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Top Santé - Le numéro 419 du 3 juillet 2025

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La Une de Top Santé n°419 du 03/07/2025

Au sommaire de ce numéro

Top Santé 419 LES NUTRIMENTS ALLIÉS DE NOTRE MINCEUR ET DE NOTRE BIEN-ÊTRE !

LES NUTRIMENTS ALLIÉS DE NOTRE MINCEUR ET DE NOTRE BIEN-ÊTRE !

Accrochez-vous : « Ce ne sont pas moins de 34 symptômes qui sont associés à la ménopause », explique Laurence Haurat, diététicienne et psychologue, auteure d'un livre au titre révélateur, « La Révolution ménopause » (éd. Solar, 17,90 €). Fatigue, irritabilité, bouffées de chaleur, troubles dépressifs, perturbations du sommeil, constipation, douleurs articulaires accompagnent par exemple l'arrêt définitif des règles et de la fonction ovarienne. Sans oublier la prise de poids, qui touche la majorité des femmes : elles prennent en moyenne entre 0,6 et 1,5 kilo par an entre 42 et 50 ans. Selon l'Inserm, 87 % des femmes ménopausées présentent au moins un symptôme et 20 à 25 % souffrent de troubles sévères qui affectent leur qualité de vie. « On peut avoir l' impression que la ménopause, c'est comme purger une peine, reconnaît Laurence Haurat. Mais on peut aussi choisir d' être actrice, et s'adapter au mieux pour limiter l' impact de certains symptômes. Il s'agit d'aborder cette nouvelle phase de lavie d'une femme dans l' élan. » Voilà qui est plus réjouissant. Et pour agir, il faut comprendre. La ménopause, c'est d'abord une histoire hormonale. Les hormones féminines s'arrêtent peu à peu de fonctionner, la progestérone d'abord, puis les œstrogènes avec, à la clé, une cascade de métamorphoses. Car ces hormones avaient de nombreuses fonctions régulatrices. « La progestérone participe à un bon sommeil, stimule la dopamine du cerveau, est anti-inflammatoire », explique Véronique Liesse, diététicienne et micronutritionniste, coauteure avec le Dr Vincent Renaud de « Hormones, arrêtez

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Top Santé 419 MES REINS J'EN PRENDS SOIN

MES REINS J'EN PRENDS SOIN

Dre ISABELLE TOSTIVINT néphrologue préventive à l'hôpital Pitié-Salpêtrière (AP-HP), à Paris. LES SYMPTÔMES À SURVEILLERIl est important de noter que la maladie rénale chronique (MRC) est souvent asymptomatique jusqu'à un stade avancé. « Il faut attendre la destruction de plus de 90 % des deux reins pour qu'on ait des signes cliniques », explique la Dre Isabelle Tostivint, néphrologue. « C'est pourquoi le dépistage est essentiel, surtout pour lespersonnes à risque. » À mesure que l'insuffisance rénale progresse, divers symptômes peuvent apparaître, comme : - Fatigue persistante ; - Troubles digestifs (perte d'appétit, etc. ), amaigrissement ; - Crampes ou impatiences dans les jambes ; - Démangeaisons cutanées ; - Œdèmes (gonflements). LES FACTEURS DE RISQUE À ÉVALUER« Les reins sont des victimes silencieuses des mêmes facteurs de risque que le cœur : diabète, hypertension, tabac, obésité… tout ce qui abîme le cœur abîme aussi les reins, insiste la Dre Isabelle Tostivint. Et il ne faut pas oublier les antécédents familiaux. Certaines maladies génétiques, comme la polykystose rénale, peuvent être dépistées tôt. » Il est important de noter que la présence d'un ou plusieurs de ces facteurs de risque ne signifie pas nécessairement que vous développerez une maladie rénale chronique. Cependant, plus vous avez de facteurs de risque, plus votre risque est élevé. Parmi les facteurs de risque traditionnels, il y a : - Diabète : « Le diabète est la principale cause de dialyse dans

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Top Santé 419 COUPLE : ON SE RÉINVENTE ?

COUPLE : ON SE RÉINVENTE ?

Nos relations conjugales débutent sous influence : l'état amoureux, si formidablement romantique, intense et vecteur de frissons, est (c'est prouvé scientifiquement) lié à un cocktail d'hormones et de neurotransmetteurs qui relève du philtre ou sortilège. Au fil du temps, ce cocktail s'affadit et, en réalité, c'est seulement lorsque l'on sort de cet état amoureux que l'on commence véritablement à s'aimer et que, finalement, l'aventure démarre ! Surreprésenté par la société et l'art (films, romans…), l'état amoureux nous donne en effet l'envie de l'autre, de faire couple, mais il ne suffit pas à construire ! Le croire mène à plusieurs écueils. D'une part, à penser que l'amour suffit, et qu'il est plus fort que tout - une idée bien ancrée qu'il faut abandonner. Ensuite, à vouloir retrouver sans cesse ce « shoot » du début : c'est un leurre, auquel le fait de vouloir à tout prix «

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Top Santé 419 16 questions à se poser

16 questions à se poser

Comment protéger mes cheveux de l'eau de mer ? « Il est essentiel de les gorger d'eau douce avant la baignade, et de les rincer abondamment juste après », préconise Olivier Lebrun, fondateur d'Olab Paris. Le rinçage débarrasse la fibre de tous les résidus de sel. « Vous pouvez aussi les enduire de masque ou de démêlant, sans les rincer, avant d' aller à la plage. » Ces soins forment une barrière protectrice contre le sel. En revanche, évitez les huiles, qui risquent de faire brûler la fibre capillaire sous les UV. Enfin, n'hésitez pas à les attacher, afin d'éviter que le sel ne s'infiltre dans les longueurs. Au soleil, comment éviter que ma couleur ne vire au roux ? Le cheveu coloré est un cheveu oxydé. Le phénomène d'oxydation est renforcé par l'humidité, le chlore, la lumière, l'air - ce qui altère les pigments de la coloration. Les cheveux les plus touchés sont les châtains, car les pigments bleus s'éliminent, si bien qu'il ne reste que ceux rouges et orange, ce qui provoque ces faux reflets roux. « Le phénomène est un peu inévitable », prévient Olivier Lebrun. La meilleure parade, selon lui ? Les protéger avec un chapeau, une casquette,

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Top Santé 419 L'ABÉCÉDAIRE des bobos de l'été

L'ABÉCÉDAIRE des bobos de l'été

LES HUILES ESSENTIELLES SONT CONTRE-INDIQUÉES PENDANT LA GROSSESSE ET L'ALLAITEMENT ET CHEZ LES ENFANTS DE MOINS DE 6 ANS. AMPOULE - Mélangez 1 goutte d'huile essentielle (HE) de lavande fine (anti-inflammatoire, cicatrisante) et 1 goutte d'HE de géranium (anti-infectieuse), puis appliquez 2 fois par jour, jusqu'à amélioration de la plaie. POUR LES ENFANTS Incorporez ce mélange dans 2 ou 3 gouttes d'huile végétale de millepertuis (cicatrisante), puis appliquez 1 goutte par jour. - Déposez 1 goutte de miel de thym bio (antiseptique, anti-inflammatoire, cicatrisant) sur une compresse stérile à appliquer sur l'ampoule. Changez la compresse tous les jours, jusqu'à cicatrisation. BOUTON DE FIÈVRE - Dès les premiers picotements, passez longuement sur l'herpès un glaçon enveloppé dans un papier absorbant. À renouveler plusieurs fois par jour. - Déposez dans le creux de la main 1 goutte d'HE de niaouli (antiviral) et 1 goutte d'HE de lavande aspic (apaisante, cicatrisante et anti-inflammatoire). Imbibez un Coton-Tige de ce mélange et appliquez 4 à 5 fois par jour pendant 2 à 3 jours. POUR LES ENFANTS Remplacez les HE par du

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Top Santé 419 Ce qui fonctionne vraiment

Ce qui fonctionne vraiment

DES INFESTATIONS EXPONENTIELLES Les poux de tête (Pediculus humanus capitis) touchent essentiellement les enfants d'âge scolaire entre 3 et 15 ans et près de 4 fois plus les filles que les garçons. La vie en collectivité favorise les « épidémies ». « Ils se répandent de tête en tête par contact, mais aussi par les échanges de bonnets, d'écharpes ou de manteaux, voire de brosses à cheveux », explique Célia Nicolosi, cofondatrice des Laboratoires Astelia. Ces insectes investissent le cuir chevelu et se nourrissent de sang. Comme pour les moustiques, ces piqûres provoquent une inflammation engendrant des démangeaisons. « Mais certains enfants sont asymptomatiques et ne ressentent pas de démangeaisons », précise Célia Nicolosi. Contrairement à ce que l'on dit souvent, les poux ne sont pas un signe de mauvaise hygiène. En revanche, l'infestation est exponentielle, puisque les

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