Vital - Le numéro 40 du 10 octobre 2019

Je veux gagner en perf en trail L'utilité des bâtons en trail pour gagner en efficacité et s'économiser en montées ainsi que mieux appréhender les descentes n'est plus à prouver. Nombreuses sont les traileuses à les avoir adoptés. L'intérêt est ici d'intégrer une véritable méthode bien huilée, précise, qui doit devenir innée pour ne plus seulement se dépatouiller à l'instinct comme on est beaucoup à le faire. « Au-dessous de 6 ou 7 km/h, mieux vaut marcher que courir car, à vitesse équivalente, la dépense énergétique moindre permettra de mieux

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Lorsqu'on quitte la surface de l'eau, on quitte un univers aérobie (en présence d'oxygène) assez confortable. Petit à petit, quand on descend dans la fosse, la pression de l'eau augmente sur les organes. Le rythme cardiaque s'accélérant, le réflexe est de vouloir respirer à nouveau. Au contraire, c'est en cessant de lutter que l'on parvient à accepter les conditions réelles. Lâcher prise permet de se laisser envelopper par l'eau et dépasser ainsi la frustration de ne pas pouvoir respirer. L'apnée est

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La première des (nombreuses) difficultés quand on effectue une transition de la route vers le trail running est d'être capable de continuer à courir sur l'ensemble des terrains et quand la pente commence à s'élever. Cependant, on a beau avoir de vraies capacités cardio-respiratoires, cela n'est parfois pas suffisant pour réussir sa reconversion. Thomas Lorblanchet, champion du monde de trail et enseignant à la Clinique du coureur, l'explique physiologiquement : « Quand on court à plat, il nous faut des capacités cardiorespiratoires couplées à des qualités d'élasticité des muscles des membres inférieurs. Plus la pente va s'élever et moins ces qualités d'élasticité seront primordiales, mais il faudra alors de la puissance musculaire. C'est pour cela que certains athlètes très forts sur plat peuvent encore rivaliser sur des courses vallonnées, mais auront de plus en plus de mal à mesure que

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Pour nettoyer et traiter mon cuir chevelu Le premier rôle du shampooing, c'est de laver le cuir chevelu ! Si cela paraît évident, « il faut donc le choisir en fonction de l'état du cuir chevelu, et non pas de celui des cheveux ! », précise Charline Roussé. Or, souvent, poursuit cette spécialiste du capillaire bio, le shampooing utilisé ne correspond pas aux besoins réels. « En cas de problème du cuir chevelu, le shampooing doit traiter les racines. On fera par exemple un shampooing sébo-régulateur ou apaisant (en cas d'irritations) une à deux fois par semaine, en alternance avec un shampooing doux », ajoute Catherine Chauvin, directrice de l'Institut Furterer. D'où l'importance d'avoir un bon diagnostic : comme il est difficile de bien voir son cuir chevelu,

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Prendre soin de soi et se dégager du temps pour y parvenir, c'est souvent notre devise pour l'hiver. Heureusement, cocooning ne rime pas forcément avec « roulée dans le canapé en jogging ». Pour

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On ne le dira jamais assez, « bien manger », ça commence par choisir des produits frais, de saison et si possible locaux. C'est la garantie qu'ils sont au top de leurs bienfaits nutritionnels (pas d'attente dans les frigos, pas de long trajet, pas de traitement pour les conserver plus longtemps). Chaque saison a ses trésors et l'automne n'est pas en reste avec ses fruits et légumes à faire pousser, à retrouver au marché, ou encore à cueillir dans la

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