Item sans titre Elles ne sont pas bien grosses mais font couler beaucoup d'encre en Europe. Les kei cars - abréviation de “ keijidōsha” (“véhicule léger”) -, contraintes en dimensions comme en motorisation, représentent entre 30 et 40 % du marché total japonais, soit près de 2 millions de voitures. Autrement dit, l'équivalent de notre marché national… quand il était en pleine forme. Comment expliquer ce succès ? Quels sont les avantages fiscaux ? Et surtout, est-ce que ce sont de vraies autos ? Nous nous sommes rendus au pays du Soleil-Levant pour tester les principaux modèles du numéro un du genre, Suzuki. Sur l'année 2024, Suzuki a écoulé plus de 630 000 kei cars (véhicules particuliers et véhicules utilitaires), largement devant le numéro 2, Daihatsu, filiale de Toyota, qui revendique pour sa part 388 947 unités. Les autres suivent un peu plus loin derrière, à l'image de Honda (310 243), Nissan (205 213), Mitsubishi (79 743) ou encore Mazda (41 300) et Subaru (13 113). Une kei car ne peut pas mesurer plus de 3,40 m en longueur, 1,48 m en largeur, mais peut atteindre 2 m de hauteur. La cylindrée de son moteur thermique est
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