

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Sport Auto n°764 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Sport Auto 764 Rendez-vous manqué

Rendez-vous manqué

C’est du 100 % circuit, et le temps qui nous est accordé sera malheureusement assez court. Quand même le représentant de Toyota lance un tel avertissement quelques jours avant l’essai, le journaliste-essayeur fort d’une bonne vingtaine d’années d’expérience en roublardises de la part des constructeurs s’attend à une journée d’essai assez compliquée. Et autant l’avouer tout de suite, je n’ai pas été déçu du voyage ! Pourtant, cette Supra méritait tellement mieux… D'autant que le coupé Toyota nous a toujours un peu laissés sur notre faim, avec son châssis manquant de mise au point. Train arrière aux réactions parfois brouillonnes, suspensions mal tenues, freinage à l'endurance restreinte l'ont toujours empêché d'inquiéter les Porsche 718 Cayman ou Alpine A110. Hélas, Toyota n'aura pas beaucoup fait évoluer sa copie, et c'est curieusement à l'approche de la retraite (sa production doit s'arrêter début 2026) que la Supra s'énerve enfin ! Elle se décline en effet dans cette série spéciale Final Edition plus radicale,

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Sport Auto n°764 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Sport Auto 764 MAESTRIA

MAESTRIA

Les séries limitées font le bonheur de Lamborghini. Stephan Winkelmann, le pragmatique patron, a bien compris que l'exclusivité faisait partie des panoplies de la séduction, avec les performances d'exception et l'esthétique triomphale. Et ça marche : Lamborghini ne s'est jamais si bien porté. Cette nouvelle mouture, qui sera produite à 29 exemplaires seulement, se veut plus performante que toute Lamborghini V12. Plus exclusive aussi. Et plus belle ? Côté technique, le V12 de 6,5 litres est porté à 835 ch, mais les trois moteurs électriques et une nouvelle batterie portent le total à 1 080 ch

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Sport Auto n°764 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Sport Auto 764 HISTOIRE D'UNE RENAISSANCE

HISTOIRE D'UNE RENAISSANCE

Premier : Oliver Solberg. Deuxième : Ott Tänak, champion du monde 2019. Troisième : Thierry Neuville, champion du monde en titre. Quatrième : Kalle Rovanperä, champion du monde 2022 et 2023. La lecture du classement de la huitième manche WRC suffit à mettre parfaitement en perspective la performance estonienne d'Oliver Solberg. Une véritable résurrection pour celui qui n'avait plus couru au volant d'une Rally1 depuis octobre 2022. Et dire que cette opportunité n'était pas du tout prévue au programme ! Certes, son choix - l'hiver dernier - de délaisser la Skoda WRC2 qu'il avait pilotée ces deux années passées pour une Toyota Yaris WRC2 n'était pas innocent : « Le but était clairement de décrocher une opportunité en Rally1, concède-t-il. Nous avions d'ailleurs commencé à discuter d'une éventuelle participation au Rallye de Finlande, début août. Et puis tout s'est accéléré fin juin, début juillet. Toyota m'a appelé au lendemain de l'Acropole, alors que j'étais en train de savourer ma victoire en WRC2, une bière à la main. Ils m'ont proposé de disputer le Rallye d'Estonie qui se déroulait deux semaines plus tard. Ma première réaction a été de dire : “Mon Dieu !” Puis j'ai demandé si je pouvais y réfléchir un peu avant de prendre une décision. Je n'ai pas répondu “oui” tout de suite car je voulais que

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Sport Auto n°764 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus
Sport Auto 764 LE ROOKIE À LA MODE

LE ROOKIE À LA MODE

L'avenir dira si Isack Hadjar peut devenir une star de la F1. En attendant, il en a déjà les attitudes. Et manifestement, il en a également le planning, car même en s'y prenant très en amont, il est presque impossible d'obtenir dix minutes de son précieux temps afin d'interviewer ce jeune homme en tête à tête. Ces fameux « one to one » qui, dans le jargon du journalisme, reviennent à poser les questions les plus pertinentes qui soient (sous le contrôle d'un attaché de presse chrono en main) en espérant des réponses qui ne sont pas taillées dans le bois dont on fait les pipeaux. Les Verstappen, Hamilton, Leclerc et la plupart des pilotes du peloton s'y plient d'une manière très professionnelle, même si ce n'est que rarement avec enthousiasme. Concernant Hadjar, il faudra attendre un peu pour le voir « performer » (l'un de ses mots fétiches) dans cet exercice. Reste donc ses déclarations lors des conférences de presse imposées par la FIA et les rendez-vous médiatiques organisés par Racing Bulls, auxquels les pilotes ne peuvent pas se soustraire, pour essayer de mieux cerner la personnalité de ce nouveau venu dans le peloton. Item sans titre A ces occasions, Hadjar est physiquement là, mais son esprit semble vagabonder loin de ses interlocuteurs avec lesquels il n'a pas grand-chose à partager. Le portable est omniprésent, prêt à le distraire avec des storys sur le MMA, des extraits de rap, des jeux vidéo. Des choses de son âge, quoi. Mais les questions tombent quand même. Entre les longues pauses de réflexion, le regard ailleurs, avant qu'Hadjar offre des réponses lapidaires, et le peu d'entrain qu'il met à satisfaire la légitime curiosité des reporters du paddock, il n'est pas simple de se faire une opinion sur la pensée profonde du garçon. Une certitude toutefois. Du haut de ses 20 printemps, Isack Hadjar ne doute pas de son talent et n'hésite jamais à le souligner, au risque de nourrir une impression d'arrogance. Essayons donc de faire connaissance avec cet Hadjar et cet Isack. Celui qui s'exprime sur la piste et cet autre qui file comme une anguille une fois de retour parmi le commun des mortels. L'avant-Red Bull Commençons par ce que l'on sait du parcours météorique de ce Franco-Algérien - nous aurons l'occasion de revenir sur ses origines. Une première

Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Sport Auto n°764 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.

Voir plus

J'achète ce numéro

Voir toutes les archives de Sport Auto

Tous les numéros de Sport Auto

J'aime Sport Auto ? Je m'abonne

Nos offres d'abonnement à Sport Auto
Satisfait<br>ou remboursé

Satisfait
ou remboursé

Service client à votre écoute

Service client à votre écoute

Moins cher qu'en kiosque

Moins cher qu'en kiosque