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Sport Auto - Le numéro 765 du 26 septembre 2025

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La Une de Sport Auto n°765 du 26/09/2025

Au sommaire de ce numéro

Sport Auto 765 Sacrilège ?

Sacrilège ?

Ambassadrice de la sportive à l'américaine, la Corvette serait-elle rentrée dans les rangs ? Les aficionados se remettaient à peine du fait que leur auto chérie avait déplacé son moteur en position centrale que voici qu'elle débarque en version hybride ! Qu'ils se rassurent : même dans cette variante électrifiée baptisée « E-Ray », la Corvette conserve ses fondamentaux, à commencer par un V8 6.2 atmosphérique « LT2 » développant à lui seul 482 ch. Il se voit complété par un moteur électrique de 162 ch installé sur l'essieu avant, alimenté par une batterie lithium-ion implantée entre les sièges. Résultat : la puissance cumulée atteint 644 ch, soit presque autant que le V8 5.5 « LT6 » à vilebrequin plat de la Corvette Z06 (646 ch). D'ailleurs, et malgré son handicap de masse (118 kg supplémentaires), l'E-Ray annonce un meilleur chrono sur le 0 à 100 km/h : 2''9, contre 3''1 pour la Z06. La Corvette hybride n'est donc pas précisément un modèle édulcoré… Pour autant, de nombreuses questions restent ouvertes : qu'apporte concrètement la Corvette E-Ray ? L'électrification du train avant nuit-elle aux sensations de conduite ? Dans quelle mesure l'auto progresse-t-elle en matière de polyvalence ? Nous avons une journée pour répondre à

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Sport Auto 765 Artifice

Artifice

Item sans titre Simple avis personnel, sous la forme d'un préambule. La Mini est un coup de génie marketing, c'est évident. C'est une voiture qui attire l'œil et cultive un côté branché-sportivo-chic. Soit. C'est même un symbole, une référence, un emblème, selon certains. Mais contrairement à ce que les sirènes du marketing répètent à longueur d'année, désolé, c'est tout… sauf un kart. Ou alors il faut se mettre d'accord sur la définition dudit mot. Jusqu'à preuve du contraire, un kart, ça ne sous-vire pas, ça transpire de sensations mécaniques, ça fourmille d'informations dans la direction et accessoirement, ça colle au pavé. Tout ce que la JCW ne fait pas, ou qu'à moitié : motricité artificielle, c'est-à-dire conditionnée aux aides électroniques, sous-virage en entrée, et survirage plus ou moins intempestif au lever de pied, le tout avec une direction muette comme une carpe. Rien à voir avec la vague de sensations espérée au volant d'une auto « inspirée par l'héritage de la course » et censée être « adaptée aussi bien à la circulation quotidienne qu'à la conduite sur piste » , dixit le site du constructeur. L'ami Christophe s'en émeut dès son premier tour chrono : « Ça manque de caractère pour une voiture présentée comme une sportive. » Ah si, j'oubliais, la seule chose en commun avec

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Sport Auto 765 UNE HISTOIRE BASQUE

UNE HISTOIRE BASQUE

Les puristes les plus affûtés ne manqueront pas d'évoquer la venue de Pegaso aux 24 Heures du Mans 1953. Certes, le constructeur successeur d'Hispano-Suiza était bien présent dans la Sarthe, mais ses deux autos n'ont pas été en mesure de participer à la course. Un échec effacé en 2008 par Epsilon Euskadi, une équipe basque… créée par un Français ! Ancien ingénieur de l'équipe Graff Racing, qui faisait la loi en F3 française, Michel Lecomte nous raconte la genèse de cette équipe : « J'ai créé, à Mulsanne, l'équipe Epsilon fin 1999 avec l'objectif de disputer le championnat Open Telefónica avec Grégoire de Galzain et Jean-Christophe Ravier. Par la suite, Franck Montagny nous a rejoints et nous avons remporté le titre en 2001. C'est alors que nous avons été approchés par le pilote basque Ander Vilariño, qui venait de gagner le championnat espagnol de Formule 3. Il a couru pour nous en 2002 dans le championnat World Series by Nissan. Il était soutenu par le gouvernement basque, qui nous a demandé si nous étions disposés à monter une équipe au Pays basque espagnol avec des pilotes basques. Alors je leur ai présenté un

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Sport Auto 765 Affaire d'état

Affaire d'état

Item sans titre Item sans titre Item sans titre Item sans titre Elle détourne les têtes avec le magnétisme d'une supercar italienne et fait passer son utilisateur pour le nouveau Tony Stark. La MG Cyberster excite les rétines, électrise les foules et s'installe sous les feux de la rampe. Son capot plongeant et la poupe intégrant une signature lumineuse comprenant une flèche tournée vers l'extérieur nichée dans chaque optique arrière attirent l'attention. Le clou du spectacle vient pourtant de ses fameuses portes en élytre, qui se dressent vers le ciel d'une simple impulsion sur une télécommande et permettent de rouler à basse vitesse en position ouverte pour mieux briller sur les réseaux sociaux.LE 1.8 TURBO ENTIÈREMENT THERMIQUE DE L'A110 GTS DÉFEND L'ANCIEN MONDE FACE À UN CYBERSTER ÉLECTRIQUE TOURNÉ VERS L'AVENIR.Ces gesticulations amusent l'Alpine A110 qui rigole sous cape devant cette démonstration trop tape-à-l'œil à son goût. Depuis sa sortie fin 2017, notre petite française a vu bon nombre de concurrentes se casser les dents sur son concept inédit. Sa légèreté, sa polyvalence et ses manières récréatives en font une sportive unique qui marquera son temps. Son 1.8 Turbo entièrement thermique défend l'ancien monde face à un Cyberster intégralement électrique tourné vers l'avenir. Elle jouerait presque les discrètes,

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Sport Auto 765 Chemin de traverse

Chemin de traverse

Item sans titre Le Bentayga souffle ses 10 bougies et surfe toujours sur la vague du succès, en représentant 40 % des ventes totales de Bentley en 2024.LES CONTRAINTES ENVIRONNEMENTALES ONT EU RAISON DU W12, MAIS LE NATUREL REVIENT AU GALOP… SUR CETTE VERSION SPEED 100 % THERMIQUE.Autant dire une manne financière opportune pour remplir les caisses, avant le test grandeur nature du modèle 100 % électrique de Crewe prévu pour 2027… et sur lequel personne ne se risque à faire le moindre pronostic. C'est ainsi, entre les contraintes environnementales qui ont eu raison du W12 maison et le naturel qui revient au galop, que cette nouvelle version Speed 100 % thermique voit le jour. Avec un bon gros V8 biturbo donc, et pas la plus petite trace d'hybridation. Les plus observateurs auront reconnu le 4 litres présent sous le capot des Audi RS Q8, Porsche Cayenne ou Lamborghini

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Sport Auto 765 PRESQUE, MAIS PAS TOUT À FAIT…

PRESQUE, MAIS PAS TOUT À FAIT…

Item sans titre Sur la carte grise, ce n'est pas Porsche mais Ruf Automobiles GmbH qui figure. Ce seul détail suffit à faire basculer la voiture du statut de « sportive classique » à celui de pièce d'orfèvrerie automobile. Une Carrera 3.2, certes, mais passée entre les mains de Pfaffenhausen, ce village bavarois devenu l'une des Mecque de l'automobile grâce à Alois Ruf. Visuellement, la différence ne saute pas aux yeux. Pas d'aileron gigantesque (bien qu'on ait ici le droit au beau plateau d'une version turbo) ni de kit extravagant, mais une posture transformée par de simples choix : le bouclier Ruf, plus aéré, plus agressif, et surtout les jantes forgées maison en 17 pouces, chaussées à l'époque de Pirelli P700-Z, aujourd'hui remplacés par des gommes modernes plus performantes. Ces jantes sont bien plus qu'un accessoire esthétique. Forgées, donc plus légères et

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