Item sans titre Simple avis personnel, sous la forme d'un préambule. La Mini est un coup de génie marketing, c'est évident. C'est une voiture qui attire l'œil et cultive un côté branché-sportivo-chic. Soit. C'est même un symbole, une référence, un emblème, selon certains. Mais contrairement à ce que les sirènes du marketing répètent à longueur d'année, désolé, c'est tout… sauf un kart. Ou alors il faut se mettre d'accord sur la définition dudit mot. Jusqu'à preuve du contraire, un kart, ça ne sous-vire pas, ça transpire de sensations mécaniques, ça fourmille d'informations dans la direction et accessoirement, ça colle au pavé. Tout ce que la JCW ne fait pas, ou qu'à moitié : motricité artificielle, c'est-à-dire conditionnée aux aides électroniques, sous-virage en entrée, et survirage plus ou moins intempestif au lever de pied, le tout avec une direction muette comme une carpe. Rien à voir avec la vague de sensations espérée au volant d'une auto « inspirée par l'héritage de la course » et censée être « adaptée aussi bien à la circulation quotidienne qu'à la conduite sur piste » , dixit le site du constructeur. L'ami Christophe s'en émeut dès son premier tour chrono : « Ça manque de caractère pour une voiture présentée comme une sportive. » Ah si, j'oubliais, la seule chose en commun avec
Le contenu complet de cet article est réservé aux abonnés. Vous pouvez également acheter Sport Auto n°765 au format digital. Vous le retrouverez immédiatement dans votre bibliothèque numérique KiosqueMag.
Voir plus