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Nous Deux - Le numéro 4076 du 11 août 2025

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La Une de Nous Deux n°4076 du 11/08/2025

Au sommaire de ce numéro

Nous Deux 4076 « Le Café des amis » Le poids du silence

« Le Café des amis » Le poids du silence



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Nous Deux 4076 Ouvre les yeux

Ouvre les yeux



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Nous Deux 4076 Cap sur… Les saveurs de la mer

Cap sur… Les saveurs de la mer

- 500 g de calamar - 500 g de crevettes - 1 citron jaune - 2 œufs - 1 kg de Blanc de Bœuf - 200 g de farine - 20 cl d'eau gazeuse - 3 c. à soupe d'huile Sel et poivre 1. Détaillez les calamars en morceaux, décortiquez les crevettes. 2. Battez les œufs à la fourchette avec l'huile. Ajoutez l'eau gazeuse, mélangez puis incorporez la farine. Salez et poivrez. 3. Faites chauffer le Blanc de Bœuf à 170 °C dans une friteuse. Trempez les crevettes et les calamars dans la pâte. Faites-les frire par petite quantité pendant quelques minutes, jusqu'à ce qu'ils soient bien dorés. 4. Égouttez-les puis déposez-les sur une assiette recouverte de papier cuisson. 4. Salez légèrement et

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Nous Deux 4076 Les macarons de Rose

Les macarons de Rose

L'établissement pouvait accueillir jusqu'à soixante-deux résidents. Arrivée le matin même aux Ombrelles, Anna n'avait encore fait la connaissance que de quelques-uns. On l'avait affectée au troisième étage, où se trouvaient les patients atteints de la maladie d'Alzheimer. Sandra, sa nouvelle collègue, avait passé la journée avec elle pour la guider. C'était son premier poste en tant qu'aide-soignante, aussi s'appliquait-elle à répéter avec beaucoup de soin les enseignements de sa collègue. Sandra était jeune et gaie. Sa bonne humeur était un rayon de soleil pour les patients dont elle s'occupait. Anna était plus réservée. Elle observait, adressait des sourires encore timides aux uns et aux autres, répondait aux sollicitations d'une voix calme et posée. Dès le deuxième jour, Anna se retrouva seule pour effectuer les différentes tâches qui lui incombaient. Elle se perdait encore un peu dans les couloirs, regardait à deux fois les noms figurant sur les portes. - Peux-tu passer voir la chambre 42 ? La dame réclame de l'eau. Il faut que je file voir la 36 ! lui cria Sandra, à l'autre bout du couloir. La chambre 42 se trouvait en face de la salle de soins. Elle était occupée par une patiente atteinte d'Alzheimer. Anna frappa doucement contre la porte avant d'entrer. - Bonjour, je suis Anna, la nouvelle aide-soignante. Vous avez réclamé de l'eau ? demanda Anna, en attrapant le verre sur la tablette. Elle fit couler l'eau dans le récipient avant de le tendre à la vieille dame. - Merci, mademoiselle. Vous êtes nouvelle ? Je ne vous ai encore jamais vue ici… - Je m'appelle Anna et je suis la nouvelle aide-soignante, répéta patiemment la jeune femme, tout en remontant un peu les oreillers de la vieille dame. - Ah oui… Moi, c'est Rose. Rose Avril. Une seconde, la patiente demeura perplexe. - Oui, c'est bien le nom qui figure

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Nous Deux 4076 L'enfant des vignes

L'enfant des vignes

Malgré son vif désir de découvrir les richesses ancestrales de la ville de tous les arts, Séréna avait préféré ne pas s'attarder, en descendant du train à la gare de Florence. Elle aurait bien le temps, un jour, de la parcourir en toute quiétude. Cet après-midi d'août 1986, elle avait autre chose en tête. Elle trouva un taxi dès la sortie de la gare. Le chauffeur, endormi par la chaleur, parut surpris, mais pas mécontent quand elle lui indiqua la destination : Signa. Ils allaient sortir de la ville et, en roulant les vitres ouvertes, ils pourraient prendre un bain de fraîcheur. Le taxi avait emprunté la route d'Empoli, qu'accompagnait comme un chien fidèle le fleuve, l'Arno, pour pénétrer dans l'un des territoires les plus fertiles de la Toscane. On aurait dit qu'un enfant en avait dessiné le paysage. Les flancs de coteaux festonnés de vignes ou tapissés par le doux vert-de-gris des oliveraies s'aiguisaient de crêtes surplombant des vallées tachées de l'ocre des villas. Au sommet d'une petite colline, une avenue de cyprès serrés comme des grilles affûtées la mena devant un véritable portail où l'accueillit froidement un panneau : Proprieta privata. Tandis que le taxi repartait à contrecœur vers la chaleur lourde de Florence, Séréna prit une profonde inspiration et sonna. À peine avait-elle décliné son identité à la voix neutre de l'interphone que le portail se déverrouillait sur un bruit peu accueillant. Chapeau sur la tête et valise à la main, en s'engageant dans la longue allée, elle se demanda dans quelle mesure elle pouvait ressembler à Mary Poppins. Elle aurait en tout cas donné cher pour avoir l'aplomb de la plus célèbre nounou du monde. La maison apparut brusquement devant elle, comme une immense carte postale tombée du ciel. Une tour centrale et des parapets à créneaux la faisaient plus ressembler à une place forte qu'à une villégiature familiale. Sur le perron, un petit prince blond la regardait arriver. Séréna se sentit scrutée, jaugée, soupesée comme jamais elle ne l'avait été. - Je suis Luca Fonseca, se présenta-t-il avant même

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Nous Deux 4076 L'ingrédient secret

L'ingrédient secret

Merry attrapa la tarte qui refroidissait sur le bord de la fenêtre, protégée des insectes par une cloche de mousseline, et la posa au milieu de la table, sur la toile cirée toute neuve - elle l'avait achetée la veille, en promotion, dans un bazar de Des Moines. Elle se précipita à l'autre fenêtre, tendant l'oreille : au loin, un moteur. C'était Abigaïl, sa vieille copine. Comme tous les mercredis après-midi, elle venait prendre le thé. Le vieux pick-up bleu s'engagea dans l'allée en cahotant dans les nids-de-poule. Merry se frotta les mains en ricanant, cette fois, elle comptait bien faire crever Abigaïl de jalousie… Pour l'occasion, elle avait soigneusement relevé ses cheveux en chignon et enfilé la robe bleue reçue deux jours plus tôt. Elle avait pris l'habitude de commander sur catalogue parce qu'il y avait plus de choix et que la plupart du temps, c'était moins cher qu'en boutique. Ce 28 août 1963 n'était pas un mercredi comme les autres. En tout cas pas pour elle. Et cela n'avait rien à voir avec les événements qui se déroulaient en ce moment même à Washington où des manifestants, menés par un pasteur noir du nom de Martin Luther King, réclamaient l'égalité des droits entre les Blancs et les Afro-Américains. Non, ça n'avait rien à voir. C'était même la dernière des préoccupations de Merry qui s'intéressait bien peu à la politique. Ce mercredi d'août était le jour de la tarte ! Sa tarte. Le cahier de cuisine où sa mère avait écrit toutes ses recettes était resté ouvert sur le coin de la table. Elle s'empressa de le ranger dans le tiroir du buffet. - Accroche-toi, Abigaïl, t'en as jamais mangé une comme ça ! dit-elle pour elle-même. Elle alluma le feu sous la bouilloire et sortit deux tasses et de jolies assiettes ébréchées du vaisselier. Elles dataient, ces assiettes ! Au moins de la guerre de Sécession, lui avait dit le brocanteur. Elle avait eu le coup de foudre et avait lâché un gros billet pour les avoir. - Tu vas me maudire, ma vieille, tu es fichue ! ricana-t-elle. La

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