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Sport Auto - Le numéro 767 du 28 novembre 2025

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La Une de Sport Auto n°767 du 28/11/2025

Au sommaire de ce numéro

Sport Auto 767 UN V12, TOUJOURS ET ENCORE !

UN V12, TOUJOURS ET ENCORE !

Item sans titre SOUS SES ALLURES DOMESTIQUÉES, LE V12 FERRARI EST COMME POSSÉDÉ. IL FEULE ET MIAULE JUSQU'À 9 000 TOURS, AVANT QUE SA BOÎTE NE LE RELANCE AUSSI SEC COMME UN COUP DE TRIQUE. Item sans titre Item sans titre Après leur avoir prédit une mort à petit feu, qui n'est jamais arrivée, la question reste d'actualité : combien de temps les V12 vont-ils encore pouvoir exister ? Sauf à lire dans le marc de café, personne n'en a la moindre idée. Mais sans vouloir prophétiser, on peut s'autoriser à penser qu'ils vont continuer à respirer. Au propre comme au figuré. L'un des principaux intéressés, Benedetto Vigna, P. -D. G. de Ferrari, estime que 40 % de la production de Maranello sera constituée de 12 cylindres en 2030. Soit deux fois plus que la production locale de voitures électriques. Et même si le cas de Ferrari est très, très spécifique, cela signifie que la clientèle de ce caviar automobile n'a pas l'intention de changer ses habitudes. Il suffit d'ouvrir les yeux et les oreilles pour s'en persuader. Non seulement le clan des 12 cylindres se renouvelle, mais il pète la forme. Tout le contraire d'une fin de race. Plutôt que disserter sur le futur, profitons du moment présent. Comme celui qui consiste à réunir ces trois raretés dans une même unité de lieu et de temps. En l'occurrence Mortefontaine, le centre d'essais que la terre entière nous envie, au nord de Paris, où les équipements sont à la hauteur des performances abracadabrantesques de nos montures : un anneau de vitesse de 3 km, un circuit routier

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Sport Auto 767 LANCE-PIERRE

LANCE-PIERRE

Item sans titre En apposant le label E Performance sur sa carrosserie, la Mercedes-AMG GT 63 Coupé se convertit à l'hybridation, comme une certaine Porsche 911 GTS, mais surtout comme la 911 Turbo S, qu'elle vise directement. Cette électrification cherche la performance avant les économies de sans-plomb. Sa batterie d'une capacité de 6,1 kWh se recharge au besoin sur secteur, contrairement aux Porsche, mais n'autorise que 11 petits kilomètres sans réveiller le V8 biturbo de 612 ch. Elle se régénère en revanche très rapidement et alimente un moteur électrique de 204 ch, niché sur le pont arrière et accouplé à une boîte à 2 rapports pour continuer de produire son effort à haute vitesse. Le résultat ? 816 ch cumulés et un pic de couple allant jusqu'à 144,7 mkg qu'une transmission intégrale, un différentiel arrière piloté et une boîte automatique à 9 rapports sans convertisseur tentent de digérer au mieux. En sortant la calculette, l'hybridation apporte 231 ch et 63,2 mkg de couple en supplément par rapport à une GT 63 classique déjà pas timide, mais elle ajoute également 225 kg d'après la fiche technique constructeur. Sur la balance de Mortefontaine, l'écart atteint 230,5 kg, pour une valeur totale de 2 180,5 kg tous pleins faits. Cela fait beaucoup pour une GT au positionnement si sportif. Masse corporelle Aussi impressionnante soit-elle, cette litanie de chiffres laisse songeur. Quel est l'intérêt d'une hybridation coûteuse en poids sur un modèle suffisamment puissant à la base ? Sportivité et surcharge pondérale ne font pas bon ménage, et le Supertest de son homologue à 5 portes (voir SA no 737) démontre à son corps défendant que cette sophistication peut engendrer quelques petits tracas en utilisation vraiment intensive. A un rythme paisible, l'hybridation ajoute un mode EV (électrique) à une

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Sport Auto 767 PAS COMME LES AUTRES

PAS COMME LES AUTRES

Item sans titre Item sans titre Item sans titre C'EST UNE STRUCTURE, UN MOTEUR, QUATRE ROUES, ET LE RESTE N'EST QUE SUPERFLU. Item sans titre Item sans titre AU VOLANT, ON NE FAIT PAS UNIQUEMENT CORPS AVEC LA VOITURE, MAIS AUSSI AVEC CE QUI NOUS ENTOURE. Item sans titre Item sans titre Item sans titre Item sans titre On dit souvent qu'une voiture radicale se savoure sur un circuit, casque vissé sur la tête, combinaison ignifugée et chronomètre en main. Mais il faut parfois la sortir de ce décor convenu pour comprendre ce qu'elle a vraiment dans le ventre. C'est sur les routes de Dordogne, entre Angoulême et Beynac, que j'ai pris le volant de l'Ariel Atom 4, une voiture si dépouillée qu'on a du mal à la qualifier de… « voiture ». C'est une structure, un moteur, quatre roues, et le reste n'est que superflu. Et pourtant, à son volant, on découvre une forme d'évidence : la liberté mécanique absolue. Angoulême s'éveille à peine lorsque le moteur Honda s'allume derrière mon dos. Un 4 cylindres 2.0 turbo, tout droit sorti d'une Civic Type R FK2, mais ici, il respire mieux, souffle plus fort et fait chanter son turbo comme une trompette de métal.

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Sport Auto 767 GONFLÉE !

GONFLÉE !

Item sans titre Pour mieux comprendre celle que l'on surnomme « RU », pour « R Ultime », à ne pas confondre avec l'A110 R tout court, il faut rembobiner plutôt que de s'arrêter au simple fait qu'elle soit la der des ders. Ce qui la rend aussi singulière, c'est sa démarche. Hervé Mailliet, chef de produit A110 R Ultime, l'explique clairement : « Notre patron nous a dit : “Faites tout ce que vous n'avez pas pu faire sur l'A110 jusqu'à présent. Tout ce que vous pouviez imaginer pour la rendre unique. ” C'est donc ce qu'on a fait : une voiture unique ! On a tout modifié, tout changé, on a même été obligés de casser le berceau pour faire entrer la boîte, qui est plus grosse et qui ne passait plus entre les longerons. Ce n'est quand même pas neutre, puisque cela implique de repasser au crash-test.

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Sport Auto 767 JE SUIS UNE LEGENDE

JE SUIS UNE LEGENDE

A u début, nous vendions des pick-up à des éleveurs de bestiaux. Et puis, après quelques années en Rallye, nous avons vendu des voitures de haute performance à des passionnés d'automobile ! Ce témoignage de celui qui fut importateur Subaru en Grande-Bretagne résume bien « l'effet Impreza ». Il faut remonter à la fin des années 80 pour en trouver la genèse : « Nous engagions une BMW M3 aux 1 000 Lacs 1988, se rappelle David Richards, le patron de Prodrive, et un certain M. Kuze est venu nous voir. Il a observé notre voiture et l'équipe. L'année suivante, ce même Ryuichiro Kuze, de retour du Safari Rally, m'a contacté en m'indiquant qu'il faisait étape à Londres pour quelques heures et qu'il souhaitait nous rencontrer afin de nous présenter les projets de Subaru. Pour être honnête, je ne connaissais absolument pas cette marque. Je ne savais pas encore que Subaru était un constructeur précurseur dans les véhicules à quatre roues motrices. Nous l'avons néanmoins rencontré et il nous a exposé la volonté de la marque de changer d'image et de viser un marché plus jeune. Son idée était d'utiliser le sport automobile et il venait de créer la division Subaru Tecnica International à cette fin. Il nous a demandé de lui faire une proposition pour un programme en Rallye. Nous nous sommes attelés à la tâche l'après-midi même et une offre l'attendait à son atterrissage au Japon ! Tout a

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Sport Auto 767 Dans les coulisses des grands prix

Dans les coulisses des grands prix

GP de Mexico City AUTODROMO HERMANOS RODRÍGUEZ 24 - 26 OCTOBRE 2025 JEUDI 23 OCTOBRE McLaren protège Norris Et enfonce Piastri Après le Grand Prix de Singapour, McLaren avait désigné Lando Norris comme le responsable de l'incident du départ où il avait bousculé d'un coup de roue son coéquipier Oscar Piastri. L'Anglais s'était vu infliger une punition interne qui devait se prolonger jusqu'à la fin de la saison. Elle consistait à donner la priorité à l'Australien pour l'ordre de sortie en piste lors des qualifications ou celui de passage au stand en course. Mais depuis, il y a eu le départ chaotique de la course Sprint du Grand Prix des Etats-Unis, à Austin, qui a éliminé les deux pilotes McLaren. Après avoir dans un premier temps accusé Hülkenberg, Zak Brown affirme avoir revu l'accrochage sous tous les angles et en a conclu que le coupable était Piastri. Le patron de l'équipe McLaren a trouvé là un excellent argument pour tout remettre à plat, et annuler la « punition » de Norris, qu'il bichonne depuis ses débuts à Woking. Un Russe au Conseil mondial Les sanctions ignorées ? Le membre russe de la FIA, le général Victor Kiryanov, sous le coup de sanctions et restrictions d'activité par les Etats-Unis, le Royaume-Uni et le Canada, a été autorisé à revenir siéger au Conseil mondial du sport automobile (WMSC) par le président de la Fédération internationale de l'automobile (FIA), Mohammed Ben Sulayem. Cela s'est produit en juin mais n'avait pas encore été révélé, car les membres du conseil ne sont pas autorisés à parler de ce qui se passe lors de leurs réunions. La FIA affirme que cela a été fait « dans l’intérêt de l’équité », et cela bien que la fédération soit officiellement alignée avec le Comité international olympique concernant les restrictions imposées aux administrateurs sportifs russes et biélorusses à la suite de l'invasion de l'Ukraine. VENDREDI 24 OCTOBRE 01 - Neuf rookies en piste Lindblad se distingue Alors que la fin de saison approche, les équipes sont contraintes de satisfaire la règle qui leur impose de mettre leur monoplace à disposition de débutants. Ainsi, l'épreuve de Mexico enregistre la participation record de neuf rookies à la première séance du vendredi. Arvid Lindblad à la place de Verstappen chez Red Bull, Pato O'Ward dans la voiture de Norris chez McLaren puis Antonio Fuoco chez Ferrari, Frederik Vesti chez Mercedes, Paul Aron chez Alpine, Ayumu Iwasa chez Racing Bulls, Jack Crawford chez Aston Martin, Luke Browning chez Williams et enfin Ryō Hirakawa chez Haas. Ce dernier présente la particularité d'avoir 31 ans, ce qui n'est pas de la prime jeunesse pour un débutant. Si ces premières séances disputées sur des pistes en général poussiéreuses ne sont pas franchement significatives, elles permettent toutefois d'engranger des informations sur la faculté d'adaptation des rookies et

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